Accueil

Mass Effect 2

ME0001218877_2.jpg

Mass Effect 1 fut mon premier jeu Xbox 360. A l’époque, ce fut quand même la giga claque graphique. Des promesses d’un grand RPG de SF plein de lasers qui tirent et des combinaisons moulantes, et puis il y avait le Normandy. C’était la grande classe quoi. Un très bon souvenir de gamer, même si la partie RPG du titre était finalement assez réduite, et les dialogues simplistes (quoi que très dynamiques). Du coup, j’attendais Mass Effect 2 de pied ferme, j’ai même pris un jour de congés pour bien le démarrer, c’est vous dire.

meffect2-20100203-211404.jpg

Cet article sera parsemé de deux screenshots à moi (dont un que vous venez de voir) et plusieurs issus de Gamekult, comme d’habitude. Le problème c’est que j’étais tellement happé par le jeu que j’en ai oublié de faire des screenshots jusqu’à à peu près la fin du jeu.

Coupons donc court aux questions principales que les gens se posent: faut-il avoir joué à Mass Effect 1 avant de faire le 2? La réponse est que c’est souhaitable, mais pas obligatoire. L’une des fonctionnalités mises en avant par les développeurs pour ce ME2 est la reprise de votre sauvegarde de ME1. Pour moi ce fut surtout un vrai dilemme: dois-je le prendre sur Xbox ou sur PC? J’avais en effet fini le premier sur Xbox et je comptais réutiliser la sauvegarde pour le 2… C’est alors que je découvris ce site qui permet de récupérer des sauvegardes pré-faites sur PC avec différents Shepard plus ou moins bien alignés et avec différents choix scénaristiques. Car oui, la grande force de ME2 c’est de répercuter les décisions prises dans ME1 sur le scénario de ME2. Et c’est la grande classe.

meffect2-20100204-013837.jpg

Ca c’est ma Shepard à moi. Dans Mass Effect, vous dirigez le commandant Shepard. Vous choisissez son origine (colon, espace ou terrien), son sexe, à quoi il ou elle ressemble, mais aussi sa carrière: héros de guerre, impitoyable ou dernier survivant d’une grande bataille, ces choix n’influent pas réellement sur le déroulement du jeu mais plutôt sur des petits détails de dialogue ici et là. Rien de bien méchant, mais ça fait mouche chaque fois: on se glisse peu à peu dans la peau du personnage grâce à ces tous petits riens.

De la même façon, dans ME1 vous étiez amenés à faire des choix: sacrifier ou non certains personnages, coucher avec d’autres, chaque action se répercute dans ME2 d’une façon plus ou moins habile: un mail reçu, des annonces sur le réseau ExtraNet, des choix de dialogue supplémentaire, des personnages qui sont à des endroits et pas d’autres. Encore une fois, beaucoup de petits riens, mais des petits riens qui font la différence.

ME0001218921_2.jpg

L’histoire du 2, sans trop spoiler, prend la suite directe de ME1: après avoir sauvé l’univers des Sovereign, voilà que le Normandy se fait prendre en embuscade par un vaisseau inconnu qui le dézingue en quelques minutes. Juste le temps pour Shepard d’envoyer tout le monde dans les nacelles de sauvetage, même son timonier qui pourtant tenait à fond à son vaisseau. Shepard meurt en sauvant les autres, et ça aurait pu se terminer comme ça. Mais non: l’organisation Cerberus, que vous aviez pourtant combattu de temps en temps dans ME1, vous resssucité après 2 ans passés sur la table d’opération. Mais ce n’est pas tout: ils vous offrent même un Normandy flambant neuf, et une mission: constituer votre équipe d’élite et trouver un moyen de passer le relai cosmodésique Omega 4 pour aller botter les fesses des Moissonneurs eux-mêmes. Un mystérieux Homme Trouble, qui dirige Cerberus, tire les ficelles de tout ça…

ME0001218938_2.jpg

Et le scénario se résume à ça: pas de folle course poursuite contre un ennemi bien identifié comme ce fut le cas dans le premier ME, mais juste une mission simple: sauver la galaxie. Là où c’est un peu dommage c’est que Bioware nous livre un scénario au déroulement générique: va récupérer tels ou tels membres d’équipage (dans l’ordre qu’on souhaite, encore heureux) puis fais avancer le scénario, puis trouve d’autres membres d’équipage, puis va faire le dernier tronçon du jeu. Aucune grosse surprise, aucune grande bataille impressionnante ou si peu: tout se résume à aller recruter tel ou tel membre choisi par l’Homme Trouble. Vous aurez même la quasi obligation d’effectuer une mission pour chacun d’entre eux, afin de les aider à résoudre leurs petits problèmes, afin qu’ils deviennent entièrement loyaux à votre cause.

