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Saints Row The Third

Y’a pas de raison que je sois le seul à pas pouvoir profiter du quartier libre de mon propre blog, hein ?

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Bien que je sois le président d’une secte, mon rêve d’avenir à moi ce n’est pas de devenir chanteuse comme Creamy, mais chef de gang. Un gang qui n’aurait rien à cirer des lois et qui ferait comme bon lui semble dans la ville. Et Saints Row 3 m’a permis de réaliser ce rêve.

Alors déjà, sachez que je n’ai jamais joué à un Saints Row de ma vie avant celui-ci. J’ai entendu parler du premier et du deuxième comme des GTA un peu débridés mais qui manquaient d’un petit quelque chose. Ce n’est que grâce aux soldes Steam de Noël que je me suis vu offert un exemplaire du jeu. Pour ceux qui comme moi n’avaient pas touché de Saints Row avant, pas de panique, il n’y a pas vraiment besoin de connaître les épisodes précédents avant de faire celui-ci.

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Le jeu nous plonge dés le départ dans un rocambolesque braquage de banque à Steelport. Après avoir ravagé puis conquis Stillwater (dans cet ordre comme dans l’autre), les Saints s’ennuient grave au point où ils en sont à vendre leur image à la télé et à faire des produits dérivés. Du coup, pourquoi ne pas partir à l’assaut d’une nouvelle ville ? Sitôt dit sitôt fait avec ce braquage. Braquage qui sera aussi spectaculaire qu’echec puisque les Saints se retrouveront derrière les barreaux à Steelport. Sauf que la ville est déjà colonisée par le Syndicat, un puissant gang qui regroupe plusieurs gangs plus petits qui se partagent les différentes îles qui composent la cité. Ces derniers libèrent les Saints pour mieux les humilier : on leur propose de se faire prendre 66% de parts dans leur société de merchandising contre leur vie. Bien entendu le boss des Saints (vous) refuse et un combat sans merci se livre dans l’avion privé du Syndicat. Après une chute libre et un passage à travers la vitre de l’avion pour le traverser en canardant à tout va, votre compte en banque est vidé en représailles et vous voilà à poil à arpenter les rues de Steelport pour essayer de vous refaire un nom.

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Et c’est là que tout commence : on se retrouve en terrain assez connu, dans une sorte de GTA-like où le mot « ordre » n’a aucun sens. Dans GTA, quand vous faisiez le con vous aviez rapidement les flics aux fesses. Ici, la police est bien plus permissive, et surtout, bien plus facile à semer. En fait, Saints Row met en avant la déconnade dés le début avec ce braquage de banque surréaliste, et la possibilité pour le joueur de customiser son personnage de fond en comble tout en autorisant les délires les plus osés. Vous avez envie de faire un type barbu à peau bleue qui se ballade en string et en talons-hauts avec une voix de zombi? C’est totalement possible. Et ce n’est que le début du show.

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Vos acolytes Pierce et Shaundi vont vous filer des missions dans le plus pur style GTA, avec ses mises en scènes spectaculaires. Cependant contrairement à GTA 4, les missions sont relativement courtes mais surtout bourrées de checkpoints et le jeu vous évite de devoir tout vous retaper quand vous devez la recommencer.

Comme tout bon jeu à monde ouvert, Saints Row 3 vous permet de vous ballader en ville, d’atomiser ce que vous voulez sans grandes conséquences (en tous cas la mort n’est absolument pas pénalisante comme dans un GTA4 : on renaît avec toutes nos armes.) et faire des activités ici et là, qui vous aideront à « contrôler » tel out tel quartier de la ville. Et des activités il y en a, toutes plus débiles les unes que les autres. Se faire prendre en photo par un passant, récupérer des poupées gonflables disséminées dans la ville, participer à une fraude à l’assurance dans un mini-jeu à la PAIN (où vous devez faire le plus mal possible à votre personnage en le faisant se heurter au traffic routier), passer dans un show télévisé où il faut se ballader dans un labyrinthe bourré de pièges en shootant des gens portant des costumes d’animaux tout en évitant les pandas (parce que ce n’est pas éthique de tirer sur un panda), amener des prostituées jusqu’à leurs clients, ou encore foutre le bordel en ville à l’aide d’un tank surpuissant…

