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MaOTD #608

Pour les maîtres stressés, rien de tel qu’une meido calme et pleine d’attention. C’est ce que Meidolicious Inc. vous propose aujourd’hui avec ce modèle à seulement 2 000 Maid Points !

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Un Thème et des questions metaphysiques sur Meido-Rando

Meido-Rando approche de ses sept années d’existence. Du coup, je me suis demandé si un petit ravalement de façade ne serait pas bénéfique. Je pense que j’en ai également besoin dans ma vie, histoire de prendre un nouveau départ. J’ai l’impression en effet de me trouver à la croisée des chemins, et ce sur tous les plans.

Mais passons ces considérations purement personelles et qui n’intéresseront pas grand monde pour se concentrer sur les thèmes.

J’en ai trouvé quatre. Je vous propose du coup un sondage sur votre gauche pour voir quel thème remporterait le plus de suffrages, alors n’hésitez pas à voter, et à donner vos avis dans les commentaires.

Bien sûr ces thèmes seraient un poil modifiés au final : je ne compte pas m’en servir tels quels. Donc si vous en aimez un mais qu’unt ruc vous chiffonne, ça se discute aussi.

Si vous connaissez d’autres thèmes suceptibles de m’intéresser, je prends aussi : dans l’idée, je cherche un thème sombre qui ne pique pas les yeux et avec une présentation somme toute classe. Par contre j’aimerais éviter les artifices graphiques autant que possible : a part le contenu des articles, le graphisme de Meido-Rando doit se limiter à un fond et une bannière.

En parlant de bannières, j’aimerais aussi en avoir de nouvelles. Je remercie déjà tous ceux qui en ont fait pour moi la dernière fois qu’on a changé le thème :é tant une bille en photoshop (sans compter mon problème de vue) il ne m’est pas très simple de créer quoi que ce soit de graphique comme je le voudrais (pourtant j’ai des idées :p)

Pour les dimensions des bannières, on verra ça une fois le thème choisi, je suppose. Mais si vous avez déjà des idées, et que ça ne vous dérange pas de la redimensionner plus tard une fois le thème choisi, alors faites vous plaisir :

  • Il doit y avoir le nom du site (pas l’URL)
  • Il doit y avoir des meido ou des miko, ou les deux à la fois.

Pour récompense, je dois bien pouvoir vous offrir un petit quelque chose du Mahoro Network, que ça soit un accès FTP ou une adresse mail, par exemple…

Et pour finir, je réfléchissais à la possibilité d’organiser une sorte de Quartier Libre, comme au bon vieux temps de l’Editotakus ur Meido-Rando. Le problème étant que beaucoup de gens ont des blogs maintenant donc n’ont plus forcément la nécessité de squatter le blog de quelqu’und ‘autre pour y pondre un article. Pour ceux qui ne connaissent pas, le principe est que je fournis un compte lambda sur Meido-Rando qui permet à tous ceux qui le souhaitent d’écrire un article de leur choix, sur le sujet qu’ils veulent, sans restrictions.

Comme pour le thème, vous trouverez un sondage à gauche, mais n’hésitez pas à détailler votre avis dans les commentaires !

Voilà, merci à tous les lecteurs de votre participation !

La PS Vita

Je ne me considère pas un fan absolu de Sony. Même si j’ai finalement possédé à un moment ou un autre toutes leurs consoles, j’ai toujours mis un peu de temps avant de me prendre une PSOne, puis une PS2, puis une PS3. Les seules exceptions sont donc la PSP et la PSVita que j’ai achetées le premier jour de leur commercialisation dans nos contrées.

Avec la Vita, Sony nous pond le successeur de la PSP. PSP qui a eu une vie hélas bien difficile. Si on remonte en 2005, déjà dés sa sortie les jeux se faisaient rares, les UMD Vidéo ont fait un flop inégalé, l’absence d’un second stick directionnel, des boutons mal réglés, une croix directionnelle impraticable, et comble du comble, la console est tombée en proie au piratage facilité par les multiples failles trouvées dans la console, son firmware, ou ses jeux. Pourtant, elle avait des qualités : un rendu à mi chemin entre une PSOne et une PS2, un grand écran confortable, une connectivité WiFi à toute épreuve (contrairement à la DS Lite sortie à la même époque et qui ne gèrait pas la protection WPA pour le WiFi, empêchant donc son utilisateur de se connecter à son réseau à la maison, par exemple), l’absence de zonage des jeux permettant de se trouver de bons petits RPGs sortis aux US, et… le piratage facile.

Je me suis donc procuré la nouvelle console de Sony, et même si de loin on pourrait la prendre à juste titre pour une PSP, l’intérieur en est tout autre. Même si l’extérieur n’a que peu changé, on trouve un écran plus grand en hauteur que celui de la PSP, un second stick, et des emplacements carte mémoire à la place du lecteur UMD.

