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Mon bilan 2011-2012

Un peu tard pour faire un bilan, je sais, mais celui-ci a été motivé par l’envie de nyo et Tetho de faire faire aux membres de la petite blogosphère otake que nous sommes un billet symbolisant 2011 (de Mars à Mars, en tous cas.)

Voici donc ceux des autres, histoire de vous faire partager aussi leurs bilans !

Moi, j’avoue que je ne savais pas trop où me placer. J’ai déjà parlé des séries qui m’ont tenu à coeur cette année passée, 2011 ayant été plutôt sous le signe du jeu vidéo pour moi (et 2012 le sera aussi tellement cette année s’annonce chronophage avec pas moins que Guild Wars 2 et Diablo 3 qui pointent le bout de leur nez.) Alors comme je n’ai pas fait de billet d’anniversaire de Meido-Rando en bonne et dûe forme cette année, je vais plus ou moins le faire ici : parler de ce que j’ai vu en 2011 avec quelques dessins rigolos ou jolis en guise de popcorn.

another

Cependant, 2011-2012 a été une année très contrastée. Parsemée d’animes très mauvais et d’autres excellents. Malheureusement pour lui, Another est très mauvais. Ca partait d’une bonne intention pourtant : les animes horrifiques ne sont pas légion, surtout avec un chara design par Noizi Ito (la maman de Haruhi et de Shana). Pourtant, Another a enchainé les clichés comme c’est pas permis, sans parler des incohérences ou des réactions absolument débiles des personnages. Un exemple ? « Il y a le feu dans une pièce ! » « Il y a un tueur qui se ballade dans la maison ! » « OK, séparons-nous et chercons dans la maison ! »

Ouais, édifiant, je sais. Passez votre chemin, sauf si vous avez quelques potes avec vous et un peu d’alcool, et là ça peut être très fun.

usagidrop

J’ai déjà parlé d’Usagi Drop, et j’avais bien aimé. Ca a été la série rafraichissante et mignonne de cete année je pense. Là je suis actuellement en train de lentement lire le manga, et j’en suis déjà au delà du tome 5, donc ne vous inquiêtez pas je suis bien au courant de la « nouvelle » tournure de l’histoire, et j’ai même réussi à me spoiler la fin, ce qui pourtant ne me donne pas envie d’arrêter. C’est mon côté bisounours qui a encore foi en l’humanité qui veut ça.

steins-gate

Ah Steins;Gate. C’est l’autre bonne surprise de 2011. Ca m’a fait regretter de ne pas avoir suivi la série lors de sa diffusion à l’époque, car je ne l’ai découverte bien plus tard que sur l’impulsion de ma Meido d’Elite N°3. Pourtant, Steins;Gate m’a vraiment arraché des sourires, des frissons, et globalement m’a fait passer un excellent moment. La série est assez difficile à décrire, mais particulièrement bien écrite avec des personnages attachants, et certaines phrases cultes font que les fans peuvent aisément se reconnaître entre eux. Et puis ça touche à un thème que j’affectionne particulièrement : les voyages dans le temps.

madoka

Un autre anime de 2011, c’est bel et bien Madoka. Il était difficile à éviter celui-là à sa sortie tellement tout le monde en parlait, et pourtant j’ai vaincu mon aversion pour le studio Shaft et j’ai commencé à regarder… puis j’ai continué, tout simplement parce que c’était dérangeant, spécial et totalement original. Même le final ne m’a pas vraiment déçu, alors qu’il aurait été très aisé pour Shaft de se viander violemment avec une fin trop conventionnelle. Paraît qu’un film est dans les cartons, on verra bien ce que ça donne. Bon, techniquement cet anime est sorti dans la saison de Janvier 2011, mais j’aime bien faire des entorses aux réglements de nyo.

idolmaster

Chihaya en Yoko. Tout est logique.

Là aussi, il aurait été facile de faire de la merde, et pourtant A-1 Pictures (responsable entre autres de Kannagi et de nombreuses autres séries plutôt bien animées) s’en sort avec brio en nous proposant un anime sur les idols charismatiques de Namco Bandai sans sombrer dans les gros clichés habituels. Encore mieux : la série se paye même le luxe d’être totalement safe et bien éloignée de ce qu’on aurait attendu d’une série prévue pour les otakes. Même pas de plan culotte, de remarques douteuses, rien de tout ça. Idolmaster est pur et chaste, bien animé, avec une conclusion sympa, et des moments forts. Un parcours presque sans faute, je n’aurais pas pu rêvé mieux.

hanasakuiroha

Beaucoup de monde ont detesté Hanasaku Iroha. Pourtant, j’ai trouvé ça plutôt tranquille. Oui, c’est ça, tranquille. Honnêtement le rythme était vraiment mal fichu et les personnages pas toujours très cohérents avec eux-mêmes mais moi j’ai passé un bon moment dessus au final. On a vu mieux par P.A. Works, certes, mais c’était sympatoche quand même.

bokuwa

Boku wa tomodachi ga sukunai, c’était un anime a priori bien parti pour réussir dans la vie. Des persos rigolos, un peu lofoques mêmes, et comble du bonheur il y avait même une Kyonko fujoshi dedans. Mais voilà, tout ne se passe pas comme dans un conte de fées, et chaque épisode devanti plus nul que le précédent, me faisant me poser des questions comme « Pourquoi je regarde ça? » « Est-ce que l’animation japonaise est vraiment tombée aussi bas? ». Même le final est raté. Et contrairement à Another, vous ne pouvez pas rendre cet anime mieux avec de l’alcool et des potes, c’est impossible.

bento

Et pour finir, on va parler d’un anime mal aimé, j’ai nommé Ben-to. Mal aimé parce qu’au final je trouve assez peu de gens qui l’ont apprécié. Pourtant, des combats violents dans des superettes pour s’arracher des boites à repas c’était quand même bien trouvé, surtout avec sa galerie de personnages et ses moments ecchi et yuri (sans parler des combats plutôt bien chorégraphiés.) C’était plein d’humour et ça montre que les japonais savent encore faire des séries avec un point de départ totalement débile et le traîter avec une attitude serious business. Des tournois? Des guerres de territoire? Des rangs parmi les combattants? Des promos rares? Tout y serait presque pour un shonen de baston classique. ET CES JAMBES. CES JAMBES !