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Et encore je ne vous ai pas parlé des multiples défis sur Saintsbook, où des gens vont vous demander d’assassiner certaines personnes (chaque fois pour des prétextes à la con) ou de piquer des véhicules. Tout se fait très simplement et il n’est pas rare qu’un simple accrochage avec une voiture d’un autre gang dégénère en guerre totale dans le quartier. Les joueurs atteints de collectionite aigue auront également tout un tas de stats rigolotes à parcourir comme le nombre de voitures évitées, le nombre de gens renversés, la distance totale de dérapage, etc. Il y a de quoi faire et du temps à passer, car les missions du jeu aussi cool soient-elles ne sont pas aussi nombreuses qu’un bon gros GTA 4. Cependant elles offrent un plaisir de jeu extrèmement varié, que ça soit démonter une base avec un appareil à décollage et atterissage vertical volé, délivrer un type d’un club SM, ou récupérer des containers de prostituées sur un bateau sur la côte, les missions ont cela de génial qu’elles nous mettent dans des situations complètement improbables et délirantes sans que cela soit too much.

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Tout le jeu est finalement comme ça et c’est ce qui le rend aussi plaisant : la physique des véhicules autorise toutes les cascades, les véhicules à disposition vont de la moto futuriste façon Tron à la nettoyeuse, le chariot de l’aéroport, des hélicoptères, des ADAV, des bateaux, des tanks, des véhicules blindés… Les armes ne sont pas en reste avec un gode géant, un drone d’attaque aérien, un lance roquette, des fusils d’assaut, un fusil à pompe laser…

Pour couronner le tout, on a une panoplie de personnages tous plus loufoques les uns que les autres, ma préférence allant à Zimos, le pimp au look des années 80 qui parle avec un modulateur de voix auto-tuné. Toutes ses répliques sont ainsi faites, et THQ a eu le bon goût de faire une version anglaise sous-titrée en français et pas une VF qui aurait atténué tout ça.

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Pour être tout à fait honnête je n’avais pas pris mon pied depuis un long moment devant un jeu vidéo. On se retrouve à faire les cons, à parcourir les boutiques de fringues du jeu pour se trouver le costume de super héros ou la tenue de nos rêves, à faire de la destruction aléatoire histoire de glaner des points de respect (qui symbolisent votre expérience dans le jeu, chaque niveau de respect débloque de nouvelles compétences, comme le fait de pouvoir se faire livrer un tank par hélicoptère en plein champ de bataille, par exemple.) On se sent libéré de toutes contraintes quand on joue à Saints Row 3. On ne se sent pas étriqué dans des lois convenues et dans le bon sens, c’est un gigantesque défouloir qui fait du bien. Ca et les répliques bien senties des personnages, l’ambiance gangsters débridée, les missions complètement débiles (mention spéciale à celle où on doit faire sortir une mémé conservatrice chiante de chez elle, et pour ça il faudra se ballader à poil devant son église préférée.) et l’attitude totalement badass du héros que vous incarnez. Enfin moi je suis pas mécontent du personnage que j’ai crée, que vous pouvez voir sur les différentes captures d’écran de cet article.

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Et comme si tout cela n’était pas déjà assez, sachez que vous pouvez jouer avec votre meilleur pote, gambader dans la ville ensemble ou séparément, faire les missions du jeu ensemble, et aussi participer à un mode horde où vous devrez repousser des vagues d’ennemis dans des conditions bien spécifiques chaque fois. Le jeu à deux est vraiment le meilleur, car on passe beaucoup plus de temps à faire des conneries et à se faire buter plutôt qu’à avancer dans le scénario du jeu. Rien ne vaut un joueur qui conduit le véhicule pendant que l’autre tire sur tout ce qui bouge sur leur chemin. Ca sent la liberté à plein nez et ça fait vachement comme bien.

On pourra à la limite reprocher l’aspect technique un peu douteux, les bugs parfois présents qui empêchent de jouer, ou encore les désynchronisations intempestives en multi-joueurs si votre connexion déconne à mort comme la mienne le faisait il y a quelques jours encore. Après, que vous vouliez le prendre sur PC, PS3 ou Xbox 360 c’est vous qui voyez. Sur Steam, il est encore à une trentaine d’euros, mais on peut le trouver pour moins de vingt euros sur les sites douteux vendant des clés Steam tombées du camion, si vous voyez ce que je veux dire.

