MiOTD #7
Pour me faire pardonner du retard pris sur les Miko of the day et les Maid of the day, et aussi parce qu’il n’y a pas encore eu de MiOTD #7, la voici, ou plutôt les voici!
Pour me faire pardonner du retard pris sur les Miko of the day et les Maid of the day, et aussi parce qu’il n’y a pas encore eu de MiOTD #7, la voici, ou plutôt les voici!
Avant de commencer, quelques nouvelles du front:
En essayant de faire découvrir La mélancolie de Haruhi Suzumiya au monde entier, je suis parfois confronté dans ma mission divine pour répandre le Haruhiisme, à des personnes qui ne voient aucun intêret dans cette série pourtant excellente sur bien des points. C’est simple, je n’avais jamais été aussi en transe pour une série depuis Mahoromatic, c’est dire.
Le reproche fait à la série? Trop populaire, fanservice, pas drôle, cliché, et d’autres raisons que j’oublie encore. Je ne vais pas m’amuser à défendre la série sur tous ces points: ceux qui reproche à Haruhi d’être cliché n’ont bien évidemment jamais regardé plus de 3 épisodes. Tant pis pour eux.
Je ne vais pas non plus m’éterniser sur le fanservice affiché dans la série. Je considère le fanservice comme étant un terme très large. Pour moi, ça ne veut absolument rien dire. En regardant une série qu’on aime, qu’elle soit sérieuse ou pas, ecchi ou pas, on consomme du fanservice, puisque ça nous fait plaisir de la regarder, non? Ca parait simpliste comme raisonnement, mais pourtant… il serait temps pour certains de se poser des questions.
Mais alors, pourquoi tout ce hype autour d’une bête série de 14 épisodes seulement? Tentons de voir d’un peu plus près ce qui fait de La Mélancolie de Haruhi Suzumiya, une histoire si populaire.
En premier lieu, les personnages, avec chacun leur petit trait personnel:
Mais c’est aussi un opening et un ending difficiles à oublier. En tous cas lors de l’epitanime 2006 cela a fait son petit effet lors du Karaoké.
Il y a également de nombreux hommages à différentes séries ou livres, à commencer par Full Metal Panic qui font bien sourire.
Cependant, ce qui est le plus attirant à mon avis dans cette série, c’est toute l’étrangeté de la situation, qui amène à se poser plein de questions. J’en veux pour preuve toutes les hypothèses délirantes qu’on peut trouver sur le Net. Il y a des choses tout à fait possibles, et d’autres complètement loufoques. Je vous laisse juger (attention ça va spoiler grave) :
L’épisode 00 peut surprendre voir dégouter de suivre le reste, mais depuis quand faut-il se fier au seul premier épisode d’une série? On aime ou on aime pas. Qui plus est, rien n’empêche de le zapper, étant donné l’ordre bien mélangé des épisodes (à noter que les DVDs japonais auront les épisodes dans le bon ordre.)
C’est assez rare de voir un anime monter en popularité dés ses premiers épisodes diffusés, et ce de façon internationale. La Mélancolie de Haruhi Suzumiya fédère en effet beaucoup de genres à lui tout seul: romance, science-fiction et humour principalement. L’attention du détail (les livres lus par Yuki, les objets dans les pièces, les décors, les réactions des personnages) est assez bien rendue par Kyoto Animation, et l’anime rend justice aux romans pour le moment. Enfin j’ai lu que le premier, mais ça m’a déjà beaucoup plus.
J’invte tout le monde à découvrir cette série et à la montrer à vos amis. Nerae Fansubs fait d’ailleurs un travail correct sur les 2 premiers épisodes (même si j’aime pas trop leur typesetting, la police utilisée quoi) en français.
Haruhi dominera le monde! 🙂
EDIT: J’en ai marre, quand c’est pas Matt, c’est FFenril qui me bat sur une idée de billet 🙂 Voici donc une autre vision sur la popularité de Haruhi, avec un résumé de l’épisode 10 en cadeau bonus.