Ahem, pardon, je me suis égaré.

Bref, voilà mes recommendations (en bien ou en mal) pour l’année Mars 2011 à Mars 2012. J’espère que mes camarades bloggueurs feront mieux que moi pour fêter cette fin d’année d’animes.

Ayé, j’ai fait le tour du printemps 2012

Une fois n’est pas coutume, il y a tellement d’animes dont j’aimerais parler cette saison, en bien ou en mal, que faire un post pour chaque aurait été un peu relou pour tout le monde. A la place, je vous propose un tour d’horizon des séries que j’ai regardées, au moins deux épisodes, parfois trois quand c’était possible. Après, ça n’a rien d’exhaustif et j’ai peut-être loupé certains trucs… mais j’aurai sans doute l’occasion de me rattraper.

accel-world

On commence avec Accel World. Le petit dernier de Sunrise en 26 épisodes nous fait partager l’attitude emo de son héros rondouillard rendu en SD, qui fait tâche avec les autres personnages autour de lui. Haruyuki est un loser qui se fait emmerder à l’école, mais on est en 2040 et grâce à la Neuro synchronisation, Haruyuki peut trouver refuge dans des jeux en réalité virtuelle ou augmentée, aller sur internet, et en gros faire sa chochotte qui croit qu’il ne sert à rien et que c’est une pauvre merde, et qu’il est juste là pour tenir la chandelle de ses deux amis.

Sauf qu’il va rencontrer une fille, la coqueluche du lycée, qui va l’initier aux joies du brain burst, un programme pour son neuro linker qui va lui permettre d’arrêter le temps et de se mouvoir autour de son propre corps.

Le concept est chouette, l’interface du neuro linker a la classe, mais la série souffre un peu beaucoup de son héros très très chiant (au début tout du moins). C’est typiquement le genre de série que l’on suit sans trop réfléchir, et c’est exactement ce que je vais faire avec. Gageons que Haruyuki devienne moins insupportable par la suite.

A noter que la série est disponible chez Wakanim en streaming !

acchikocchi

On enchaîne sur Acchi Kocchi (oui ça fait très télé) qui est LA dose de guimauve sucrée de cette saison en ce qui me concerne. Tranche de vie rigolote d’un groupe d’amis (trois filles, deux garçons). Le dessin est simpliste et l’héroine est un croisement fumeux entre Konata et une écolière timide et deredere pour le garçon qu’elle aime. Oui ça fait peur.

L’humour est passable, le tout est plutôt agréable à mater, donc je regarde ça sans trop de conviction, tant que ça me fait sourire…

(et puis l’héroine a des oreilles de chat quand elle est embarassée. Je suis faible.)

hyouka

Hyouka, c’est le Kyoto Animation de cette saison. Et comme quand on va voir un film de Micheal Bay où on s’attend à des explosions de partout, quand on regarde un KyoAni on s’attend à en prendre ras la gueule, à voir une explosion d’obésité technique, une attention à de nombreux détails, un dessin propre et des couleurs chatoyantes, et on a tout ça dans Hyouka.

Pour le reste, c’est difficile à dire pour le moment. On a un gars un peu blasé et jm »enfoutiste qui adhère contre son gré à un club en compagnie de son meilleur ami et d’une autre fille nommée Eru, qui est un croisement imrpobable entre Yui de K-on et Ayako de Blind Spot, le handicap en moins. Ensemble ils sont bien partis pour résoudre des mystères, notre héros étant du genre très perspicace…

L’opening est qui plus est plutôt sympa musicalement même si j’aime pas le refrain. C’est à découvrir en tous cas, en attendant d’en savoir un peu plus sur l’histoire.

lupin3

Mon histoire avec Lupin se résume au néant, et malheureusement ce n’est pas avec cette itération que ça va commencer. Même si Madhouse TMS envoie du lourd (comme d’habitude) avec une animation stylée et un premier épisode qui poutre sa maman, la suite ne m’a pas vraiment convaincu. Peut-être que je ne suis juste pas fait pour apprécier Lupin à sa juste valeur.

medakabox

L’histoire de Medaka Box est assez simple, normal pour un bon gros shonen qui paraît dans le Jump (contre toute attente) : Medaka est élue présidente du conseil des élèves pratiquement à l’unanimité, et décide de créer une boite à suggestions où les élèves pourront déposer leurs problèmes pour qu’elle les résolve.

Medaka Box avait tout pour me plaire : Gainax, du bounce, Medaka, et une intrigue sympatoche, mais voilà, j’arrive pas à accrocher, je n’ai même pas terminé le premier épisode, ça me faisait mal aux yeux même. Je pense que je testerai la série quand elle arrivera en manga chez nous, parce qu’avec les couleurs, bon sang, les uniformes piquent les yeux quand même, c’est abusé tellement ils sont hideux.

Mon coloc’ Amo en parle d’ailleurs, du manga. Ca tombe bien parce qu’il sort chez nous le mois prochain !

nazonokanojox

Nazo no Kanojo X (Mysterious Girlfriend X) est sans doute l’un des animes les plus bizarres que j’aie jamais vu si j’essaye d’oublier Lingerie Soldier Papillon Rose, Lain ou Puni Puni Poemi. Notre héros est un jeune collégien qui va découvrir l’amour un jour en goutant à la bave de sa mystérieure camarade de classe qui en a laissé sur son bureau en dormant dessus comme une loque pendant les cours. Cette bave a des propriétés mystérieuses qui agissent comme une drogue sur lui… Ne vous enfuyez pas, il y a encore plus bizarre après.

