Étiquette :nogizaka haruka no himitsu

Grand Tournoi des Mamans – Poules 1 et 2

Bon, vous êtes chauds ce soir?

*bruit de foule en délire*

Parfait, car ce soir, c’est le coup d’envoi du Grand Tournoi des Mamans, le quatrième tournoi sur Meido-Rando après le Grand Tournoi des Maids, le Grand Tournoi des Tsundere et le Grand Tournoi des Seifuku. En quoi consiste ce tournoi pour ceux qui débarquent? Avant l’été, il a été question de choisir les 32 participantes, toutes des mamans d’exception (ou pas) dans les animes que nous avons regardé. Dans un premier temps, il s’agira d’élire pour chaque poule (2 poules par semaine) votre maman préférée. Les deux premières de chaque poule se retrouveront pour les phases finales (avec des huitièmes de finales) dans un mois. Les votes démarrent le dimanche soir à minuit et se termine au même moment la semaine suivante. Pas la peine d’utiliser des proxy pour voter en masse, il y aura un épluchage minutieux des votes au fur et à mesure de la semaine.

On va donc commencer la présentation des mamans des poules 1 et 2. Il reste une place pour les présentations de la semaine prochaine, les poules 5 et 6 et 7 et 8 sont reservées par Sirius et Tinky déjà.

Allez, en piste !

 

Poule 1

Haruko (Air TV)

haruko

Pour les moins malins, il s’agit du personnage tout à droite. Si si j’vous jure.

N’ayant pas vu la série, je ne peux hélas pas dire grand chose sur Haruko à part ce qu’on m’en a dit : Haruko n’est pas la vraie mère de Misuzu mais sa tante. Néanmoins, elle va s’occuper d’elle comme d’une fille après avoir eu un peu peur d’elle. Elle boit beaucoup et aime la moto, ce qui ne fait pas toujours très bon ménage.

  • Sens des responsabilités : C
  • MILFness : A
  • Cuisine : inconnu
  • Tâches ménagères : inconnu
  • Combat : inconnu

Makiko Onimaru (Muteki Kanban Musume)

makiko

Makiko est la mère de Miki dans Muteki Kanban Musume, plus connu chez nous sous le nom de Noodle Fighter. Elle tient le restaurant familial et exploite sa fille en la faisant bosser en tant que serveuse et livreuse de ramen à domicile. Sa force est inversement proportionnelle à sa beauté. (sans blague, elle dérouille sa fille à chaque occasion, comme le montre ce screenshot)

  • Sens des responsabilités : A
  • MILFness : F
  • Cuisine : SSS
  • Tâches ménagères : inconnu
  • Combat : SSS

Chichi (Dragon Ball Z)

chi-chi

Je n’ai rien suivi à DBZ. Dans mon adolescence, j’ai regardé Sailor Moon et je n’aimais pas Dragon Ball Z, je le dis ici et maintenant.

Enfin, d’après mes informateurs, Chi-chi est surtout une Maman Poule de premier ordre, qui a fait de son fils une loque humaine en tentant de le protéger de tout et rien. Elle sait néanmoins se bastonner si besoin et prend son rôle de mère très au sérieux.

  • Sens des responsabilités : A
  • MILFness : C
  • Cuisine : inconnu
  • Tâches ménagères : inconnu
  • Combat : B

Sazae (Sazae-san)

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Puisque ce personnage n’est là que pour faire plaisir à ce vieil élitiste de Rukawa, je vais laisser Tetho s’exprimer, vu qu’il est le seul par ici à avoir vu au moins un épisode de cette série qui tourne sur les chaines japonaises depuis plus de 30 ans. (Si si, ça passe encore, y’a des nouveaux épisodes.)

[21:45:34] <Tetho> heu c'est une mère de famille
[21:45:40] <Tetho> et... heu...
[21:45:44] <Tetho> il lui arrive des trucs .
[21:45:50] <Tetho> (pas drôles)

Ca devrait suffire.