Fort heureusement tout ne se résume pas à ça.

Il y a un certain nombre de sous-quêtes et endroits à découvrir. Pas forcément follement passionnants, mais déjà bien plus que dans ME1, où les bases des quêtes secondaires étaient littérarement un copier-coller des autres, avec des caisses qui ont changé d’emplacement et des ennemis différents. De la même façon, certaines quêtes de loyauté pour vos équipiers ne vous demanderont pas de foncer dans le tas bêtement. Il faudra parfois utiliser du dialogue, de la séduction, voire, de la ruse. Il y a peut-être moins de sous-quêtes, mais elles sont originales et pas recyclées comme dans le premier volet.

ME0001218963_2.jpg

D’ailleurs, ils ont viré le Mako de ME1. Le sorte de véhicule tout terrain à la maniabilité excécrable n’est plus, et l’exploration des planètes se fait depuis l’orbite avec des sondes. En gros ils ont retiré un élément chiant de ME1 pour en mettre un autre: pour trouver une mission (fort heureusement signalée une fois en orbite autour de la planète) ou chopper des ressources, il va falloir passer votre souris sur la surface de la planète, avec un réticule affreusement lent, et vérifier à droite qu’un des minéraux répond à la sonde. Si c’est le cas, vous envoyez une sonde et elle récupére les ressources.

Ces ressources sont nécessaires pour faire des recherches afin d’améliorer votre équipement mais aussi votre vaisseau, car si vous ne le faites pas je ne donne pas cher de votre peau à la fin du jeu. Faites-moi confiance.

Fin du jeu qui est d’ailleurs un grand moment en soi, bien pensé, avec des choix difficiles… On regrette juste qu’il n’y ait pas eu plus de missions dans ce genre, mais il fallait bien finir en apothéose.

ME0001218982_2.jpg

L’autre problème de ME2 c’est son gameplay global simplifié. Je ne dirais pas consolisé car c’était déjà comme ça pour le 1, mais ils ont transformé ME2 en un clone de Gears Of War avec des pouvoirs. Sauf qu’ils ont oublié d’emprunter le level design de taré de GoW. Dans ME2, bien que les décors soient tous originaux quelque soit l’endroit où l’on se trouve, le level design est d’une linéarité à faire peur. Ca consiste à avancer, se planquer derrière les couverts, tirer, se planquer, tirer, ramasser les munitions (des MUNITIONS ?! Le premier volet n’avait pas de munitions), ramasser des sous, des minéraux ou des améliorations, faire des petits jeux de hacking très chiants… Et tout ça se repête pour chaque mission que l’on fait. Ad vitam eternam. Il n’y a que très très peu de variantes à ce gameplay, sauf vers la fin du jeu encore une fois. Cela rend finalement la partie combat très terne, bien que les armes aient un meilleur feeling que dans ME1.

Cette simplification du gameplay s’opère aussi avec l’inventaire: disparu, on choisit juste les armes à équiper en début de mission, parfois au milieu. Les munitions sont toujours en quantité raisonnable sur le sol et vous serez rarement à court. Il n’y a pas d’objets spéciaux et l’équipement d’armure se trouve aussi simplifié avec quelques rares pièces au choix (à équiper avant de partir en mission aussi.)

De même, la montée de niveau s’accompagne de points de compétence qu’on répartit dans seulement 3 ou 4 aptitudes par personnage. C’est très peu et la plupart du temps vous n’utiliserez que trop rarement vos pouvoirs ou ceux de vos coéquipiers. Coéquipiers qui d’ailleurs sont assez intelligents pour les utiliser tous seuls, ce qui retirait l’aspect tactical shooter du premier opus.

Cependant, malgré toutes ces tares et simplifications, ME2 en met plein la gueule. Vraiment. Shepard a toujours autant la classe, les dialogues sont plein de poésie et parfois d’humour. Mention spéciale au vendeur de jeux vidéos à la Citadelle: "Ces jeux hentai Asari vendus à Shin-Akiba, c’est vraiment hardcore". Ca m’a bien fait rire, forcément.