School Rumble est l’une de ces séries sans queue ni tête mais divertissantes, où l’on sait que chaque épisode viendra nous combler en humour. Il faut dire que l’anime a un certain goût de Azumanga Daioh mais en moins enfantin. Je n’ai rien contre Azumanga, hein, ne vous méprennez pas. J’adore aussi cette série. 🙂
Pour en revenir à SR, il n’y a pas vraiment d’histoire, mais une situation de base: La jeune Tenma Tsukamoto aime son camarade de classe Karasuma, qui lui ignore tout le monde. Mais Harima, le grand loubard de l’école, lui, en pince pour Tenma, et chacun va tenter de faire comprendre à l’autre ce qu’ils ressentent. Malheureusement à chaque fois ça loupe, de façon plutôt amusante.
Encore une fois, comme pour Azumanga, il n’y a pas qu’un ou deux héros, mais plusieurs. On suit en fait les tribulations de toute une classe (et de quelques camarades hors de celle-ci parfois) et il faut bien admettre que chaque personnage est plutôt attachant, sans tomber dans un quelconque stéréotype. La force de SR réside dans ses personnages originaux et ses petites histoires qui permettront de mieux s’attacher à toute cette classe de lycéens.
La série tire quelques scènes pleines de références, comme cette course poursuite à vélo où Tenma et Karasuma-kun grillent sans problème la Trueno 86 de Takumi dans Initial D, je ne parle même pas d’autres hommages à Matrix ou Battle Royale… Ces passages sont toutefois assez rares pour surprendre le téléspectateur et être appréciés à leur juste valeur.
Pour le moment, la série est composée d’une bonne poignée de Mangas (12 à l’heure actuelle), qui ne sont toujours pas terminés. La série animée est néanmoins très bien, et vous réjouira pendant 2 saisons de 26 épisodes (la seconde est en cours de diffusion en ce moment.)
Si vous avez aimé Azumanga, nul doute que vous adorerez School Rumble. Pour ceux qui n’ont pas connu Azumanga Daioh, ce n’est pas grave. Enfin, si, mais pas pour l’appréciation totale de la série 🙂
Bref, si vous voulez une série légère qui détend, foncez de suite, School Rumble se dévore comme du pain sorti du four.
Cinquième opus de la série Suikoden, cet épisode 5 n’augurait rien de bon. A vrai dire, avec les flops successifs des 3 et 4, on se demande encore comment Konami a pu remettre le couvert pour un cinquième. Et pourtant, ils l’ont fait…
Je situe l’histoire rapidement: vous êtes un Prince, un vrai, un blond, qui sent le sable chaud. Vous revenez d’un voyage accompagné de Sialeeds, votre tante, Georg, son garde du corps et ami de votre père, et Lyon, votre adorable garde du corps.
Lyon, avec le prince sur le screenshot à droite. Oui, elle est très mignonne. Oui, j’espère qu’il va se passer quelque chose entre les deux d’ici la fin du jeu.
Vous revenez donc au palais où votre père, le commandant en chef des chevaliers, et la reine, votre mère, vous attendent. Falena est un royaume, ou plutôt un reinaume, dirigé par des reines et non des rois. De ce fait, votre petite soeur, Lymsleia, sera la prochaine sur la liste. Elle est encore une petite princesse, mais elle vous adore et vous coulez des jours heureux. Enfin presque: un jour, suite à une rebellion à Lordlake, une ville non loin, la Reine a utilisé la Sun Rune contre la ville, les privant ainsi d’eau, créant de nombreux malades et morts dûs à la sécheresse et l’absence d’eau potable. Ah oui, vous revenez justement d’un voyage à Lordlake, où on vous a pas super bien acceuillis il faut dire. C’est tout a fait compréhensible, non?
Mais voilà, il va se passer des choses qui vont forcer notre héros à combattre et à prendre en main une armée, comme tout bon Suikoden qui se respecte.
La marque de fabrique des Suikoden, c’est avant tout:
Soyons clairs, Suikoden 3 et 4 ont failli sur plusieurs de ces points, mais Suikoden 5 sonne la réconciliation, le retour aux sources, bref, le bonheur intégral. Enfin non, pas exactement: ce dernier opus a quand même quelques lacunes d’ordre technique. La réalisation est pour le moins perfectible, les temps de chargements assez nombreux (sauf lorsque vous installez le jeu sur le disque dur, là ça tourne tout de suite mieux), et les combats d’armée qui sont un peu pénibles et creux. (rien n’égalera les batailles du premier)
Le bon retour aux sources, c’est bien évidemment les combats à 6, cette fois avec plusieurs formations possibles qui donneront divers bonus, mais aussi une vue du jeu de haut, comme dans le 1 et le 2. Forcément, comme c’est en 3D, on a une vue un peu de côté, mais ça reste néanmoins très agréable à piloter, à dix mille lieues des déplacements lourds à la 3ème personne de Suikoden 4, et ne parlons même pas des déplacements en mer de ce dernier, une véritable horreur…
C’est définitivement un retour aux sources, avec quelques améliorations comme la possibilité de se spécialiser dans différentes compétences (attaque, agilité, technique, défense, endurance…) de faire des runes a partir de pièces éparpillées, et d’autres petites choses sympathiques.