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[Avis]El Shaddai – Ascention of the WTF?

Bon tout d’abord autant expliquer le présent post. Je profite du quartier libre du blog afin de faire partager mes avis et tests que je fait sur Gamekyo (car je pense pas que beaucoup de personne traine sur ce site x)).

Ces avis/test concerneront divers jeux et animé. En fait je pense que d’ici la fin du quartier libre, je ferais les tests de Alan Wake en jeu (et peut être The Last Story et Eternal Darkness si je les termines d’ici là), ainsi que des critiques de High School of the Dead et Infinite Stratos (les deux animes que je regardes en ce moment). Bien sur je ne compte pas l’avis (parce que j’ai eu la flemme de faire un test sur ce jeu) que je vous présente aujourd’hui et qui concernera El Shaddai (tester sur Xbox 360).

Bien sur, ce sont des tests amateurs, donc n’espérez pas quelques chose de réellement bien foutu. Et autant prévenir d’avance, je suis du genre nul en orthographe et grammaire, donc désolé d’avance pour les (très) nombreuses fautes. Je sais que c’est dérangeant, mais j’ai beau me relire, je n’arrive pas à tout corriger, donc je vous prie de m’excuser d’avance.

Bref ceci étant dit, nous pouvons commencer.

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Pourquoi il vaut mieux regarder un autre anime que Special A

Je ne suis pas blogueuse, mais quand un éditeur discute agréablement avec moi pendant une convention et me demande un retour sur la série dont il me vente les mérite, et pour laquelle il me fait verser 20 petits euros, j’aime lui répondre. Je recycle donc mon mail en article de blog et vous en fais profiter !

Special A me faisait de l’oeil depuis longtemps : En vrai, les shôjos contemporains (et josei, la limite étant parfois floue) constituent 40% de ma bibliothèque. Mais des adaptations récentes me laissaient à penser que le peu d’adaptations de shôjos réalisées étaient toujours aux petits oignons. Et je pense que Gonzo a ESSAYÉ d’être aux petits oignons. Malheureusement…


…Les sous titres étaient en comic sans MS. Attendez, ce n’est pas vraiment la question en fait.

(il y aura des spoilers mais bon, les spoilers dans Special A, c’est que les gens finissent ensembles, se font des bisous sur la joue, refoulent leur lesbianitude profonde, et rien de bien dramatique quoi.)

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Une parodie de microblogging #1

Après ma série de parodies des réseaux sociaux, je m’incruste dans les quartiers libres de Meido-Rando pour vous proposer un essai orienté microblogging.

Le principe de base est d’imaginer ce que pourraient donner les échanges entre les différents personnages d’anime manga s’ils avaient accès à un twitter-like – baptisé ici sweater -, en les faisant aussi réagir sur l’actualité, par exemple.

Pour les bons en anglais, je rappelle que to sweat signifie transpirer.

Cliquez sur l’image pour agrandir

Parodie Microblogging

MeOTD #170

Oyez oyez chers amis ! Voici arrivé notre toute nouvelle offre de Mecha of the Day !

L’offre d’aujourd’hui se porte sur une valeur sûre : une compagnie d’élite d’ATM-09 Scopedog ! Venu tout droit de l’anime Armored Trooper VOTOMS et envoyé avec un autographe du charismatique commandant Yoran Pailsen, cette unité d’élite estampillée « Red Shoulder » raccourcira avec une efficacité garantie toutes vos guerres personnelles (une rébellion à mater, un pays à envahir, le voisin et le son de sa télé, une belle-mère un peu trop collante…).

De plus, afin de fêter notre première semaine de prime à la cassemeido, nous vous offrons une section de soldat éclaireur en supplément de votre achat de compagnie d’ATM-09 Scopedog !

Enfin, nous avons aussi pensé aux avides et blasés collectionneurs de meido : en partenariat avec Meidolicious Inc. et la prime à la cassemeido, nous vous offrons immédiatement la compagnie de Scopedog en échange d’un bataillon de meido (voir conditions générales de vente relatif aux produits usagés) !