La musique, le style d’animation (au charadesign très années 90, c’est fait exprès) tout est fait pour vous montrer que vous êtes devant un truc hors du commun, et pas forcément dans le bon sens du terme. Une sorte de curiosité étrange me pousse à suivre la série, même si au final j’ai du mal à réellement accrocher. Une chose est sûre, ça ne va laisser personne indifférent.

polarbearcafe

Ca arrive à être moins bizarre que Nazo no Kanojo X, et pourtant Shirokuma Cafe ne m’a pas vraiment laissé un souvenir impérissable. C’est juste que j’accroche pas à l’humour très japonais de la série. Par contre l’opening est très rigolo et déjanté. C’est un de ces animes à voir, mais pas pour moi en tous cas.

(Mention spéciale au panda qui ne veut pas se faire « sucer » par sa mère qui passe l’aspirateur. C’était creepy.)

tasogare

On va finir par Tasogare Otome X Amnesia (beaucoup de X cette saison, vous avez vu ça?)

Un autre anime un peu étrange cette fois-ci, construit bizarrement qui plus est. Notre héros est dans une école réputée pour ses mystères et histoires de fantômes, et qui va-t-il y rencontrer ? Bingo, une étudiante fantôme un brin aguicheuse qui va bien s’amuser avec lui et qu’il est le seul à voir parmi ses amis.

Etant plutôt sensible aux histoires de fantômes, je pense suivre, même si les tentatives de l’héroïne pour émoustiller le spectateur ne prennent pas vraiment tellement elles sont appuyées et du coup me rebutent un peu, comme si elles n’avaient rien à faire là. Bon, okay, elle donne envie des fois la cochonne, mais on est loin d’une Senjougahara.

Voilà, maintenant vous pouvez ouvrir vos paris sur les animes qui recevront una rticle après leur fin de diffusion sur ce blog.

MaOTD #618

Et hop, pour fêter le Stunfest de la semaine dernière, voici une petite meido estampillée Capcom. Comme tout bon jeu Capcom, attendez-vous à quelques DLC, mais Meidolicious a pensé à vous, et vous propose cette meido à 1 500 Maid Points, avec un Season Pass à 1 000 Maid Points, permettant d’avoir tous les futurs DLC pendant un an !

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Source : Yukiwo

MaOTD #617

Affaire du siècle : cette petite meido Miku (totalement programmable) est disponible pour seulement 1 500 Maid Points. Pour l’obtenir à ce prix, munissez-vous du dernier Meido Magazine, vous y trouverez un bulletin à découper et à renvoyer à votre Meido Store le plus proche.

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Source : 1000marie

MaOTD #616

Ce mois-ci étant le mois de mon annivsersaire, d’autres promotions arrivent sur de nouveaux modèles ed meido auxquels vous ne pourrez pas résister, comme cette neko-meido pour seulement 1 000 Maid Points ! Appelez le Meido Store le plsu proche et hurlez « ANNIVERSAIRE » dans votre téléphone (si possible dans la rue) pour bénéficier de la réduction.

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Source : Mishima Kurone

MaOTD #615

Pour fêter mon anniversaire, je vous propose ce petit modèle de nekomeido pour 100 Maid Points seulement. Oui je n’ai pas oublié de 0, cette réduction est valable aujourd’hui avant de repasser à 2 500 Maid Points dés demain !

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Fin du quartier libre du printemps 2012 de Meido-Rando

Et voilà, le quartier libre, c’est terminé. Tout le monde a retrouvé son statut d’abonné au site, et les meido peuvent maintenant se reposer un peu.

Je tiens à remercier tout le monde qui a participé, je ne m’attendais honnêtement pas trop à voir autant de gens différents, même Raton-Laveur et Pazu se sont prêtés au jeu. Et on peut se réjouir de la diversité de ceux-ci. Je vous en livre la liste pour un accès rapide :

Comme je le disais, on a du varié, du long, du court, de l’anime, du jeu vidéo, ou d’autres sujets un peu geek, bref tout ce qui fait l’essence de Meido-Rando.

Vu que ça a plutôt bien marché, j’en referai un jeu pense vers la mi-automne et un autre au printemps de l’année prochaine. Si ça peut permettre à certain d’avoir l’envie de blogguer par eux-mêmes après avoir tenté sa chance ici, j’en serais très heureux.

En attendant, retour à la normale cette semaine !

MaOTD #614

Pour célébrer Avril, rien de tel qu’un petit pantyshot de meido, hein? Ce charmant petit modèle sera à vous pour seulement 2 500 Maid Points !

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Source : Murakami Suigun

[Test]Alan Wake – Le cauchemars d’un écrivain.

Et ouai, autant profité des dernières heures restantes du quartier libre, n’est-ce pas ?

Comme je l’avais annoncé sur mon article sur El Shaddai, j’avais l’intention de profité de ce quartier libre pour partager mes tests. Bon au final je l’aurais pas vraiment fait suite au fait que j’ai pas encore fini les animes et jeux que j’avais prévu de tester, et donc je n’ai poster qu’un seul test. Mais bon, je vais quand même poster un deuxième test que je viens de faire depuis deux-trois jours (mais pas eu le temps de le poster avant).

(D’avance, encore désolé pour les nombreuses fautes ^^ »)

Bref donc voici un « petit » test sur un jeu sur Xbox 360 et PC qui aura fait pas mal parler de lui…


Parce que ce logo, bah il est classe.

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OBJECTION !

TAKE THAT MEIDO RANDO !

Bonjour, je profite du dernier jour de quartier libre sur Meido Rando pour enfin poster mon article. Article qui parlera de Phoenix Wright, célèbre jeu de Capcom où l’on incarne un avocat du nom de Phoenix Wright. Jeu que l’on peut qualifier de Visual Novel (corrigez-moi si je me trompe) dans lequel on défend nos clients lors de procès pour leur éviter la prison et ainsi démasquer le véritable criminel ! Je ne parlerai ici que du premier opus (auquel je joue en ce moment) ; Phoenix Wright : Ace Attorney, ou Gyakuten Saiban de son nom japonais.