Viki, un personnage récurrent des Suikoden
Le design des personnages est plutôt coloré et agréable, et le rendu 3D, a défaut d’être très détaillé, rend plutôt bien. Oui, c’est cubique et les textures sont pas terribles par rapport à un Final Fantasy XII, mais l’émotion de certaines scènes passent. J’en ai parfois ressenti des frissons, ce qui confirme que ce Suikoden 5 est plutôt bon 🙂
En haut, Luserina, la fille d’une des grandes familles de nobles du jeu. Elle vous sera très utile. En dessous, la jeune princesse Lymsleia et sa garde du corps, Miakis.
Non, sincèrement, je ne suis pas déçu de ce Suikoden, même si après un petit temps de jeu je viens d’avoir mon chateau à peupler, j’ai la trés désagréable sensation d’avoir fait une bonne partie du jeu déjà. J’espère que ce sentiment ne sera pas confirmé par la suite 🙂
Je vous recommande de vous jeter dessus en import, si l’anglais ne vous effraie pas. C’est assez facile à comprendre ceci dit.
J’ai décidé de faire un petit résumé des séries que je regarde en ce moment, déjà à un état bien avancé (une petite dizaine d’épisodes) et celles qui se sont terminées récemment. C’est parti pour un tour!
En parlant de Gainax justement, il se trouve qu’ils vont faire la nouvelle saison de Negima avec l’aide de SHAFT (REC, Mahoromatic, Konomini, et quelques autres trucs). J’ai hâte de voir ce que ça va donner.
Une Maid of the Day un peu particulière aujourd’hui car… elles sont plusieurs, et en plus, elles sont toutes de Fate Stay Night. Je vous présente le Harem de Shirou (ou de Rin, c’est selon :P)
Fate/Stay Night est l’un des derniers jeux du studio TYPE-MOON à qui l’on doit notamment Tsukihime.
FSN est donc issu d’un jeu hentai , tout comme Tsukihime, mais doté d’une histoire profonde et pleine de magie. Les fans de TYPE-MOON ne seront pas déçus du voyage:
En gros, tous les dix ans, une guerre pour le Saint Graal occupe sept magiciens, qui font appel à des Servants, sortes d’esprits de héros défunts pour les aider à obtenir le Saint Graal tant convoité, qui permet d’exaucer n’importe quel voeu.
Il y a tout un tas de régles, ce qui rend cette grande bataille assez intéressante.
L’histoire se focalise sur Shirou et Rin, deux jeunes qui vont s’allier par la force des choses afin de battre les 5 autres magiciens et leurs Servants. Shirou obtiendra l’aide de Saber, la plus puissante, qu’il aura invoqué sans vraiment savoir comment, et Rin aura Archer.
Chaque esprit, qui possède un corps matériel une fois invoqué, est en fait issu d’un héros légendaire (je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler) et qui reflète bien leurs capacités. Ainsi, Saber se bat essentiellement avec une épée invisible, en robe et armure, par exemple. Ils affronteront des servants comme Assassin, Caster, Lancer…
Bref, tout y est pour une sorte de Battle Royale entre Masters et Servants. Si on ajoute à cela une animation plus que correcte, des designs qui poutrent et une ambiance très magie et esprits, on obtient un anime sérieux mais agréable à regarder.
Bien évidemment les scènes H du jeu ont été brillament « oubliées » ou un peu « masquées ». Il faut savoir par exemple que pour recharger la mana de Saber, Shirou doit coucher avec… 🙂
Comme vous aurez pu le voir sur les photos de mon voyage J’ai acheté une Saber en figurine, 1/6, super belle de surcroit.