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Avant d’aborder l’intérieur, parlons du package. Parce que ça ne démarre pas fort : Sony nous fait l’affront de fournir la console sans aucune carte mémoire. Pire : la console n’a pas de mémoire interne et il faudra donc forcément prévoir l’achat d’une carte avec votre console sous peine de voir certains jeux refuser de se lancer. Et c’est pas fini : les cartes mémoire, aussi petites que des cartes micro-SIM de téléphone, sont à des prix assez élevés (16 Go pour environ 40€, ça pique un peu.)

Les jeux ne sont également plus livrés sous forme d’UMDs mais de cartes mémoire qu’on met dans un second slot, en gros comme des cartouches DS, grosso modo. On pourrait penser que les temps de chargement disparaitraient enfin, mais il faut bien patienter 15 à 20 secondes pour lancer une course sur Wipeout 2048. Un peu balot tout ça. A noter que les jeux sont également tous disponibles sur le PSN (maintenant SEN) le magasin online de Sony, pour un prix à peine inférieur à celui en boîte.

La console est également disponible en deux modèles : Wifi et 3G. Honnêtement, après avoir un peu tâté de la bête je vois absolument pas ce que l’option 3G peut procurer comme confort. Sur un iPad à la limite, d’accord, mais sur une console qui en plus ne gère pas le jeu en ligne via 3G justement (à cause du ping certainement) ça perd tout de suite de son intêret, sans compter qu’il va falloir raquer avec un abonnement ou des cartes prépayées. Peut-être que les futures offres data uniquement de Free redonneront un peu d’intêret à la chose, mais pour le moment… La version 3G de la PSVita risque de ne pas se vendre du tout.

A noter également que je me suis fait avoir au moment où j’ai voulu charger la console : vendue avec son câble USB et un chargeur, le dit câble USB avec un côté propriétaire pour être branché sur la PSVita n’a pas de détrompeur si ce n’est un logo PS sur le dessus du câble. Il est donc aisé si on ne fait pas attention de se gourrer de sens et de s’étonner pourquoi la console ne charge pas du tout sa batterie…

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Allumée la première fois, la console vous guide pour la configurer, sur une musique d’ascenseur assez relou qu’on aura vite fait de désactiver dans les options une fois la configuration initiale terminée. Je n’ai pas rencontré de problème bloquant particulier, et il faut bien avouer que la puissance sous le capot de la console sert bien l’interface qui reste fluide et réactive quoi qu’il arrive.

Cette dernière se pilote entièrement au doigt sur l’écran de la console. Si on est un habitué des smartphones on sera en terrain connu. C’est aussi réactif qu’un écran d’iPhone et l’interface a plein de bonnes idées. A vrai dire je me voyais mal piloter un XMB (l’interface de la PSP et PS3) au doigt…

De haut en bas on fait défiler les pages d’applications, représentées sous formes de bulles. On peut les réordonner à loisir, faire autant de pages que l’on souhaite et aussi mettre un écran personnalisé par page :

httpv://www.youtube.com/watch?v=zh4QwDrjL8k

De gauche à droite, on a les « feuilles » d’applications. Ce que Sony appelle les LiveArea, en gros ce sont les dernières applications ouvertes et leurs feuilles. Une feuille d’application, c’est un bouton pour démarrer l’appli, un autre pour aller sur son site web, mais selon le développeur derrière ça peut être aussi la liste des activités récentes de soi ou de ses amis sur le jeu en question, ou bien un accès direct à certaines fonctions de l’appli. Ainsi, la feuille de l’appli « Photos » vous permettra d’accéder rapidement à l’appareil photo plutôt que de passer par l’interface de visualisation d’abord. C’est plutôt pas mal, même si on regrette un peu que du coup il faille deux « tap » pour lancer une application.

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Au chapitre des applications disponibles sur la console, on trouve Facebook, Flickr, Twitter et Foursquare téléchargables sur le PSN, mais la console offre quand même quelques applications de base. Les classiques Photos (dont l’appareil intégré ne vaut pas tripette mais est certainement meilleur que ceux de la 3DS), Musique, Vidéos, liste d’amis, liste de trophées (les succès de la PS3), Google Maps, un accès au PS Store, un navigateur Web, lecture à distance de contenu stocké sur la PS3…

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Parmi ces applications, il y a Near, une sorte de Streetpass du pauvre, ou plutôt moins ludique. Near se contente de répertorier les joueurs de PSVita à proximité, à quoi ils jouent, et éventuellement d’échanger des choses avec eux. Pour le moment cependant cette fonctionnalité n’a pas l’air utilisée dans les jeux.