Phoenix Wright

Jaquette

Ce premier opus comporte cinq chapitres, donc cinq affaires à résoudre.  La cinquième affaire est une affaire inédite ajouté dans la version Wii et DS, donc indisponible dans sa première « edition » sur GBA. On pourrait dire que le jeu commence réellement à partir du second chapitre, le premier étant une sorte de mise en abîme où l’affaire à résoudre est très simple et ne demande pas de recherches d’indices ni de discussions avec plusieurs personnages, criminels, victimes ou témoins. Dans ce premier chapitre, Phoenix est accompagné de sa « patronne » au tribunal, pour son premier procès et nous « souffle » le texte, pourrais-je dire. Dans le second chapitre, Phoenix est seul face à la cour et à son adversaire Hunter, redoutable avocat. Qui plus le gredin que l’on doit attraper est un fin stratège bien qu’il soit une ordure de la pire espèce. Un méchant quoi. On découvre de nouveaux personnages, que l’on retrouve également dans les chapitres suivants. Tout ceci est très bien agencé. Mais ce n’est pas uniquement de l’enquête ou de la logique. Il y a un humour très présent dans Phoenix Wright. Rien que le nom des personnages qui sont parfois très…fins. (pour la VF, je me demande d’ailleurs à quoi ressemble les jeux de mots en VO et en anglais 😮 ) Les mimiques des personnages également, certains sprites sont tout bonnement hilarant quand ils sont bien accordés aux textes(ce qui est le cas).

Le très celèbre "OBJECTION"

Gif bien complet (Sprites, interactions...)

 

Voilà à quoi le jeu ressemble une fois dans le…jeu (captain obvious à votre service ! o/). Lancer une des si célèbes « objections » est jouissif, à chaque fois ! (J’en mouille ma petite culotte, KYAAAH, PHOENIX !) Ces phrases célèbres sont en jeu, tellement super ultra badass, quoi. Les sprites de Phoenix lorsqu’il lance une objection sans fondement sont d’ailleurs bien marrant.

D’ailleurs, graphiquement, on a ce « petit coté » pixel art, c’est vachement joli, les couleurs sont vives, de ce coté là, aucune coquille.

Je vais parler un peu de l’OST maintenant. L’OST de Phoenix Wright est tout bonnement génialissime  ! Elle se prête parfaitement aux différentes situations lors des procès. Forcément, certaines deviennent « agaçantes » du fait qu’elles sont très souvent là et pas spécialement bonnes, mais d’autres comme celle-ci  permettent une meilleure immersion dans la situation présente (dans le cas présent, faire avouer la vérité). Ce n’est qu’un exemple parmis tant d’autres, mais l’OST est vraiment bien. Hors jeu, je ne sais pas, certaines n’ont pas d’intérêt sans la situation qui va avec, je pense notamment à cette piste-là.

Je ne vois pas quoi dire d’autre, je vais donc conclure ce court billet plutôt que faire du remplissage.

Un wall rassemblant tout les personnages en guise d’au revoir !

MaOTD #613

En plus de ce petit quelque chose sur F/Extra, je tenais a remercier Meido Rando et Axel pour toutes ces années de bons articles et ces maids a prix défiant toute concurrence.

J’ai donc commandé a un ami, dessinateur du cercle Desktop Rough, un petit quelque chose pour Axel…

Vous comprendrez bien que ce model ne peut etre vendu, mais les heureux propriétaires d’une carte Gold Meidolicious Inc. Auront le droit de l’admirer, ou non, selon l’humeur du chef.

Mesdames et Messieurs, Mademoiselle Mahoro :

Bon Anniversaire un peu en retard, Meido-rando !

Fate/EXTRA

A l’annonce du quartier libre, je me suis dit, « Chouette, pouvoir ecrire sur Meido Rando, chichichic », j’espérai trouver le temps pour pondre un pavé sur un sujet inconnu, éclairer les masses et tout.
Ben j’ai pas trouvé de sujet. Pas assez inconnu, en tout cas.

J’ai ensuite pensé a parler de Fate/EXTRA, tout juste fini.

L’opening est d’Ali Project, Un gage de qualité.

Mais j’ai pas trouvé le temps  pour le faire, juste pour l’improviser. Tout de suite.

Fate/EXTRA, c’est un des dernier jeu de la franchise éponyme de Type-Moon, et pas forcément le plus apprécié des puristes…

Dans cet opus, les personnages -leurs design tout du moins- sont repris, mais dans un univers très différent du jeu original : On sort de Fuyuki City, on laisse tomber la magie et les 7 couples Servants/Masters Traditionnels. En échange, on a droit a un monde en conflit sous la domination partielle des Harway, famille plutocrate européenne, et dont les plus puissant « Magus » ( Comprendre : Hacker ) peuvent s’inscrire a la Guerre Sainte du Graal. Sauf que le Graal n’est plus vraiment le Graal ( déjà qu’il en avait pas trop la forme avant ), il est en effet devenu une sorte de super-ordinateur géant, situé sur la lune, la Moon Cell, supervisée par le SE.RA.PH., sa partie « Organisatrice » de cette course au souhaits. En conséquence, la guerre prends une dimension informatique-psychologique, avec une organisation en Round et des matchs prévu chaque semaine. Quand a nous, on incarne un protagoniste amnésique qui ne sait pas trop ce qu’il fout la, et hésite un peu a tuer des gens pour exaucer un voeux qu’il a oublié. Loin donc des escarmouches sanglantes de F/SN ( encore que la mort virtuel implique bien sur une mort réelle, histoire d’avoir un peu d’enjeu quoi. )

Ah, et Rin est blonde. Dur, hein…

Et quoi du syteme de jeu en lui même ?