C’est pour ça qu’on aime Mass Effect: ses dialogues, son scénario simple à suivre mais efficace, son action, ses personnages bien recherchés, son background touffu et recherché, où les humains ne sont pas la race dominante de l’univers (le Codex est plaisant à lire et écouter d’ailleurs, comme dans ME1). Mais aussi pour les choix moraux qu’il vous invitera à faire. Plus évidents que dans Dragon Age sorti quelques mois plus tôt par le même studio, mais dont les répercussions sont difficiles à envisager: il est évident que les choix que l’on a pu faire dans Mass Effect 2 seront sûrement repris dans Mass Effect 3.

Au final, on a ici un jeu qui tient en haleine pendant une bonne dose d’heures (50 et quelques en ce qui me concerne) et qui en jette. Ses défauts sus-cités sont gommés par une ambiance géniale et un perso principal attachant. J’ai maintenant hâte qu’ils nous sortent le 3 bordel, afin de terminer cette trilogie. Les jeux dans un univers de SF travaillé sont trop rares pour qu’on les laisse passer.

MaOTD #437

Une jolie petite meido se nourrissant presqu’exclusivement de carottes, voici ce que Meidolicious Inc. vous propose aujourd’hui avec ce modèle 437. Disponible pour 4 300 Maid Points dans toutes les bonnes crémeries.

maotd_bunny_broom_ichio.jpg

MaOTD #435 et #436

Vous excuserez le retard mais voilà, il y a eu quelques empêchements pour produire cette Maid of the Day 435:

maotd_haruhi_sumire.jpg

Source : Sumire

Hé oui, Haruhi Suzumiya! Les stocks sont très rares et les modèles difficiles à produire, il vous en coûtera donc 15 600 Maid Points l’unité.

Cependant, pour un Maid Point de plus, vous aurez droit à la Maid Of The Day suivante:

maotd_bayonette_mugi-pixiv153687.jpg

Source : Mugi-pixiv153687

Idéale pour la garde rapprochée, cette charmante Maid Of the Day est disponible seule pour 6 000 Maid Points.

Réfléchissez bien pour vos achats!

Grand Tournoi des Seifuku – 8èmes de finale – Round 4

gareizero.jpg

Bonjour à tous, ici Patchouli qui vous présente ce quatrième et dernier round des huitièmes de finales du Grand Tounoi des Seifukus. Mais d’abord laissons la parole à Axel pour les résultats de la semaine dernière.

Quelle présentation sommaire mon cher Patchouli! Mais voici les résultats:

Match 5:

  • Shugo Chara à 59.86 % avec 249 voix
  • Fate Stay Night à 40.14 % avec 167 voix

Match 6:

  • CLANNAD à 66.91 % avec 277 voix
  • Discipline à 33.09 % avec 137 voix

De toute évidence, Shugo Chara commence à se faire remarquer par tout le monde et à même réussi à surmonter FSN et ses hordes de fanboi. Comme quoi, tout est possible dans ce tournoi. Une entrée en matière remarquée qui le fera affronter soit Bakemonogatari ou Hyakko à la prochaine étape… A vous de décider!

Pour le match 6, le rouleau compresseur CLANNAD fait encore parler de lui. Il faut dire que c’est à se demander comment Discipline a fait pour arriver en 8ème tellement cet uniforme manquait de goût… Enfin, CLANNAD devra affronter sa propre famille, puisqu’il devra se manger Kanon ou Air… Difficile!

Bakemonogatari VS Hyakko

Commençons par l’anime de Shaft adapté des light novel de Nisio Isin : Bakemonogatari.

Tout d’abord quelques images des différents seifukus :

bakemonogatari_fig.jpg

bakemonogatari_cosplay.jpg

bakemonogatari_hachikuji.jpg

bakemonogatari_snake.jpg

et quelques images bonus :

bakemonogatari_bonus.jpg bakemonogatari_bonus2.jpg bakemonogatari_bonus3.jpg

Petit cadeau : ici

Anime de l’année 2009 pour certains, overhypé pour d’autres, Bakemonogatari ne laisse personne indifférent. Arrivé à la dernière minute dans le tournoi (lors des 16èmes de finale), le seifuku est assez classique sur la forme mais original sur le plan des couleurs : un haut rose associé à un col rouge et une jupe bleue, on aime ou on aime pas, en tout cas cet uniforme s’est offert une belle victoire contre Green Green et Rosario to Vampire en l’emportant avec la majorité absolue. Serait-ce dû aux qualités du seifuku ? ou alors à la hype entourant la série et la mythique Senjougahara Hitagi ?