N’hésitez pas, profitez rapidement de cette offre limitée !

 

(Pour toute réservation ou commande groupé, veuillez contacter Nautawi)

CaOTD #321

Aujourd’hui amis de l’Internet, le catcheur of the Day est réservé à ceux qui aiment le doux bruit des cornemuses, le monstre du Loch Ness et autres whiskys écossais à trois-cents ans d’âge sa-mère-ça-veut-rien-dire. Je parle bien sûr du doux pays écossais, dont provient votre catcheur of the Day, c’est à dire Drew McIntyre – ici dans une position qui montre qu’il n’est vraiment pas très content !

Source: Google Images, bitch.

Quel est ce pouvoir que je ne saurais voir ?

S’il est des choses qui semblent bien être plus que réticentes à se coupler, ce sont bien les sciences et l’imaginaire. Je vous passe toutes les discussions que nous pourrions avoir sur la logique de la magie dans un monde de fantasy ou toutes autres considérations biologiques sur la digestion des vampires (je vous jure que j’ai déjà vu ce genre de discussion). La science-fiction est-elle un peu à part ? Captain Obvious à la rescousse : il y a science dans son nom. Bon nombre des grands de ce monde reposent leur livre sur des faits scientifiques avérés, en essayant d’anticiper (avec plus ou moins de succès) les applications. Certes, tous ne vont pas aussi loin. Certains romans (Hypérion par exemple) n’ont pas du tout pour but de faire une étude scientifique de quelques parties que ce soit. C’est d’ailleurs souvent le cas dans les animes, où l’aspect scientifique est vraiment mis de côté pour se concentrer sur d’autres choses. Et c’est justement ceux-ci qui nous intéressent ici, hein ?

Allez, Rincevent, on parlera de toi la prochaine fois !
Source : Wikipedia

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MaOTD #612

Vous avez du courier à distribuer dans votre empire ? Alors cette meido est faite pour vous ! Livrée avec tout son matériel et même un fourgon postal, pour la petite somme coquette de 3 500 Maid Points. Faites-vous plaisir, laissez-vous livrer du courrier par une jolie meido !

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Source : Natsuki Shuri

Meido Rando a sept ans


Oh Axel.

Crois-en mon expérience d’organisateur de Quartiers Libres : on n’écrit pas ce genre de message quand n’importe qui peut aller sur ton site et le faire à ta place, mais à sa façon.

Axel a déjà parlé de la genèse de ce site et de notre relationnel dans son article pour les deux ans du site (et voici mon coté du miroir) ; parlons donc du temps qui passe.

Nous sommes tous deux en train de passer la trentaine, avec le même léger vague à l’âme caractéristique de notre génération née au début des années 80. Celle qui a vu naître l’Internet, assez tôt pour l’assimiler sans être largué, mais assez tard pour ne pas avoir été assimilé par ce même Internet. Nos ancêtres ont connu le démon de midi, malaise mental du quadragénaire qui se sent vieillir mais qui ne l’admet pas. Nos parents ont passé la trentaine sans problème, parce qu’à cet âge, ils étaient adultes, embauchés à vie, mariés, et les seuls jeux socialement admis étaient sportifs. Nous sommes une génération qui joue à des jeux vidéo, s’enferme dans des télé-réalités pour échapper aux obligations du monde réel, et claque ses indemnités d’intérim’ dans des figurines de ninjas à seins gros et vêtements minces – statut de la relation sur Facebook : « c’est compliqué ».

Oh, vous y aurez droit, vous aussi. Axel, président de la Brigade SOS, fréquente assez d’adulescents de 2X ans qui lisent ces lignes et passeront à cette casserole ; nous y sommes en ce moment, et on peut vous dire que ce n’est pas si douloureux que ça. Le véritable passage à l’âge adulte (celui avec l’appartement acheté, le CDI, la Xbox 360 qui ne plante pas – un peu de stabilité, quoi) ne se fait que plus tard.