  • Sens des responsabilités : inconnu
  • MILFness : F
  • Cuisine : inconnu
  • Tâches ménagères : inconnu
  • Combat : inconnu
Et voici pour la poule 1, en avant pour la 2 !

Poule 2

Yui Ikari (Evangelion)

yui

 

Yui fait partie de ces personnages emblématiques des mamans des années 90 avec son rôle dans Evangelion, même si on ne la voit réellement que lorrs d’un épisode flashback (et même pas en tant que mère.) Néanmoins, le fandom s’accorde à penser qu’elle était très importante pour son fils Shinji et que malgré son travail elle faisait certainement une très bonne mère (sûrement très absente aussi, mais bref.)

  • Sens des responsabilités : B
  • MILFness : B
  • Cuisine : inconnu
  • Tâches ménagères : inconnu
  • Combat : SSS

Ren Seto (Seto no Hanayome)

ren

Sirène et femme d’un grand Yakuza sous-marin, Ren sait se défendre et surtout aime sa fille et sait tenir tête à son mari quand celui-ci va un peu trop loin et fait son papa poule envers San. Une mère redoutable dont il faudra peut-être se méfier… Et puis vous savez ce qu’on dit sur les sirènes…

  • Sens des responsabilités : A
  • MILFness : B
  • Cuisine : inconnu
  • Tâches ménagères : inconnu
  • Combat : A

Akiko (Kanon)

akiko
Akiko sera sans doute l’une des favorites du tournoi. Mère de la cousine du héros dans Kanon (et donc sa tante, faut suivre.) Akiko travaille on ne sait où et s’occupe plutôt bien de la maison (vu qu’il n’y a jamais un coin sale ou mal rangé, on se doute qu’elle s’en sort bien). Sa cuisine est également excellente, sauf si l’on apprécie pas sa confiture « spéciale » radioactive. Elle s’est occupée de sa fille Nayuki toute seule dés sa naissance.

  • Sens des responsabilités : A
  • MILFness : A+
  • Cuisine : A (F si on prend en compte sa confiture)
  • Tâches ménagères : A
  • Combat : F

Akiho Nogizaka (Nogizaka Haruka no Himitsu)

akiho

Akiho est la voix de la raison face au père de Haruka, un peu comme l’est Ren avec le père de San dans Seto no Hanayome. Immensément riche, se balladant très souvent en yukata, elle semble s’inquiêter pour sa fille mais fait confiance à son prétendant apprenti otaku. Une mère sans aucun doute redoutable, mais arrivera-t-elle a s’imposer face aux autres de sa poule ?

  • Sens des responsabilités : A
  • MILFness : A-
  • Cuisine : inconnu (elle a des maids)
  • Tâches ménagères : inconnu (elle a des maids)
  • Combat : C+
Faites vos jeux, rien ne va plus !

Anime Catch Up – Octobre 2008

Nous revoici à une période charnière avec une rentrée bourrée d’animes à visionner. C’est un bon moment pour faire le point sur les séries que je regardais et qui ont avancé ces derniers mois. C’est là qu’on se rend compte que des séries qui ont bien démarré ne se retrouvent pas forcément au mieux de leur forme sur la fin.