Near est un peu complexe à expliquer sur le papier, la faute à une interface peu claire, et surtout le manque d’utilisateurs pour le moment, mais gageons que ça deviendra plus intéressant par la suite, surtout lors de conventions…

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Ces applications prennent en général jusqu’à 20 Mo de place sur votre carte mémoire, tandis que les jeux et démos vont en général de 500 à 900 Mo, bien que Uncharted soit quand même à 3,8 Go… ! Bien sûr, ça c’est si vous allez les acheter sur le PSN. Moi qui suis malvoyant, je préfère cent fois cette méthode quitte à raquer pour un grosse carte mémoire, car j’ai tendance à plus facilement perdre mes cartouches, déjà que celles de DS et 3DS… Sans compter qu’un jeu acheté sur le PSN peut être retéléchargé autant de fois que l’on le souhaite.

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Autre nouveauté bienvenue : un centre de notifications qui permet de suivre les téléchargements en tâche de fond (leur installation se fait néanmoins une fois seulement que l’on revient au menu principal, et on ne peut pas y couper pour remettre ça à plus tard) ainsi que les trophés glanés et les notifications de Near et certainement d’autres applications ou jeux à venir.

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Je vous vois venir : « Bon c’est quand qu’on parle des jeux là ? C’est une console de jeux, non ? » Hé oui, ça en est une, et au moins, Sony a compris qu’il fallait impérativement une bonne liste de jeux pour sortir sa console. On a du coup droit aux éternels Wipeout et Uncharted (d’un fort beau gabarit) ainsi que d’autres petites merveilles comme un Lumines, Rayman Origins, mais aussi des jeux en téléchargement uniquement comme Gravity Rush (à paraître) ou Escape Plan. On peut également télécharger la plupart des jeux PSP du PSN… Je regrette cependant qu’on ne puisse pas prendre de jeux PSOne pour le moment. J’ai envie de me refaire Metal Gear Solid et sa « splendide » VF.

Sony fournit six cartes de réalité augmentée qu’on peut utiliser avec trois petits jeux gratuits qu’on trouvera sur le PSN : Fireworks, Cliff Diving et Table Football. Plutôt gadgets, ils amuseront la galerie et montreront qu’en termes de réalité augmentée, la PSVita fait aussi bien si ce n’est mieux que la 3DS grâce à sa puissance supérieure. Ceux qui voudront faire la course aux trophées pourront même s’escrimer sur l’application de bienvenue qui permet de tester les différents modes de contrôle de la console via des mini jeux dignes de ce qu’on nous vend pour 40 euros sur DS (j’exaggère un peu.) mais qui permettent de se familiariser avec ce que la console a à nous proposer.

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Exemple de « feuille » avec celle de Lumines

Il est évident néanmoins que l’acheteur de PSVita va vouloir se rabattre sur les jeux plus conséquents, et quand on voit Wipeout ou Uncharted tourner, on ne peut qu’être admiratifs devant la qualité de la 3D affichée, couplée à un écran OLED qui pête bien, ça rend vraiment très bien. Les contrôles avant et arrière au toucher ne sont pas encore vraiment exploités dans les jeux que j’ai pu tester (je vais me mettre à Escape Plan ce soir…) mais on sent déjà tout le potentiel d’un appareil capable de rivaliser avec un iPhone 4S en termes de puissance, d’un écran tactile qui répond au doigt et à l’oeil couplé àd es contrôles physiques. C’est un peu la machine de rêve du joueur nomade pour moi.

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Notez que la PS Vita a un système de prise de capture d’écran intégrée ! Mais elle ne marche pas dans tous les jeux : par exemple je n’ai pas pu en prendre dans Wipeout 2048.

Côté autonomie, ça se situe dans ce que faisait la PSP en son temps. En utilisation intensive, la batterie s’est vidée en environ 3 heures, ce qui est honorable (comparativement à une bonne 3DS…)

Après, je pense que c’est comme pour toutes les consoles : on les achète avant tout pour leurs jeux. S’il y a des jeux qui nous plaisent dessus, on a besoin de la console pour y jouer. J’ai bien acheté ma Xbox 360 pour Mass Effect, puis ma PS3 pour des jeux comme MGS 4, Uncharted 2, Disgaea 3 ou Valkyria Chronicles… Je n’ai jamais été vraiment partisan des jeux Nintendo. Ils sont certes agréables à jouer mais ne me procurent pas les mêmes émotions qu’un jeu d’action rapide, un bon gros jeu de course, ou un RPG conséquent. Chacun son truc comme dirait l’autre. Il n’empêche que sortir 250€ pour une PSVita m’a fait moins mal au cul que pour la 3DS. Après, il a fallu acheter la carte mémoire, certes, mais quand même… Comparativement, la Vita est capable de plus de choses, possède un online qui fonctionne bien et offre des jeux globalement de meilleure qualité. Et puis c’est pas comme si elle avait des mises à jour physiques… Vous voulez pas qu’on parle du deuxième stick prévu sur les prochains modèles de 3DS, quand même, hein ?