Pour plus d’informations :

article des 16èmes de finale

Passons maintenant à Hyakko.

Voici les seifukus :

hyakko_normal.jpg

hyakko_fig.jpg

hyakko_3D.png

hyakko_yuki.jpg

hyakko_male.jpg

Pour voir tout ça en mouvement : ici

Anime assez méconnu sorti en 2008, Hyakko est du pur slice of school life (tranche de vie à l’école). Sans atteindre l’humour d’Azumanga Daioh ou le génie de Lucky Star (oui, je suis un fanboy), l’anime se révèle assez plaisant et je le conseille à tous les amateurs du genre. Difficile de décrire ce seifuku, chaque personnage ayant presque sa version personnalisée : avec ou sans blazer, pas de manches ou manches longues, ruban ou cravate. Ici aussi le choix des couleurs est particulier : noir, orange et beige, ou même blanc comme le montre la dernière image (les filles aussi ont une version blanche).

Lecture complémentaire :

article des poules article des 16èmes de finale

Mode Fanboy On :

Quel est le point commun entre ces deux animes ? … Aya Hirano ! En effet elle est seiyuu dans Hyakko où elle double Ayumi Nonomura ainsi que dans Bakemonogatari dans lequel elle prête sa voix à la sublime vampire loli mais pas dancing in the bund Shinobu Oshin (dit-elle seulement un mot dans l’anime ? peut-êre les deux derniers épisodes à venir nous le diront…).

Personnellement, mon vote s’orienterait vers Hyakko et particulièrement l’uniforme de Torako (celle en figurine), mais Hyakko pourra-t-il résister à l’effet hype de Bakemonogatari ?

Petit interlude

koume.png

suou.jpg

Poursuivons avec l’autre match de cette semaine.

Kanon VS Air

Le derby KeyAni (Kyoto Animation + Key pour ceux qui ne connaitraient pas), l’hiver contre l’été, uguu !

Commençons par l’œuvre correspondant à la saison actuelle : Kanon !

kanon_fig.JPG

kanon_tenue.jpg

kanon_uguu.jpg

Je vous conseille vivement de regarder ça ainsi que ça et comme il n’y a pas que les animes dans la vie, ça aussi !

A lire également :

article des poules article des 16èmes de finale

Enfin, dernier seifuku en lice à ce niveau de la compétition : Air

air_fig.jpg

air_cosplay1.jpg

air_cosplay2.png

Sans oublier le magnifique opening : ici et pour le jeu !

Anciens articles sur ce seifuku :

article des poules article des 16èmes de f inale

Maintenant, vous avez toutes les cartes en main pour voter de la manière la plus judicieuse possible. Bonne chance pour départager nos quatre candidats !

seizon.jpg

Epitanime et la Brigade SOS Francophone annoncent Noizi Ito à Epitanime 2010

Epitanime et la Brigade SOS Francophone, en collaboration avec Digicraft  s’associent pour vous amener Noizi Ito à Epitanime 2010. Qui est Noizi Ito? En quelques mots: charadesigner de Haruhi, Shana, et illustratrice de jeux vidéos! Elle sera donc l’invitée de la convention cette année

Pour plus d’infos, vous avez le site officiel d’Epitanime ou encore le forum de la Brigade où l’annonce a été faite (en complément d’une news sur le portail)

haruhi_noizi.jpg

Comment dire… Il y a eu du chemin parcouru depuis cette annonce et bien qu’on en avait parlé ici et ailleurs à demi-mots, c’est maintenant officiel. Du coup, c’est encore un rêve d’otaku qui se réalise, et c’est sous l’impulsion de la Brigade SOS Francophone (asso loi 1901 visant à promouvoir Haruhi dans la francophonie, mais on va élargir nos horizons bientôt, en parlant d’autres animes) que cette idée est née et qu’elle a engendré un pari fou avec Darksoul: et si on amenait Noizi Ito en France? Quelques minutes de délire plus tard il me fit « Déconne pas, ça pourrait être possible. » En bref, je suis fier de vous annoncer ceci, mon HUD personnel venant de m’afficher « Succès dévérouillé – Aider à faire venir un invité japonais en France – 1000G » tout à l’heure. C’est pour moi un une démonstrations qu’avec de la volonté et l’aide de tous, on est capables de faire des choses extra.