  • ef  : Une série pleine de potentiel dramatique qui m’aurait bien plu si seulement elle n’avait pas été réalisée par SHAFT. Si même KyoAni arrive à se foutre de leur gueule dans l’OAV de Lucky Star, c’est qu’ils devraient vraiment se remettre en question. Je n’ai pas pu supporter plus de 3 épisodes.
  • Yakushiji Ryouko no kaiki jikenbo : Une série d’enquête et d’action assez originale même si parfois un peu inégale. Heureusement c’est court et ça se laisse regarder, surtout avec les deux meido qui parlent français et Ryouko qui est l’incarnation du fanservice de femme adulte.
  • They are my noble masters : Une fin trop rapidement bouclée, comme sur la majorité des animes tirés d’eroge. Etre butler, ça semble bien plus difficile que meido quand même.
  • Slayers Revolution : Pour une suite, on peut dire que ça fait dans la continuité. En réunissant toute l’équipe des saisons précédentes pour celle-ci, JC Staff a voulu jouer la carte de la prudence. Le truc c’est qu’a part quelques moments sympa, Slayers Revolution est juste regardable sans atteindre le génie de Slayers Next. Il est même inférieur à Slayers Try pour moi, c’est dire. Par contre entendre Lina Inverse faire son Dragon Slave, ça poutre toujours autant.
  • Seto no hanayome : Je m’étais promis de faire une review de cette anime plus en détail, et au final je me suis demandé ce que je pourrais bien en dire. Plutôt d’ôle et déjanté, ilf aut néanmoins pouvoir suivre le débit parfois affolant de certains personnages. San, l’héroine, est tout de même un modèle de waifu (c’est comme meido mais pour les épouses) et son obsession de l’honneur fera sourire à bien des moments.
  • Nogizaka Haruka no Himitsu : Un départ diffricile pour une série qui aurait gagné a avoir un personnage féminin moins cruche et niais. NHNH s’est néanmoins laissé regarder… Rien d’inoubliable, même si la fin m’aura fait furieusement penser à ma Meido N°2 d’élite.
  • Macross Frontier : MF a été en fait la première série de Macross que j’ai réellement suivie de bout en bout, grâce à une réalisation presqu’impeccable (je dis presque parce que certains épisodes méritent de disparaître brûlés) et à des personnages fort attachants (sauf Ranka). L’accouchement de la fin fut assez difficile, mais elle valait le coup. Le seul problème c’est qu’on a une sorte de retour à la case départ pour Alto, Sheryl et Ranka à la fin de la série.
  • Lucky Star OAV : Hé oui, on l’attendait tous, et c’est une OAV de 45 minutes qu’on nous sert. Plutôt rigolote ici et là, cette OAV reste néanmoins à l’image de la série originale: si vous n’aimez pas la tranche de vie, passez votre chemin, vous serez fort déçus.
  • Kanokon : Kanokon sera devenu tristement célèbre pour le choc de ses images. Un peu comme School Days en somme, mais admettons quand même que c’était rigolo à regarder, ne serait-ce que pour savoir jusqu’où le réalisateur allait pousser le bouchon.
  • Itazura na Kiss : Du shoujo old school et plaisant. J’ai plutôt apprécié, mais bizarrement j’ai décroché après l’étape du mariage. Reconnaissons tout de même qu’il est rare qu’une histoire amoureuse dans un anime se déroule sur autant d’années. Kotoko a cependant toujours l’air d’une lycéenne même en étant mariée et en bossant comme infirmière. Ils auraient dû la vieillir un peu.
  • Kamen no Maid Guy : Débile et pas super intéressant au final. C’est dommage, car l’idée du maid guy, viril et baraqué dans son uniforme de meido, ça avait quand même un effet comique très séduisant.
  • Candy Boy : Du shoujo-ai à l’état pur, et entre deux soeurs. Quel dommage que ça dûre si peu de temps et que les épisodes soient aussi espacés.
  • Chii’s sweet home : Irrésistible. Il faut juste que je prenne le temps de mater la centaine d’épisodes de 3 minutes d’affilée, parce que un par un ça va vite être lourd.

Allez, cette semaine si je suis chaud, il y aura Clannad After Story et Kannagi sur Meido-Rando. Si je suis chaud.