Si on ajoute à cela le fait que Saber est doublée par une trés sérieuse et très dangereuse Ayako Kawasumi-sama, je ne pouvais pas rester de marbre devant une telle série 😛
Un très bon cocktail en tous cas si vous aimez les histoires un tant soit peu sérieuses avec leur lots de surprises et rebondissements.
Cliquez sur l’image pour l’avoir en grand 🙂
Un petit tour des vidéos YouTube sur Haruhi Suzumiya 🙂
Attention, héroine qui poutre spotted!
Littéralement « La mélancholie de Haruhi Suzumiya », c’est le genre de série que l’on aime principalement pour ses personnages, plus que pour son histoire (qui pour l’instant est quasi inexistante.)
Oui, vous aimerez Haruhi Suzumiya, vous voterez pour elle, vous l’idolatrez, que dis-je, vous rejoindrez son club, la SOS Brigade!
ahem…
Voici Haruhi Suzumiya. Lycéenne de son état, cette jeune fille n’a absolument aucun ami. D’ailleurs, elle s’en fout, elle n’en cherche pas. Les humains normaux ne l’intéressent pas.
Son arrogance, sa tyrannie et sa détermination n’ont pas d’égal à ce jour, ce qui en fait un personnage réellement unique, loin de tous les stéréotypes d’héroines d’anime.
Par où commencer? Le premier épisode est assez étrange, il s’agit d’un film d’étudiant réalisé par Haruhi, et c’est, comment dire… très mauvais. On pourrait penser qu’avec ce regard, Haruhi réussit tout ce qu’elle entreprend, bah non. C’est mal filmé, avec une caméra qui tremble, des effets spéciaux à 100 yen, des éclairages de pacotilles, et des acteurs qui oublient leurs lignes. Ceci dit, avec les commentaires de Kyon, le personnage principal masculin, c’est tout simplement énorme.
Non, la série débute vraiment à l’épisode 2, où Kyon arrive à être ami avec Haruhi avec un peu de persévérance, après avoir réalisé qu’elle change de coiffure chaque jour de la semaine… Une belle eccentrique.
Comme je le disais, ce qui rend cette série unique, c’est Haruhi, son caractère détonnant, sa détermination, son génie, et surtout, sa méchanceté. 😛
Elle n’hésitera à aucun moment à faire chanter le président du club informatique, à kidnapperconvaincre une étudiante pour la faire rentrer dans son club, à presque tuer Kyon à coup de bureau, ou à cosplayer en bunny girl pour attirer du monde dans son club, la SOS Brigade.
Que fait la SOS Brigade? Une très bonne question que voilà. Vous le saurez en regardant les épisodes… 🙂
Haruhi Suzumiya no Yuuutsu est définitivement LA série de cette saison. originale, bien réalisée (merci à Kyoto Animation, pleine d’énergie, et surtout dotée d’un humour vraiment excellent à tous points de vue. La pauvre Mikuru, molestée par Haruhi m’a fait exploser de rire avec son « If I get ruined for marriage, will you take me? » au héros qui c’est senti bien désemparé devant tant de moé attitude.
Niveau ecchi, c’est du très bon dosage. Juste ce qu’il faut pour pas que ça soit indigeste (genre, pas comme Joshikosei)
A voir, absolument. L’opening et l’ending sont également tout bonnement excellents avec une danse vraiment sympa 🙂
Oh, et pour les intéressés, un projet de traduction des romans est en cours, sur un Wiki.
EDIT: Aprés avoir vu les épisodes 3 et 4, je ne saurais que recommander cette série aux amateurs de science-fiction, ça promet énormément!
Cette année, c’est l’année du yuri. Les scénaristes se lâchent, et ça se ressent énormément en cette saison printanière d’anime.
J’en veux pour preuve Joshikosei ou bien encore Simoun. Mais la meilleure preuve de toutes, ça reste quand même Strawberry Panic.
Sous ce nom qui ne veut absolument rien dire vis-à-vis de l’histoire (jusqu’ici en tous cas, peut-être que ça aura une signification particulière plus tard). On sait juste que Nagisa est une jeune fille un peu perdue et un peu trop innocente, qui entre dans une école pour filles. Cette école pour filles, très catholique (tiens ça ne vous rappelle pas un Maria-sama ga miteru, littéralement La vierge Marie nous regarde ?) est située sur un campus regroupant deux autres écoles, toutes aussi pour filles, et tout aussi catholique que la première.