Eh bien c’est somme toute assez classique, du dungon crawling, et des phases de blabla / ballade. Dans les phases de crawling, le systeme de combat adopté a été le peu stratégique Pierre-Papier-Ciseaux, ici nommés Attack -> Break -> Guard. Un combat se divisent en tour de 6 manches. Les six prochains coup de l’ennemi sont plus ou moins révélés, selon le nombre de fois ou il a été battu, ou le level du master. Vous l’aurez compris, il s’agit de deviner au mieux la séquence prévu par l’adversaire pour adapter la sienne. Et finalement, ce systeme de jeu qui semble laisser une large place de hasard, permet tout de meme de monter des stratégie ; car les monstres et boss possèdent de nombreuse pattern, et des style de combat assez défini, qu’on se fait une joie de déjouer une fois acquis.

Les bon vieux choix des VN sont présents, et le jeu a la gentillesse de prévenir en début de partie qu’un Bad End peut arriver a tout moment, et que sauver souvent est sans doute une bonne idée. Je l’ai pas vraiment écouté ce conseil, et pas non plus regretté, les mauvais choix étant assez faciles à éviter au feeling, et les sauvegardes proposé de façon mécaniques fréquentes.

L’histoire est elle finalement assez décevante quand on est familier avec la Fate, mais avec un jeu si court, dans un contexte si différent ( et avec Fate/ZERO qui passait en même temps ), dur d’égaler les grands titres de la franchise. J’aimerai en dire plus, mais j’aurai trop peur de spoiler… Au final, pour un jeu de cette envergure, il s’en tire plutôt bien, avec pas trop de plot-hole, et un univers presque cohérent.

Quelques critiques négatives malgré tout : D’abord, la difficulté du jeu imposé par le choix du servant -d’ailleurs limité a 3-… Saber is easy-modo, Caster is suffering… Archer il est juste GAR. ( et oui, aucune classe disponible mis a part celles ci ). De plus, pour ce qui voudraient jouer a la version japonaise, et choisir le personnage féminin, et ben ne voulez plus ça. C’est vraiment trop moche. Les textes n’ont été que très peu adapté de l’écriture pour la version masculine, et ça casse un peu l’ambiance… Si vous jouez en US, sachez que Aksys Game a eu le bon gout de garder les voix d’origines.

Malgré tout un assez bon jeu ( enfin, je suis du genre a pas me plaindre ), qui m’a fait passer de bon moment au coin du feu~ Ou plutot au fond de mon lit. J’espère de tout mon être que son petit frère annoncé Fate/EXTRA CCC aura la chance de voyager hors de l’archipel.

Un coup de loli-rin pour la route.

La Brigade SOS Francophone s’empare du roman de Haruhi Suzumiya

La Brigade SOS Francophone a frappé un grand coup cette fois-ci, en se mobilisant auprès d’Hachette qui a décidé depuis quelques temps déjà d’arrêter la licence du roman de Haruhi sur nos terres.

Pour rappel, le volume 1 était sorti en août 2009 et n’a malheureusement pas trouvé son public en France. La faute probablement au public qui a été mal ciblé et au choix de couverture, disons-le honnêtement, pas terrible (sans compter le manque d’illustrations de Noizi Itō à l’intérieur.) Suite à cela, Hachette a décidé d’arrêter les frais.

Cependant, comme il leur restait des tomes sur les bras, la Brigade SOS Francophone s’est organisée pour racheter l’intégralité des stocks que nous sommes allés chercher directement à l’entrepôt de Hachette.

Cela permettra à tous les fans qui n’ont pas pu trouver le roman chez eux et qui ne pourront plus le trouver, vu qu’il n’est plus commandable, de venir nous le réclamer en convention. Il y sera vendu au prix modique de 5 euros.

Notre but n’étant toutefois pas d’inonder le marché pour tuer dans l’œuf une hypothétique future reprise de la licence, un grand nombre de ces exemplaires seront utilisés de façon plus… ludique lors de nos activités, que cela soit en convention ou ailleurs.

C’est également un message fort pour montrer qu’un fandom est capable de se mobiliser pour marquer les esprits. Seule Haruhi aurait pu avoir une idée pareille, non ?

Vous pouvez aussi en discuter par ici : Forum de l’association

P.S.: Ceci n’est pas un poisson d’avril. 🙂

Conseils aux blogeurs

Blogeurs, Blogeuses, cet article vous est dédié. Enfin, ceux qui n’ont pas de blog peuvent quand-même lire cet article, ça ne pourra pas vous faire de mal, et ça pourrait même vous servir à l’avenir. Voici donc quelques bonnes pratiques et conseils.

Les citations et illustrations

Illustration vocaloid

Fanart Vocaloid – Hatsune Miku

On se retrouve souvent à d’insérer des images trouvés sur internet pour illustrer vos articles, c’est tout à fait normal: ça permet d’aérer le texte, de l’embellir et de se reposer un peu les yeux sur des écrans LCD qui se révèlent souvent ben fatiguant.
Une des bonne pratique consiste à citer l’auteur de l’illustration, voir le nom de l’œuvre (série, film, manga…) dont elle est éventuellement extraite et d’utiliser la toute puissance du lien href pour aider votre visiteur à en retrouver l’origine.
En effet, certains blogeurs ont encore tendance à utiliser pas mal d’images (qu’ils n’ont pas crée eux-même, qui ne sont pas dans le domaine public…) sans en citer la source. Je me permettrai de leurs envoyer un petit commentaire ou email de rappel afin de respecter l’auteur et le lecteur.

La publicité


image extraire du film idiocracy

Avoir son site web (qui peut contenir un blog, un forum, des pages, un livre d’or…) ne nécessite pas forcément de devoir imposer de la publicité à des visiteurs:
– ceux qui ont un peu d’argent peuvent prendre un hébergeur de qualité (environ 30€/an avec nom de domaine)
– ceux qui n’en ont pas peuvent néanmoins se débrouiller en demandant à des amis, en regardant s’il n’existe pas déjà une communauté, ou en trouvant des hébergeurs gratuits sans publicité.
Si vous souhaitez néanmoins en intégrer, évitez d’inonder vos visiteurs avec, ils finiront aussi par installer ad-block et vous serez certain de perdre vos revenus publicitaires et votre réputation.