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Et en attendant, ma PSP 1004 achetée le jour de la sortie est toujours vivante et en bonne santé. Et elle vous en remercie.

Bref, n’hésitez pas à poser des questions dans les commentaires si vous en avez !

MaOTD #607

Pour vous mesdames et messieurs, une meido à lunettes sérieuse et attentionnée. Une PS Vita est d’ailleurs offerte pour les 5 000 premiers acheteurs de ce modèle, alors dépèchez-vous ! 4 500 Maid Points seulement !

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Source : Karahari Kuuko

Steins;Gate

Parfois on me met sous le nez des séries que j’avais complètement zappées à leur sortie, tout simplement parce qu’elles ne m’intéressaient pas ou bien que j’étais tout simplement passé à côté d’elles. De toutes façons, je ne suis que trois, maximum quatre séries par saison, et je trouve déjà que ça fait beaucoup, parfois.

Ce n’est que lorsque ma meido d’elite N°3 vient me voir et me fait « Hé dis il faut qu’on matte cet anime pendant les repas, ça a l’air bien. » (car au QG de la Brigade on a un rituel qui consiste à regarder un épisode d’un anime en mangeant le midi et le soir.) que je jette un oeil plus attentif sur la série. Les premiers épisodes étaient à vrai dire assez laborieux, il faut bien que je l’avoue. C’était lent et assez absurde, mais on se rend bien vite compte que la série cachait en fait un potentiel énorme et qu’il est plutôt bien exploité tout au long de ses vingt-quatre épisodes. Vingt-quatre épisodes bien utilisés pour retranscrire le visual novel dont l’histoire est issue. Un visual novel qui a gagné des prix même, tellement il roxxait des poneys du chaos.

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Houoin Kyouma Okabe Rintaro est un apprenti scientifique un peu fou, voire même carrément fou, narcissique et paranoïaque qui va assister à une conférence sur le voyage dans le temps à Akihabara en compagnie de son amie d’enfance un peu bêbête Mayuri (son « Tuturu~ » en guise de salutation viendra vous hanter longtemps.) Exaspéré par le fait que l’auteur de la conférence ait repompé les idées d’un certain John Titor qui aurait déjà voyagé dans le temps au début des années 2000, il fait un scandale. Sortant de la conférence, il va être attiré par un cri émanant d’une pièce, où il y trouvera une jeune fille gisant dans une mare de son propre sang. C’est là que tout se complique : il veut appeler les secours, mais son téléphone déconne et il se retrouve comme transporté. Et la fille, Makise Kurisu (ouais, j’ai vérifié, c’est bien Kurisu, et pas Chris) est bien vivante. La conférence a même été annulée. Et là si Rintaro était sur Internet, il ferait « Mais WTFBBQOMG? »

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Rintaro vit dans un labo occupé par son amie d’enfance Mayuri et un pote un peu rondelet, otaque et pervers nommé Daru. La galerie de personnages ne s’arrête pas là mais reste relativement fixe tout au long de la série. Il n’y a pas de nouveau personnage soudainement introduit pour relancer le scénario : tout est minutieusement calculé et tout le monde a son utilité, même les personnages les plus anodins au premier abord. Que ça soit Kurisu la jeune scientifique de génie, Rukako le trap, Moeka l’autiste à lunettes qui ne s’exprime que par son téléphone portable, Feyris la meido aux nekomimi qui bosse au May Queen à Akihabara, ou Braun le propriétaire qui loue le petit appartement qui sert de laboratoire à Rintaro, tout le monde va de près ou de loin participer aux aventures du « Future Gadget Laboratory ».

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Cette galerie de personnages aussi loufoques les uns que les autres permet à la série de se lancer avec des épisodes assez légers, qui permettent de se mettre dans le bain. Cependant, la série va assez vite évoluer vers quelque chose de plus grave, quand le laboratoire de Rintaro va commencer à intéresser le SERN. Non, je n’ai pas fait de faute, il s’agit bien d’un clin d’oeil appuyé au CERN que l’on connaît, avec son fameux LHC qui sera mentionné d’ailleurs dans la série. C’est d’ailleurs l’un des gros points forts de la série : on essaye de nous faire accepter cette histoire de voyages dans le temps (qui est de la science-fiction, pour le moment !) en nous donnant de nombreux repères bien réels pour explorer le phénomène comme le SERN, John Titor, ou l’ordinateur IBN 5100. Des références qui aident à bien localiser la série dans le temps et l’espace. On n’assiste pas à une histoire figée dans un Japon des années 198X, 199X ou 200X. Il y a une date, il y a des évènements qui sont bien les mêmes que ceux de notre monde réel, et dont le scénario s’inspire pour les modifier subtilement à sa sauce. Ici il n’y a pas vraiment d’artifice scénaristique comme un artefact magique ou une météorite qui tombe du ciel et qui permettrait de voyager dans le temps. Non, même si le coup du téléphone micro-ondes paraît invrasemblable, le scénario arrive à nous faire croire que c’est possible, sans essayer de donner des explications qui ne tiennent pas debout. Dans Steins;Gate, les gadgets fonctionnent, sans qu’on se demande pourquoi, sans qu’on cherche à réellement comprendre, et c’est ça qui est fort. On se laisse porter par l’histoire et les personnages qui ont chacun une manière de parler et un charadesign bien distinct. Charadesign qui est d’ailleurs signé Huke, qui a aussi designé Black Rock Shooter.