Jusque-là, c’est une resucée totale de Marimite, mais le pire (ou la cerise sur le gateau, selon votre point de vue 🙂 ) c’est qu’ils poussent l’aspet yuri encore plus loin, et avec encore plus de force. J’en veux pour preuve la coqueluche de l’école où Nagisa entre, Etoile, qui s’amuse visiblement et embrasser, plus ou moins de force, des jeunes filles qui lui plaisent. Et évidemment, la pauvre Nagisa en fait les frais. C’est sans compter évidemment sur sa copine de chambrée, doublée par Ai Shimizu (Minawa dans Mahoromatic) qui a l’air d’en pincer aussi pour elle.
En clair, Strawberry Panic est un Marimite boosté aux phéromones yuri. Avis aux amateurs… 🙂
J’avais déjà acheté MGA pour ma PSP il y a de cela quelques mois.
Beaucoup de gens ont dénigra ce jeu parce qu’il n’obéissait pas aux régles habituelles d’un Metal Gear, à savoir, de l’action trépidante et cinématographique à gogo. Or là, il s’agissait d’un jeu tactique, avec des cartes. Au premier abord, ça peut sembler super déroutant, et ça l’est. Le jeu est même très difficile au début, mais on prend rapidement un malin plaisir à progresser et à continuer le jeu pour connaître tous les tenants et aboutissants du scénario.
Qu’en est-il alors de ce Metal Gear Acid 2 ? Au niveau scénaristique, on prend un Snake amnésique et on l’embarque dans un complot mélant le FBI et une société confectionnant des armes. Un complot habituel, avec son lot de personnages et de retournements plus ou moins prévisibles.
Le scénario en lui-même m’a un peu déçu. Peut-être est-ce parce que j’ai fait le jeu rapidement, je en sais pas, mais j’avais trouvé celui du 1 plus fouillé, plus énigmatique, avec beaucoup plus de rebondissements. Le jeu a été plus facile aussi, mais encore une fois, c’est probablement parce que j’avais déjà joué au 1.
Pour ceux qui ne connaitraient pas le jeu donc, il s’agit en gros d’un jeu tactique au tour par tour, se jouant avec des cartes, un peu à la Magic. Il y a un peu plus de 500 cartes différentes, mais on ne peut en posséder que 40 dans son deck, et 7 en même temps. Je m’explique:
A chaque tour, on peut utiliser deux, voire 3 ou 4 cartes, selon le niveau d’action du personnage dirigé. Ces cartes peuvent être des cartes à utiliser, ou à équiper (armures, armes, capacités spéciales, etc.). Si on ne souhaite pas les utiliser, on peut toujours déplacer son personnage avec, ce qui aura pour effet d’utiliser la carte, et donc de la remettre dans le deck de 40. A chaque carte est associée un coût (COST) qui varie selon les cartes. Chaque carte utilisée augmente le COST, et celui-ci diminue après chaque tour. Lorsque le COST est à 0 c’est au tour du personnage d’agir. Il faut donc savoir tirer parti du hasard des cartes tirées parmi son deck de 40 (sachant qu’on en tire 2 automatiquement à chaque tour) mais aussi parfois sacrifier telle ou telle carte pour se déplacer, ou bien la garder dans son jeu pour pouvoir la sortir à un moment bien propice.
Avec près de 550 cartes on ne peut pas dire que le jeu ne soit pas varié. Il autorise d’ailleurs pas mal de styles de jeux différents, puisque certaines cartes sont très difficiles à avoir, ou sont très efficaces mais aussi très couteuses en COST ou limitées. Par rapport à MGA1, on a désormais la possibilité d’upgrader des cartes pour qu’elles soient plus efficaces, ce qui augmente encore plus les possibilités.
Si on ajoute à ça l’infiltration (le jeu récompense clairement le joueur qui ne se fait pas repérer, mais terminer le jeu comme un bourrin est tout à fait possible), les modifications de statut (saignement, aveuglement, désorientation, etc), ou même le mode link battle (multi quoi), on arrive à quelque chose de très intéressant.
L’une des grandes nouveautés, c’est tout de même l’arrivée de Hideo Kojima au sein du staff. Pour rappel il n’avait pas participé au premier MGA, et ça s’était un peu senti. Cependant, son implication est très floue dans cet épisode, et bien qu’on retrouve quelques petites touches de lui, j’ai difficilement trouvé une grande différence avec le premier opus.