Les services d’hébergement de blog
Si vous le pouvez, évitez les services d’hébergement de blog, qui en plus de vous imposer de la publicité ou des fonctionnalités à la con (liens fessbook, popups à la con, …), vous empêcheront d’effectuer une copie de sauvegarde de votre blog et de déménager.
Vous devenez alors dépendant du service et sujet au moindre caprice.
Vous faites des copies de sauvegarde de vos photos, de vos données personnelles? alors sauvegardez aussi votre site web.
Prendre un nom de domaine vous assure que vos visiteurs auront toujours la même adresse, même en changeant de prestataire ou d’hébergeur, les noms de domaines étant transférables.

3DS vs PSVITA

Attention, cet article est écrit en trollographie, évitez de lire si vous êtes allergique aux critiques faciles et à l’hypocrisie assumée.

      Alors tout d’abord : NON, ce billet n’est pas une comparaison puérile que peuvent faire nombreux site de jeux vidéo en se demandent « quelle ou quelle console faut il choisir », de toute façon cela fait plus de 20 ans que l’on achète des consoles presque uniquement par rapport aux exclusivités. Ici je sais que vous n’êtes pas idiots, d’ailleurs ce petit article n’a pas dans l’idée de vous influencer sur quoi que ce soit (quoique…) juste afficher mon opinion sur ces 2 consoles.
J’ai acheté la 3DS et la PSVITA à leur sortie profitant des offres de précommande faites par la Fnac : 50 euros en chèque-cadeau, par console achetée, j’ai donc eu la 3DS et la PSVITA à 200 euros, que se soit l’une ou l’autre je suis satisfait de leur tarif.

Ce que je fais ici et juste un résumé des impressions qu’une année d’utilisation de la 3DS et un mois pour la PSVITA m’ont laissé.

Tout d’abord, au quotidien il y a une réalité, avec moi tous les jours avant d’aller à l’université je glisse une seule de ces consoles dans mon sac (Ouai, j’amène ma console à l’université, ne me regardez pas comme ça!) : La 3DS, Pourquoi ?

Premièrement l’encombrement : vu comme ça la PSVITA n’est pas beaucoup plus volumineuse que la 3DS, elle et même plus fine. Mais cette comparaison ne vaut pas grand-chose, c’est une console portable elle est faite pour être transportée, et là l’on se heurte à un problème : est-ce que vous vous voyez balancer votre PSVITA  avec ses 2 surfaces tactiles craignant les rayures dans un sac à dos plein de merdes vous ?
Personnellement non, alors comme moi vous allez acheter une Travel Case, 15 euros plus tard vous avez cette house ma foi très bien conçue et respirant la qualité. (C’est complètement sincère, Sony ne s’est pas foutu de notre gueule, mais en même temps à ce prix c’est quand même un minimum.) Ne cherchez pas si vous souhaitez pouvoir trimballer votre console avec vous vous devrez obligatoirement passer par la housse officielle ou par la merde en néoprène fournie dans le Starter kit ou travel kit, car Sony nous fait le plaisir de nous vendre de 25 à 30 euros l’équivalent officiels de gadgets trouvables à 1$ livraison incluse sur Dealextreme. (Après je dis ça,  je dis rien.) Mais revenons donc en à la Travel case, outre ses qualités intrinsèques (mais à 15Euros la housse de console c’est normal.) Cette house en plus de protéger votre console vous fera le plaisir de décupler son encombrement, et là je ne rigole pas, l’épaisseur est au moins doublée voire triplée ! De plus, 1,5cm de largeur et 2 cm  de longueur y sont ajoutés. La console devient un monstre à transporter. Dans la Travel case la console fait bien 9 pouces et ne rentre même plus dans une poche de veste, c’est dire ! Bon certes vous pouvez y caser 5 jeux et le câble propriétaire (Oulah ! Attention c’est du lourd !)

Face à la 3DS 

Juste pour rire…

Histoire de troller…

Honnêtement je trouve la VITA est plus encombrante que ma tablette tactile (qui compense sa taille par sa finesse)

En revanche la 3DS est relativement compacte  et surtout ses écrans sont protégés. On peut la mettre dans un sac sans crainte.

Mais ce qui me fait tous les jours religieusement glisser ma 3DS dans ma sacoche avant de partir : c’est la fonctionnalité streetpass, certains trouvent ça useless, et vous avez raison ça l’est, mais personnellement : j’adore, et je suis tout excité quand je vois la petite LED verte qui est allumée me signalant que j’ai croisé quelqu’un.
Je trouve Streetpass VRAIMENT amusant, j’utilise mes pièces je jeu avec parcimonie pour compléter les puzzles et faire avancer l’aventure dans Mii en péril (enfin bref, je suis à fond dedans). Pour certains la fonctionnalité ne casse pas trois pattes à un canard, mais je la vois comme un vrai plus de la console. Je regrette juste que l’on ne puisse pas accumuler plus de 10 pièces par jour ce qui m’oblige à avancer la date.

 Ma royale personne dans Mii en Peril, autodérion et humour Nintendesque.

« L’équivalent » de streetpass sur PSVITA s’appelle Near, je vais éviter de le critiquer, car de toute façon chez moi  il n’a jamais marché. Sur le papier ça a l’air d’être une petite connerie amusante pendant 30 secondes quand l’on découvre la console pour voir qui sont les autres joueurs aux alentours. Le fait est que le logiciel n’a jamais réussi à me localiser, peu importe l’endroit, même hors de mon village paumé dans en centre-ville de Perpignan entouré de hotspots, Near n’a pas été foutu d’obtenir ma position.

Bon assez craché sur la PSVITA, car c’est quand même une très bonne console et les fonctionnalités annexes ne sont pas en reste, avoir un client Twitter Facebook ainsi que Google Maps sur sa console est vraiment appréciable, surtout qu’il s’agit de clients de qualité tout à fait comparables à ce que l’on trouve sur smarphone le navigateur est tout a fait correct, quant à celui de la 3DS, il est moins médiocre que l’on pourrait le penser, mais disons que j’avais déjà mieux sur mon ancien PDA Windows mobile.