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Quand je disais que le héros était fou, c’est bien peu de le dire : il délire même complètement, s’invente une « Organisation » qui en veut à ses recherches au point d’être complètement parano, se fait appeler Houoin Kyouma au lieu de son véritable nom, s’invente un nom de code, bref, il sent bon le personnage un peu foldingue contre lequel on s’énerve au début, mais auquel on finit par s’attacher parce qu’au fond, c’est pas un si mauvais bougre que ça et que ses délires nous font rire à force. Heureusement que Kurisu est là pour lui donner la réplique. C’est un peu la voix de la raison de la série, et elle l’aidera dans ses recherches même si elle ne croit pas une seule seconde au voyage dans le temps au début.

Au final on se prend à délirer avec ces personnages improbables, et la trame principale qui avance bien dés les premiers épisodes passés, devient ensuite plus sombre et angoissante. C’est à ce moment d’ailleurs que la série prend vraiment son envol, et où on mesure bien toutes les références laissées dans les premiers épisodes. Chaque détail compte, ce qui donne au final un scénario très bien ficelé qui ne nous laisse pas avec une impression débile d’avoir été rushé pour être fini. Il n’y a aucun épisode filler, aucun épisode qui ne sert à rien. Encore mieux : l’histoire ne comporte aucun arc en soi, il n’y a aucune coupure franche entre les différents aspects de l’histoire même si la tentation était très grande avec du voyage dans le temps. On est bien loin des constructions habituelles pour ce genre de séries adaptées de visual ou light novels.

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En clair, si vous êtes un tant soit peu fans de SF et de fantastique (si vous rangez le voyage dans le temps dans le fantastique, ceci dit) jetez-vous dessus : c’est un voyage que vous ne regretterez pas, et qui laisse assez peu de questions en suspens à la fin. C’est une série à dévorer, et à la fin de laquelle on ressort rassasié !

MaOTD #606

Héritage ? Loto ? Grosse rentrée d’argent inattendue ? Venez la dépenser chez Meidolicious où vous pourrez acquérir ce magnifique pack de meido Hetalia pour la modique some rondelette de 10 000 Maid Points !

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Source : Ento

MaOTD #605

Amis producer-san, voici pour vous une Hibiki de Idolmaster toute fraiche sortie des chaînes de production de Meidolicious : et elle est disponible pour même pas 3 000 Maid Points, en plus de ça. Elle est pas belle la vie ?

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Source : Don Michael

MaOTD #602

Une gentille petite meido qui plaira à coup sûr aux plus conservateurs d’entre vous avec sa jupe longue. Elle est livrée avec tous ses acessoires pour 3 000 Maid Points.

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Source : Fuukafukasheu

Another

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Avant de commencer sachez que la série est disponible en streaming via Dybex sur Dailymotion. Elle passe aussi sur Nolife avec une semaine de retard sur la diffusion japonaise mais à des horaires que je n’arrive pas à trouver sur le site de la chaîne. Le seul horaire que j’ai pu trouver c’est minuit dans la nuit du dimanche au lundi… Enfin, même Nolife se met à employer le terme de « simulcast » pour ce genre de diffusions alors qu’une semaine de retard, c’est déjà trop quand beaucoup arrivent às e procurer la série par d’autres moyens . C’est pas comme ça que les ayants-droits japonais vont lutter contre le fansub efficacement… Et puis merde quoi, que ça soit Nolife ou d’autres, utiliser Simulcast alors que l’épisode passe trois à quatre jours, voire plus après le Japon, faudrait peut-être arrêter de nous prendre pour des cons un jour. Même si c’est une avancée notable et dans le bon sens par rapport à ce qui était proposé avant (c’est à dire rien, soyons honnêtes) il faut pas non plus s’extasier.