Axel ne lâchera pas ses maids, je ne lâcherai pas mon addiction immature pour les gros seins. Et dans un twist assez ironique (mais absolument vrai) de nos deux destins, Axel continuera à se taper des demoiselles à gros seins et je continuerai à me taper des maids. Ce que j’essaie de vous dire, c’est que notre passion ne s’éteint pas, et la vôtre ne s’éteindra pas non plus quand vous aurez 3X ans. Nos parents ont rangé leurs jouets ; nous/vous garderons/garderez les nôtres/vôtres – avec quelques MHz en plus, des lettres en moins (la tendance actuelle est à moins de 140 caractères), une mémoire dans le nuage, mais un cœur bien vivant dans le torse.

Bon anniversaire, Meido-Rando. Je sais que tu ne disparaîtras pas, je ne sais pas si tu changeras, mais à l’instar de tes grandes sœurs, tu seras toujours synonyme d’une époque aimée qui s’achève, qu’il s’agisse sur le Net ou dans la vie de son auteur. Jamais désactivée, jamais pleurée, jamais oubliée, toujours dans nos cœurs. On t’aime très fort et on sait que tu continueras à archiver encore longtemps soubrettes, dentelles, serre-têtes et passion.

Quartier Libre de Meido-Rando : START !

Voilà, c’est parti ! Je rassemblerai ici les articles postés au fur et à mesure. Pour ceux qui prennent le train en route, il y a là le post originel avec les instructions.

Tous les utilisateurs sont en mode Auteur désormais et peuvent créer des articles en se rendant ici. Si vous vous inscrivez, vous aurez automatiquement accès à de quoi écrire votre billet et poster vos images. Vous pouvez utiliser la section « Galerie » du panneau d’administration pour une gestion simplifiée, ou ajouter vos images comme un grand dans votre post.

N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions sur ce que vous pouvez/voulez faire, que ça soit technique ou éthique.

Et surtout n’oubliez pas le plus important, faites-vous plaisir en postant ce que vous ne posteriez pas forcément sur votre propre blog, si vous en avez un !

Des bannières pour Meido-Rando !

Comme vous le savez, ou peut-être pas, j’ai un énorme point faible : je suis une bille en graphisme. Mais vraiment hein : je suis désemparé devant un photoshop, incapable d’y piger quoi que ce soit. Les bras m’en tombent quoi.

Vu que j’ai changé le thème de Meido-Rando, je suis à la recherches de nouvelles bannières pour l’accompagner. Contrairement à la dernière fois où j’avais laissé la création de bannières plus libres en terme de taille, cette fois j’en ai une à vous donner et qu’il faudra respecter. En fait, voici les quelques points importants :

  • Limiter le texte à « Meido-Rando »
  • La bannière doit contenir au moins une meido, et/ou des miko.
  • La bannière doit faire du 950 pixels par 200.

Et là comme ça c’est à peu près tout !

Les participants seront remerciés avec des petits cadeaux en nature comme des accès privilégiés ou des adresses mail gratos d’un de mes domaines, donc si vous avez envie de participer, n’hésitez pas 🙂

MaOTD #610

Voici une petite meido prête à vous servir, et seulement pour 2 500 Maid Points. Une affaire au vu de la conjoncture actuelle. Elle est livrée avec un service de maintenance en option à 100 Maid Points par mois.

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Ryukishi07 sera à Epitanime 2012 !

La nouvelle vient de tomber : Ryukishi07, l’auteur des jeux Umineko no naku koro ni et de Higurashi no naku koro ni sera présent à Epitanime 2012 pour dédicaces et conférences sur la scène dôjin au Japon.

La news sur le site d’Epitanime.

Bien que n’étant pas un grand grand fan de ces univers (même si je les ai appréciés) je ne peux que soutenir la venue de Ryukishi07, puisqu’elle est organisée dans l’esprit « fan » comme l’était la venue de Noizi Ito en 2010 à la même convention. En ce sens, une collecte de dons a été mise en place pour que les fans puissent offrir à leur auteur préféré un mémorable voyage à Paris, comme ce fut le cas il y a deux ans avec la Brigade SOS Francophone et l’illustratrice de Haruhi.

Alors si vous êtes un tant soit peu fans, faites comme moi et allégez-vous de quelques euros pour faire un don. Tous les détails sont sur le lien de la news sur le site d’Epitanime. Pour le moment, seul Paypal est disponible comme moyen de paiement, mais le virement bancaire pourrait bientôt l’être également.

Sacrée nouvelle en tous cas !