Nogizaka Haruka no Himitsu

A vrai dire chaque fois qu’une nouvelle saison d’anime se profile, je survole la liste des nouveaux animes qui vont être diffusés, et rien de spécial n’attire mon attention, sauf peut-être les licences très connues, ou bien des animes à l’intrigue particulièrement rigolote. Dans la pratique, il est rare que je me cantonne à une seule série lors d’une saison, mais j’en regarde parfois deux ou trois à la fois, pas plus. Suis-je devenu élitiste? Vieux con? Otaku de seconde génération ? Les trois à la fois ? Blasé peut-être ? Non, pas blasé… car je sais reconnaître une bonne série quand on me dit "va essayer ça c’est vraiment trop cool." Ceci étant dit on m’a déjà piégé comme ça avec des animes de Sunrise tels que Mai Otome et Gundam 00. Peut-être que je devrais mieux choisir mes amis à l’avenir…

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Nogizaka Haruka no Himitsu (Le secret de Haruka Nogizaka) est donc l’une de ces séries que j’attendais; Un peu trop peut-être, car au final, NHNH ne se révèle pas complètement à la hauteur de mes espérances. Pas complètement?

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Je suis trop faible.

Allez, je vous explique, tant que j’y suis. Notre héros typique de harem, Yuto, est un gars un peu blasé mais sympa dans le fond. Par contre il a un pote qui adore les animes. Bref, c’est un otaku. Yuto lui, suit ça de loin. Ca l’intéresse mais pas plus que ça. Dans sa classe, Yuto connait une fille, Haruka Nogizaka, qui est la coqueluche du lycée. Belle, intelligente, douée, issue d’une famille riche. Cette fille a tout pour elle, la noblesse, la démarche gracieuse, et la voix horripilante de Noto Mamiko. Vous voyez le personnage plus haut? Imaginez donc la voix de la binoclarde de Mai Hime, de Aya de Ichigo 100% ou bien encore plus récemment de Kotomi dans CLANNAD. Voilà. C’est là que ça va pas. Pour moi, ce personnage aurait dû être une tsundere, pour que ça soit limite drôle. Mais non, elle fait la timide, et en plus de ça rien qu’à l’entendre j’ai d’affreux flashbacks de Kanokon (où elle doublait le héros shota.)

Pour continuer sur l’histoire, en gros le héros va s’apercevoir que notre héroine a des lectures étranges. Enfin, étranges pour elle: elle lit des magazines pour otake quand personne ne la regarde. Voilà le secret que l’anime aura mis la moitié d’un épisode à nous réveler: Nogizaka Haruka est une otake qui ne s’assume pas.

Suppliant alors le héros de ne rien dire à personne, (surtout après qu’ils aient renversé plusieurs étagères de la bibliothèque scolaire, ce qui va être compliqué à cacher) celui-ci accepte et ne pense même pas l’ombre d’un instant la faire chanter pour obtenir de l’argent ou quelques menus services de la part de la très mignonne Haruka. Quel gâchis.

Ce dernier devient plutôt le gardien de son secret, et en lui, Haruka trouve quelqu’un à qui parler de sa passion, et traîne même notre héros jusqu’à Akihabara, où elle visitera des enseignes de prestige tel que Tora no Ana, où on peut trouver tous les meilleurs dojinshis du monde.

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Après un premier épisode bien moyen, la série se rattrape pour le moment avec un second où le personnage de Haruka est bien plus équilibré. Dans le premier, on voit surtout qu’elle est timide, maladroite et un peu cruche. Mais en fait, dans le second, une fois dans son élément (Akihabara), elle prend les devants, dirige le héros, sait où elle va, et finira même par essayer bien volontiers un costume de meido dans un maid café. Ces réalisateurs savent me prendre par les sentiments.

N’empêche que malgré sa réalisation dans la moyenne, son opening otake et son ending du même acabit avec des meido qui dansent sur une musique quelconque, NHNH se dresse comme un petit anime sympatoche pour les fans que nous sommes, à l’image d’un Genshiken, Comic Party, ou d’un Lucky Star, sans toutefois en atteindre leur brillance. Car ce qu’il manque pour le moment à NHNH, c’est bien ça, du peps’.

L’ending m’amène d’ailleurs à me poser la question suivante: comment KyoAni va-t-il faire pour faire MIEUX que le Hare Hare Yukai pour la seconde saison de la déesse?