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Another, c’est trois raisons pour moi de regarder :

La première c’est que le charadesign est assuré par Noizi Ito, illustratrice des romans de Haruhi, Shana, et de quelques autres jeux vidéos (dont du H, pas besoin de le nier.) et ça pête bien globalement. En plus de ça PA Works arrive à nous refiler une animation plus que correcte, avec de jolis décors. Bon, ça ne brille pas par contre au niveau des mouvements, mais pour ce genre d’anime horrifique un peu nanard sur les bords façon Destination Finale, ça passe très bien. C’est net et propre.

La seconde raison c’est qu’un très bon ami assure la traduction des épisodes chez Dybex.

La troisième raison, c’est l’intrigue de base. J’avoue, j’ai un faible pour le surnaturel, la mort, les fantômes et esprits, et ce genre de trucs. Et là, ça a titillé une bonne partie de mes cordes.

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Années 80, une jeune fille fort appréciée de sa classe meurt. Il s’agirait d’un accident, mais rien n’est moins sûr. Ses camarades de classe, aidés par le corps enseignant et l’administration de l’école, n’arrivent pas à faire le deuil de se mort et font « comme si » elle était toujorus vivante, gardant son bureau dans la classe et tout ça jusqu’à leur remise de diplôme… Bref, c’est creepy.

L’anime commence 23 ans plus tard, où le héros atteint d’une maladie congénitale (mais il se soigne) se retrouve à l’hopital à la campagne, là où il vient de déménager à cause de ses ennuis de santé. Il va être transféré à l’école où il y a eu cet incident il y a plus de vingt ans, et va tout de suite se sentir mal à l’aise en rencontrant ses nouveaux camarades de classe. Bingo : il est assigné à cette fameuse classe 3, qui semble cacher un lourd secret.

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Si on ajoute à cela sa rencontre pour le moins étrange avec une fille nomée Misaki et portant un cache-oeil alors qu’elle se dirigeait silencieusement vers la morgue de l’hopital où il a été admis, il semble y avoir des mystères bien troublants dans ce coin du Japon.

Pour l’instant (au bout de 4 épisodes) on constate que la série met trois bons épisodes à décoller, et même si il n’y a pas forcément grand chose à en attendre, le côté creepy rappellera les meilleurs moments de Higurashi et le gore est au rendez-vous avec juste ce qu’il faut. Le premier décés dans l’anime m’a fait assez violemment sursauter, et la violence n’est pas que graphique, comme vous le constaterez par la suite, fufufufu…

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Profitez-donc du *tousse* simulcast *tousse* pour découvrir cette petite série de cette saison. Ca ne casse pas cinq pattes à un #shami, mais ça se laisse regarder rien que pour l’ambiance et pour voir à quelle sauce seront mangés les personnages. Un peu comme Higurashi a l’époque en fait, même si cette fois on va pas se taper des reboot incessants à chaque arc. En tous cas ça discute sec sur les forums de toutes les possibilités et théories plus ou moins fumeuses autour de l’histoire, ce qui est en général un bon signe pour une série : Elle peut alimenter des discussions en laissant des zones d’ombre et ainsi garder tout son intêret.

MaOTD #601

Attention, voici du lourd : Les soldes sont presques finies, et Meidolicious a décidé de sortir le grand jeu : voici une meido Konata Izumi de Lucky Star à ponytail, et seulement, pour 500 Maid Points. Oui, vous avez bien lu, seulement 500 !

Autre nouvelle : Meidolicious va sortir dans les jours qui viennent son application iOS et Android. Elle vous permettra de ne pas louper une solde, de contacter votre commercial dédié, le service technique, de consulter le catalogue, d’achater, et même de vendre votre stock inutilisé de meido à prix préférentiel !

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Source : Kogaku Kazuya

Manga Catch-up – Janvier 2012

Ca faisait logntemps, hein ? Le manga catch-up c’est la rubrique où je parle des mangas que je suis / lis ou que j’ai terminés et ce que j’en pense pour le moment. En général si j’en parle, soit j’ai lu jusqu’au moins l’avant dernier tome paru, ou jusqu’au dernier.