On espère que sa venue en France se passera bien, et que vous serez nombreux à acceuillir cette jeune illustratrice japonaise lors de la convention Epitanime, du 28 au 30 Mai prochain.

Pendant ce temps, profitons-en pour saluer la création de l’association Thalie, dirigée par le charismatique Amo l’écolo. On leur souhaite beaucoup de bonheur et plein de petites activités sympa pour nous divertir en convention et ailleurs!

MaOTD #434

Un produit très demandé que l’on vous livre de nouveau dans cette nouvelle version plus sobre, plus clean, bref plus mieux, de la meido Airi de Queen’s Blade. Et pour combien, hein, combien? Pour seulement 4 000 Maid Points, oui monsieur!

maotd_airi2.jpg

MaOTD #433

Pour les goshujin-sama aux goûts les plus exotiques, cette meido répondra peut-être à vos besoins avec sa paire d’ailes. Les plumes, c’est un peu comme les rubans, ça coûte cher, et cette meido est donc à 8 000 Maid Points.

maotd_wings.jpg

Grand Tournoi des Seifuku – 8èmes de finale – Round 3

Baka to Test to Shoukanjuu

Nous sommes de retour, pour vous jouez un mauvais tour. Et oui, que voulez-vous : plus personne ne veut participer au Grand Tournoi des Sailorfuku, alors nous revenons pour une seconde fois, le temps de vous présenter – en toute impartialité, vous nous connaissez – les uniformes de cette semaine. Mais je laisse Axel vous donner les résultats de la semaine dernière.

Ici Axel, cette semaine c’est Gemini qui s’y colle de nouveau, mais avant ça, les résultats!

Match 3

  • Kannagi à 52.21 % avec 224 voix
  • Strawberry Panic à 47.79 % avec 205 voix

Total des voix : 429 voix

Match 4

  • Persona 3 à 53.51 % avec 236 voix
  • Toradora à 46.49 % avec 205 voix

Total des voix : 441 voix

Qu’avons nous de beau cette semaine ? Tiens, mais nous retrouvons deux participants que nous avions déjà eu la chance de rencontrer au tour précédent. Coïncidence, quand tu nous tiens.

Fate/stay night VS Shugo Chara

Il y a un uniforme dans Fate/stay night ? Nous ne nous en souvenions même plus. Il faut dire pour notre défense que Saber a attrapé notre regard lors du premier épisode, et ce l’a plus lâché.

F/sn Après recherche, il s’avère qu’il y a effectivement un uniforme dans cette série. Nous ne le trouvons pas très bien coupé, mais il existe. Niveau originalité, il demeure assez classique, mais cela rendrait sans doute mieux avec Saber à l’intérieur de l’uniforme.

Shugo Chara Par contre, nous sommes bien placés pour savoir que l’uniforme de Shugo Chara existe, avec ses motifs à carreaux originaux et ses possibilités d’amélioration par un jeu d’accessoires savamment choisis.

Clannad VS Discipline

Ce n’est pas que nous détestons Clannad : cet anime nous est juste indifférent. Totalement. Nous nous énervons beaucoup plus volontiers face à l’attitude prosélyte de certains ardents défenseurs de cette série, qui peuvent devenir insupportables à très court terme. Heureusement, nous ne jugeons ici ni les séries, ni leurs fans, mais uniquement les uniformes !

Clannad Et niveau uniforme, rien à redire : nous retrouvons quelques aspects classiques du sailorfuku traditionnel à la Sailor Moon, mais avec une recherche notable dans le design et les couleurs. Un modèle intéressant, en tout cas plus que celles qui le portent.

Discipline CG Toujours aussi étonnant dans sa coupe et son choix de couleurs, l’uniforme de Discipline possède de véritables atouts. Nous tenons à préciser que nous n’avons toujours pas tester le jeu d’où il est tiré.

Cette présentation totalement impartiale étant achevée, il ne nous reste plus qu’à souhaiter bonne chance à tous les participants !
Jun Watarase

Disgaea 3 : Absence of Justice

ME0001061767_2.jpg

Rien qu’avec le titre, pas de doute, nous sommes bien en face d’un Disgaea.