Pour le online Sony nous offre l’expérience complète de salon sur sa portable avec le SEN. Mais la 3DS n’est pas en reste avec le code ami unifié et l’arrivée du Nintendo Network avec lequel Nintendo va enfin se doter d’un service en ligne convainquant.
Même « inférieur » sur le plan technique le mode en ligne de la 3DS m’a apporté autant de satisfaction que celui de la PSVITA.
Mario Kart 7 est le digne successeur de Mario Kart DS qui avait introduit la CWF Nintendo le mode en lignes est très réussi : avec une petite terre ou l’on voit la position des Mii de nos adversaires, le système de point, on peut aussi rejoindre un ami dans la partie en ligne, créer des groupes, etc. C’est l’expérience en ligne la plus aboutie que Nintendo ait faite, peu importe la console.)

Le mode en ligne de Wipeout est certes réussi, mais est moins sympathique que celui de Mario kart. Sur la 3DS, streetpass enrichit l’expérience online, je prends beaucoup de plaisir à affronter les fantômes Mario Kart récupérés via les personnes rencontrées.

Sinon au niveau technique même le plus dur des fanboys de Nintendo ne saurait denier : la PSVITA et son écran OLED de 5 pouces offre un rendu magnifique, des noirs profonds des couleurs vives au service de jeux et leurs textures HD, en un mot : magnifique. Mais bon ce n’est pas du niveau de la Playsation 3 comme j’ai eu l’impression que Sony me la vendait au dernier E3. Ça reste quand même au-dessus de ce qui se fait de mieux sur smartphone et tablette (et là c’est des Smartphones récents à + 500 euros qu’il vous faut.)

Un petit mot sur les jeux sur smartphone : c’est de la merde, pardonnez-moi d’être vulgaire, mais ça résume bien le fond de ma pensée. Ça ne sera jamais bon et pas seulement à cause d’une conception non prévue pour les jeux, même avec des technologies comme le retour tactile la présence de gros éditeurs et studios de développement et tout ce que vous voulez, votre smartphone se sera bon qu’en envoyer des oiseaux sur des cochons et et à faire tourner des démos techniques injouables et finissables en 5 minutes.
J’ai un Xperia Play et c’est uniquement bon pour l’émulation et sur : DEUX jeux : Sony CD et GTA III (ouais, les 2 seuls jeux intéressants sont des ports de « vrais » jeux), après ce sont que des jeux qui vous amuseront 10-20 minutes peu être (pour les meilleurs), mais après tout vous ne regretterez rien puisque vous ne les aurez payés que de 2 à 6 euros, et vous en re-téléchargerez, alimentant l’industrie des jeux de merde. (Bon après il y a peut-être quelques exceptions, mais le mode de consommation de ce type jeux dénature l’expérience en inventant le concept de jeu jetable.)
Je ne m’entendrais pas plus sur tout le mal (surtout le mépris en fait) que je pense des jeux smartphone (car ce n’est pas mon but, mais si ça vous intéresse je peux chier 10 pages d’explication plus techniques sur ma théorie de l’évolution du jeu vidéo et plus précisément du jeu mobile).

Même en tant que fanboy Android (qui du coup l’a bien dans le cul, car IDOLM@STER mobile, le seul jeu smartphone qui aurait reussi à susciter mon intérêt ne sort que sous iOS) je crache sur les jeux pour smartphone.

Revenons-en à la comparaison de nos 2 consoles donc coté 3DS l’écran et petit et a une mauvaise résolution, donc ouai, on voit les pixels. Mais le problème ne s’arrête pas là : sur les écrans en général quelque soit la résolution il existe un système de lissage dans le logiciel, sous Windows par exemple cela s’appelle « Cleartype » ; un système similaire existe sur 3DS, mais curieusement ce filtrage n’est pas actif sur tous les éléments, nous rappelant la résolution de merde de l’écran (Surement une limitation due à l’affichage stéreoscopique me direz-vous mais dans ce cas alors, pourquoi ne pas l’avoir fait pour l’affichage 2D ?). De plus activer la 3D fait quelquefois perdre en fluidité (par contre je n’ai pas senti le soi-disant effet sur la batterie.). (Et dernier point: inutile de dire aussi qu’avec la 3D on est loin de l’angle de vision proche de 180° proposé par la PSVITA)

Mais ne boudons pas notre plaisir, même si avec une 3DS l’on ne s’attend pas à l’orgasme visuel les jeux restent très regardables et cela ne gêne absolument pas l’expérience de jeu.

Parlons de jeux d’ailleurs, à la sortie de la 3DS j’ai acheté Pilotwings, car aucun des jeux ne m’intéressait, je ne suis pas fan de StreetFighter et je ne me voyais pas racheter un énième portage de Rayman 2 même si celui-ci était un poil plus beau. (Car chez Ubisoft les portages de Rayman sont la spécialité de la Maison.) Pilotwings bien que très casual avait le mérite d’être assez amusant et d’utiliser les capacités de la console, en gros c’était un très bon amuse gueule, enfin amuse gueule vendu au prix d’un vrai jeu soit 45 euros quand même.
Ce n’est qu’avec la sortie de Dead or alive que j’ai pu avoir pour la première fois un « vrai » jeu, après voilà c’est un Dead or Alive c’est un jeu de combat sympa, mais à part le moteur dédié à la physique des poitrines des héroïnes on en a vite fait le tour, un tour bien agréable quand même.

En fin d’année est arrivé pour moi Mario Kart 7 et Mario 3D land, les seules vraies killer-app de la console, qui ne se finissent pas en une bouchée et apportent vraiment des heures de plaisir.