  • K-on! : Pas la peine de présenter cette histoire de thé et de petits gateaux (ah, on me signale que ça parle aussi de musique des fois.) Le style à quatre cases, le 4Koma, est sympa mais j’avoue avoir du mal à adhérer après avoir vu l’anime puisqu’une grande partie des gags ont été réutilisés dans ce dernier. Et puis il faut apprécier le style de Kakiffy aussi… Pas vraiment convaincu quoi. Par contre l’édition est très fidèle à l’original, un travail soigné de KazeManga.
  • Chii’s Sweet Home : Connu chez nous sous le nom de Chii, une vie de chat, c’est un manga plutôt enfantin mais mignon tout plein à réserver aux amoureux de ces bêtes à poils. En tous cas mon eptit neuveu de bientôt 10 ans a beaucoup apprécié, c’est donc typiquement le genre de manga que vous pouvez offrir, en plus. (Surtout qu’à cause des couleurs, il coute un peu un bras.)
  • Que sa volonté soit faite : Kaminomi pour les intimes. Un peu comme K-on, après avoir vu la série, j’avoue qu’il est vraiment difficile de lire les 2 ou 3 premiers tomes du manga. Après ça devient plus simple, même si ça reste très verbeux pour ce que c’est. A bien prendre du recul, si on met de côté les personnages plutôt chouettes, l’histoire me laisse de marbre passé la surprise du concept. Je continue quand même grâce aux persos, faut pas déconner.
  • Ah My Goddess : OMG/AMG c’est un peu Ma Sorcière Bien Aimée en manga. Pour ceux qui ont pas connu c’est une très vieille sitcom ou un homme se marie à une sorcière et il se passe plein de trucs magiques et loufoques dans leur vie. Ben voilà. Les tomes qui sortent maintenant au compte goutte nous rappellent à chaque fois que l’auteur dessine les déesses comme un dieu (je m’épate là) mais qu’il ne sait toujorus pas faire de décors et qu’il met de trop grosses cases par plan. Alors ouais, chaque tome est limite un artbook noir et blanc, mais quand même, ça ne fait pas avancer le schmilblick très vite tout ça, surtout que la relation entre le héros et Belldandy est toujours presqu’au point mort. Une série qu’il serait bon d’achever un jour.
  • Bakuman : Un shonen trépidant sur le métier de mangaka, on aurait pu craindre le pire, mais en fait Bakuman s’en sort bien grâce à des explications intéressantes ponctuées de scènes qui tiennent en haleine. On passera sous silence la stupidité du héros et de l’héroine concernant leur relation pour se concentrer sur les autres personnages tous plus sympathiques les uns que les autres. Bref c’est un plaisir à dévorer à chaque tome, et même les mangas décrits dans le manga mériteraient bien une adaptation parfois tellement ils ont l’air sympa.
  • Family Compo : On peut reprocher plein de trucs à Tsukasa Hojo quand on lit City Hunter ou Angel Heart, ses deux plus grosses séries, comme par exemple le fait que ses personnages ont tous un petit air de famille, ou qu’elles ont tendance à trop s’éterniser… Mais Family Compo ne fait pas partie de ceux-là et c’est avec plaisir que je les redécouvre car j’avais vendu mes anciens tomes il y a fort longtemps. Ca se laisse tout à fait lire et c’est bourré d’humour sur les travestis.
  • Hatsukoi Unlimited : Sorti en anime il y a quelques années, ça ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable. Pourtant, le manga se lit mieux, certainement parce qu’on a tout le loisir d’apprécier le dessin de l’auteure… Cependant, bien que le dessin soit plus que correct et les filles présentées en bonne santé, il faut bien avouer que son style n’a pas beaucoup évolué depuis Ichigo 100%. Bref, c’est un peu la lecture sans grande saveur du moment.
  • Bride Stories : A contrario des deux plus haut, l’auteure d’Emma et Shirley nous fait voyager avec Bride Stories. C’est un peu lent, mais l’ambiance est là et ça se lit plutôt vite. Si vous avez aimé Emma, vous aimerez sûrement Bride Stories, même si c’est bien loin d’être la même chose.
  • Shikabane Hime : Difficile de dire ce que je pense de ce manga… Je continue à le suivre pour avoir le fin mot de l’histoire sans pour autant y adhérer totalement. Le trip sur les morts me laisse parfaitement de marbre. Le gore n’arrive pas à me choquer, et le fanservice ne m’atteint pas. C’est dommage, parce que le principe de base, à savoir des moines qui combattent des zombies ou des mauvaise esprits à l’aide de filles mortes qui les suivent et protègent, c’était cool au début, mais ça vire trop serious business par la suite.
  • Mademoiselle se marie : Attention shoujo de bas niveau. En gros l’héroïne vit dasn une famille dont la coutume consiste à la marier avec un garçon né à la même date et heure qu’elle. Elle n’a que des photos de lui tous les ans, et est folle amoureuse de lui sans même l’avoir vu. Le jour du mariage approche et elle doit vivre avec lui quelques jours avant le mariage. Sauf que lui, ben il s’est fait kidnapper pour être jeté là, et n’a rien demandé à personne. Et il n’a aucun intêret dans la jeune fille. Ca se laisse lire sans trop pousser, en débranchant bien son cerveau. J’espère juste que ça s’éternise pas trop en 20 000 tomes.