Il y a quand même de nombreuses améliorations: l’upgrade des cartes, des stages bien plus variés, et aux décors plutôt intéressants, et comme vous l’aurez constaté, un look un peu plus coloré, grâce à l’utilisation d’un cel-shading du plus bel effet sur les personnages. On est loin du look très gris habituel des Metal Gear.
Si vous avez aimé le premier opus, vous aimerez sans doute sa suite. Cependant, pas la peine de se leurrer, ceux qui n’auront pas aimé MGA1, ne verront aucune amélioration notable ici suceptible de leur faire aimer le concept, assez spécial, mais très jouissif, de cette tournure acide de la série. Et après on se plaint que les jeux ne se renouvellent pas! 🙂
Pour moi, le jeu aurait mérité à être bien plus long, mais il faut aussi souligner qu’on peut repasser dans les endroits déjà visités pour déclencher des mini missions aux objectifs différents, afin de gagner des cartes supplémentaires. Un excellent point pour la durée de vie, surtout parmi ceux à la fibre collectionniste, qui adoreront l’éventail de cartes à obtenir pour compléter le set.
Sous ce nom simple et peu évocateur, se cache en fait la plus grande débauche de fanservice que j’ai pu voir ces dernières années. A un tel point que cet anime est capable de rivaliser avec des pointures comme Agent Aika ou Green Green.
Je m’explique.
Joshikosei, littéralement « lycéennes » nous conte les péripéties quotidienne d’un groupe de 3 amies, qui vont en rencontrer un autre (groupe de 3) dans un lycée pour filles. Toutes ces filles ont un point en commun: elles quittent le collège et entrent dans la vie trépidante du lycée. Rien de bien excitant me direz vous… Or, c’est sans compter sur l’humour, clé de voute de l’anime, et sur le fanservice, qui sert de dalle porteuse.
Le fanservice, dans joshikosei, ça se résume à ça:
et ça:
Maintenant que j’ai capté toute votre attention, je vais pouvoir continuer 😛
D’après les premiers screens et trailers que j’ai pu voir, je me suis dit alors que c’était surement un anime pour moi. une AxelTesserie comme dirait ce cher Corsaire. Cependant, je dois admettre que, bien que le design des persos, et le dessin, soient tout ce qu’il y a de plus agréables à regarder, et même si le casting des doubleuses a été plus que bien choisi, je dois bien admettre que toute cette surpuissance de fanservice me fait presque me demander si c’est une série pour garçons ou pour filles à la base. Difficile à cerner!
Ceci dit, ça reste agréable à regarder pour le moment, léger, et avec des personnages assez attachants. Une des bonnes sorties de cette saison.
Décidément, Honey-sama me surprendra toujours. Faut vraiment que j’aille voir ce salon de coifure opéré par des maids quand j’irai au Japon le mois prochain 🙂
Soul Link est un anime tiré d’un H-Game des mêmes auteurs que pour SHUFFLE!.
A première vue, ils ‘agit d’une histoire toute banale se déroulant dans l’espace, avec en prime une base militaire. Oui, c’est de la repompe de Stellvia a première vue. Et ça se confirme quelque peu avec le premier épisode. Vous pouvez mélanger à ça des designs assez quelconques (au moins Shuffle était plus coloré) et des CG ici font assez pitié.
Au moins, j’aime leurs uniformes 🙂
(vous pouvez cliquer sur l’image pour l’avoir en grand)
Ah, l’histoire? Oh, un peu trop vague à raconter pour le moment: on sait juste que l’héroine, et le héros, se retrouvent sur une station orbitale pour y effectuer leur service militaire. Il semble y avoir un truc louche qui se trame en arrière plan, et nos deux héros vont retrouver quelques uns de leurs amis sur place.
Visuellement peu convaincant, bourré de clichés (la sortie de la douche… sérieux…), la série m’a un peu déçu, car je m’attendais à un space opera comme on en fait plus, mais laissons le temps à la série de se dévoiler. Ce genre d’animes se déguste bien souvent à long terme…
Certainsfont des armées de Space Marines pour Warhammer 40,000, mais moi c’est mieux: je fais une armée de maids 🙂
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