Les 10 jeux de Gameboys Advance et les 10 jeux de Nes du programme ambasadeur fûrent des petits cadeaux appréciable, personnellement je n’en aurait pas voulu à Nintendo s’ils n’avaient rien fait pour soit disant compenser, les frustrés qui avaient mis 90 euros de plus dans leur console. Zelda four swords offert en téléchargement est également un petit cadeau bien sympa.
La console satisfait vraiment le fan de Nintendo que je suis…

 Satoru Iwata qui arrive pour fêter l’anniversaire de la sortie de la 3DS, pour un Nintendofag c’est du fanservice.

Pour en revenir à la PSVITA, le line-up de lancement est vraiment satisfaisant à l’instar de celui de la 3DS qui était trop pauvre. Pour l’instant je n’ai acheté que WipeOut 2048 et Stardust Delta, mais contrairement à la 3DS je n’ai pour l’instant de gros hits annoncé que j’attends impatiemment, certes à la sortie il y a eu Uncharted et Wipeout mais j’ai pris Wipeout un peu par défaut, certes Wipeout est largement au-dessus de Pilotwings comme je de lancement, mais voilà, je n’attends aucun jeu particulier pour le moment sur la Vita. J’espère que l’E3 apportera des promesses de titres intéressants.

Voyons, l’aspect multimédia maintenant : bien que l’on n’achète pas une console pour ça et que toutes façon les deux font pâle figure face aux derniers smartphones haut de gamme. Cela dit, leurs fonctionnalités multimédias peuvent toujours dépanner.

La 3DS se limite à lire de la musique, je n’ai eu à utiliser la fonctionnalité qu’une fois, et sincèrement ça m‘a suffit : premièrement vous pouvez oublier les formats exotiques, seuls le MP3 et le ACC passent : oubliez vos FLAC vos OGG,WAVE et autres formats a haut bittrage.
Évidemment le lecteur ne fait pas de classification intelligente, ne permet pas de faire des recherches par mot clé et ne dispose bien sûr pas d’égaliseur. Par contre il vous offre des semblants de mini jeux pour jouer pendant que vous écoutez de la musique. Mais le principal problème est le volume maximal : Nintendo a bien compris que la fonctionnalité ne serait utilisée que par des enfants : ne cherchez donc pas à écouter la musique fort : vous ne le pourrez simplement pas, certes si vous avez des intra-auriculaires puissants le maximum reste convenable, mais avec n’importe quels écouteurs ou casques le volume maximal est ridiculement faible. Mais finalement OSEF quoi, qui va écouter de la musique sur sa 3DS ?
La console a au moins une qualité que l’on ne peut lui enlever niveau multimédia: La carte SD.

La PSVITA maintenant, tout d’abord, dés que j’ai vus cet écran 5 pouces OLED somptueux, je me suis vu regarder des animes dessus. Après avoir installé le logiciel de synchro, copié quelques fichiers pour tester, le résultat est finalement en mi-teinte : la majorité des animes  que j’ai sont en 720p mp4 h264, pourtant avec ce même format la PSVITA n’acceptera pas toujours de les lire, ainsi certains passent et certains autres non, globalement c’est selon la team qui les encodé, par exemple : les épisodes de Gosick subbés Jeshone passent, mais pas ceux de Octopus non (pourtant sur un PC, je ne saurais dire la difference). (Je n’ai pas testé beaucoup de fichiers, mais pour ceux qui veulent savoir d’après mes souvenirs ce sont ceux de Jeshone et Mizu-no-paradise qui ont fonctionné, après pour les autres je n’en sait rien, vu que je n’ai pas testé.)
Mais quand la VITA arrive à lire les fichiers, le résultat est très bon, le déplacement dans la vidéo est immédiat, le lecteur est ergonomique et le 720p est lu de manière extrêmement fluide, l’écran est très contrasté offre un très beau rendu : c’est vraiment agréable.

 Regarder des animes sur la PSVITA: quand ça marche, c’est vraiment génial!

Pour ce qui est du lecteur musical il est correct, mais bon après personne n’utilisera sa console comme Judebox.
Après, il y a toujours le problème des carte mémoire et du logiciel de synchronisation merdique qui nous est imposé, mais malgré ça, la console reste très satisfaisante sur ce point considérant qu’elle n’est pas conçue pour ça.

Alors que retenir de tout ça ? (à part que cet article est un coup d’épée dans l’eau) Si j’avais à émettre une préférence ce serait pour la 3DS, mais mon regard vous l’avez peu être remarqué est assez partial.

Les 2 consoles remplissent la fonction de jeu très bien nous rappelant indéniablement que les smartphones resteront toujours les bas fonds du vidéo-ludisme (j’assume complètement mes propos extrémistes.)
La 3DS ne souffre absolument pas de l’absence de second stick et seule une extrême minorité de jeux je pense utiliseront le truc noir qui pue, pardon le « circle pad pro » , la console surpasse sa faiblesse technique par plein de bonnes idées et de la bonne volonté de Nintendo.
La PSVTA elle est à la hauteur des espérances et offre des fonctionnalités annexes intéressantes et à la hauteur de son hardware, mais sans plus, cela reste très appréciable et la 3DS ne peut se vanter d’en faire autant, mais fondamentalement : la PSVITA est moins « sympathique » que la 3DS.

 Typiquement le genre de connerie que l’on peut faire avec sa 3DS. 

La 3DS est une console enfantine quand la PSVITA est une console plus mature, pour les 2 consoles je considère ces qualificatifs comme positifs, elles sont toutes les deux bien dans leur genre, elles sont fondamentalement incomparables, malgré le titre bien trollesque que vous retrouverez sûrement autre part sur internet et ma vague tentative de faire un comparatif.

J’espère que mon billet médiocre ne vous pas trop ennuyé (dans le cas ou vous l’ayez lu…) j’ai hésité a le poster sur Meido-rando plutôt que mon propre blog , mais finalement j’ai décidé de saisir cette chance qui m’était offerte en tant que pseudoblogueur débutant pour donner un maximum de visibilité à ce torchon aussi inutile que moche.

Bref, sinon j’en profite :

Code ami 3DS : 3351-4039-6824
SEN : gosupermario

(N’hésitez pas à m’ajouter !)

Et au cas ou vous les voudriez…