  • Mirai Nikki : Je ne vous ferai pas l’affront de vous présenter Mirai Nikki. Le manga s’est terminé comme il avait commencé : avec des plot twist complètement abusés et auxquels on a du mal à croire. Après, on aime ou on aime pas : moi ça m’a plu mais il était temps que ça se termine.
  • Hanami : Malgré son design enfantin, Hanami reste un manga pour ados avec un triangle (voir carré) amoureux des plus classiques se passant en corée. C’est le niveau zéro de la comédie romantique mais heureusement il n’y a que 4 tomes, ça se laisse donc grignotter entre deux mangas plus sérieux.
  • Wilderness : J’ai déjà dit pourquoi ça roxxait des poneys du chaos. Je ne vais pas me repêter.
  • La paire et le sabre : Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’une histoire alternative du japon où les seins dominent le monde. Et je déconne pas : plus votre poitrine est opulente, plus vous apportez bonheur et richesse à ceux qui vous entourent. Et l’héroine a un sabre qui aspire la poitrine de celles qu’elle bat, au lieu de les tuer. Ridicule ? Totalement, et La Paire et le Sabre fait définitivement partie de ces séries qui ne se prennent pas au sérieux. Le scénario a l’air plutôt recherché, mais le ridicule des ennemis et des situations est totalement assumé. A lire pour la rigolade.
  • Girlfriends : J’ai entendu pas mal de mal sur cette série, et pourtant, ça se laisse totu à fait lire. Le dessin est agréable, le rythme soutenu et la série ne s’éternise pas. Après, c’est sûr que c’est pas des plus crédibles, mais on s’en fout : on est là pour le shoujo-ai, le girls love et le yuri, et on est plutôt correctement servis.
  • E-Girlfriend : Tiens, un autre manga avec girlfriend dans le titre, sorti presqu’au même moment que l’autre d’ailleurs… Et pourtant, ça ne parle pas vraiment de la même chose. Ca exploite le filon des réseaux sociaux et des amourettes via Internet. Ca réussit même à alterner phases shonen et shoujo de façon plutôt efficaces. En plus l’héroine a une ponytail, donc tout défaut (comme le pouvoir improbable de la société Fil Gate) est pardonné.
  • Kure-nai : J’avais d’abord vu l’anime, et pour une fois je me suis mis au manga. Je dis pour une fois car en règle générale je n’aime pas trop lire le manga d’une série animée que j’ai vue (et inversement) tout simplement car la plupart du temps l’un des deux supports copie un peu trop sur l’autre, et on a l’impression de trop revivre la même histoire sous une autre forme. Un peu comme Love Hina, Kure-nai a su bien séparer version anime et manga, en ayant un charadeisgn un peu différent pour commencer, et surtout en allant bien plus loin que l’anime. L’ambiance n’est pas tout à fait la même, c’est omins lourd et mieux rythmé que l’anime : bref ça se laisse lire sans problèmes.
  • Keroro Gunso : Comme ebaucoup de séries en longueur, Keroro alterne les tomes et les histoires bof avec du bien plus drôle. C’est un manga à gags complètement déjanté qui se grignotte par petits bouts. Lire un tome en entier d’une seule traîte me paraît difficile tellement le tout est condensé et parfois indigeste (surtout qu’on adhère pas forcément à toutes les blagues). A consommer avec modération.
  • High School Samurai : Un harem des plus classiques au dessin chouette. Comme pour les séries un peu longues, ça va du bien au chiant et on y peut pas grand chose. Fort heureusement comme dans ce genre de série l’histoire évolue très peu on peut tout àf ait zapper certains chapitres sans être trop perdu. En bref ça casse pas trois pattes à un canard.
  • Alive last Evolution : Sans être particulièrement remarquable, Alive continue sur sa lancée et se rattrape plutôt bien après le changement radical d’ambiance une fois le premier arc terminé. C’est pas encore tout à fait ça mais ça se laisse lire. C’est un peu comme si on avait un manga sur la série télé Heroes, avec des personnages ayant tous un pouvoir particulier. Et puis bon y’a la manipulatrice de glace avec sa ponytail flamboyante et tout ça, et… oui bon d’accord, je suis un faible, mais voilà, Alive reste un excellent shonen. Son seul problème, c’est que les tomes se lisent de plus en plus vite et qu’après en avoir terminé un on a l’impression qu’il ne s’est pas passé grand chose.

Et voilà pour un petit tour rapide de ce que je lis en ce moment. J’ai pas mal de retard sur ce que je dois lire, mais je me soigne quand je le peux.

MaOTD #600

Ding, déjà 600 Maids of the Day sur Meido-Rando. Ca nous rajeunit pas tout ça. Du coup pour fêter ça, l’entierté du catalogue est à -50%, et cette meido est disponible pour seulement 500 Maids Points !

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Source : Risoumaeda

MaOTD #599

Un autre modèle très populaire aujourd’hui soldé pour 2 000 Maid Points, c’est la meido Kuroneko (de Oreimo). Elle est en plus livrée avec ses habits de gothique, si vous souhaitez un peu de changement.

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Source : Ragyuo