Cela faisait longtemps qu’il me donnait envie ce jeu, mais je n’avais pas encore de PS3. Maintenant que c’est réglé et que je vais pouvoir profiter de ma waifu en Blu-Ray, j’en ai profité pour prendre quelques jeux: Valkyria Chronicles, Little Big Planet, Uncharted 2, et Metal Gear Solid 4. Après avoir bouclé Uncharted 2 (un putain de bon jeu soit dit en passant), je me suis mis à Disgaea 3, et ce n’est qu’après une 60aine d’heures de jeu que j’ai pu en voir la fin. Enfin, c’est vite dit: Disgaea 3 vous rappellera qu’à la fin du jeu, l’aventure ne fait que commencer…

ME0001071653_2.jpg

Le premier truc qui choque en lançant le jeu c’est que bien que l’interface soit fine et claire, les sprites eux, sont pixellisés ou flous (au choix dans les options). Ca refroidit un peu quand on sait qu’on est quand même sur une console moderne.

Cependant, passé ce premier contact un peu déconcertant, on est vite happés par l’histoire de ce Disgaea 3 qui prend place à l’Académie du Mal. Et le Mal, vous allez en faire. Plein.

ME0001071718_2.jpg

Notre… héros, enfin presque, c’est Mao. Fils de l’Overlord local qui dirige ce Netherworld (car dans les Disgaea il existe une infinité de Netherworlds), il va pêter un câble lorsque son père écrasera ses consoles de jeu, réduisant à néant plus de 4 millions d’heures de RPG de Mao. Ce dernier, furieux, décide de vaincre son père en représailles. Pour cela, il a besoin de devenir un Héros, car seuls les Héros peuvent vaincre un Overlord. Problème: Mao est un étudiant d’honneur à l’Académie du Mal, car il n’est jamais allé en cours de toute sa vie. Face à lui, de nombreux dangers se dresseront, comme les frères Vato, ou bien Raspberyl, sa rivale de toujours qui avec Kyoko et Asuka ses deux comparses sont les "rebelles" du coin. Des délinquantes en herbe, puisqu’elles vont en cours, font leurs devoirs, et font même du bénévolat ou donnent leur sang! Je ne vous en dis pas plus, ce qu’elles sont prêtes à faire au nom de l’amour et la justice, c’est tout bonnement affreux.

ME0001071732_2.jpg

Mao va également croiser la route de Almaz, un apprenti héros armé seulement de son courage qui souhaite protéger sa princesse en vainquant l’Overlord qui aime bien enlever les princesses, c’est bien connu. Princesse qui d’ailleurs rejoindra aussi notre petit groupe par la suite, parce qu’elle préfère venir buter l’Overlord que d’attendre sagement de se faire enlever.

Comparé à Disgaea 2, un réel boulot a été fait au niveau des personnages qui sont tous plus attachants les uns que les autres même s’il manque, à mon goût, une sorte de héros / anti-héros à combattre comme ce fut le cas de Gordon dans Disgaea 1 ou des Prism Rangers et de Axel le Dark Hero dans Disgaea 2. Sans trop spoiler, je regrette également certains aller-retour dans des mondes sans réel intêret autre que de recycler des maps. L’histoire est quant à elle au dessus de Disgaea 2 mais en dessous du premier épisode de la série. Mao est plutôt sympathique à manier et même s’il n’a pas la classe de Laharl, Raspberyl, Champloo-sensei le prof de cuisine GAR et/ou Almaz sont là pour lui donner la réplique.

ME0001071726_2.jpg

Mais passons au gameplay à proprement dit.

Pour ceux qui n’auraient jamais touché un Disgaea de leur vie, je rappelle brièvement le principe: c’est un Tactical RPG. Vous déplacez des unités que vous bichonnez sur le terrain de jeu, et vous lancez des attaques spéciales ou normales sur les ennemis, et tout ça au tour par tour (vous, puis l’ennemi, puis vous, etc.)

Il y a de nombreux paramètres à prendre en compte mais les maps de tutorial sont assez bien faites. Problème: les mécanismes les plus avancés (ceux spécifiques à cet épisode, quoi) sont parfois mal expliqués, voir pas du tout. Néanmoins, il faut garder à l’esprit que la découverte fait partie intégrante du plaisir de jeu.

ME0001054196_2.jpg

Ainsi, il vous faudra toujours une arme (selon la classe du personnage) et jusqu’à 3 armures / accessoires qui montent telle ou telle stat. A noter que la maitrise des armes ne progresse plus prévèment et que les coups spéciaux et magies progressent différement.

Les Geo sont évidemment toujours de la partie, cette fois sous forme de cubes qui peuvent s’empiler, mais toujours se détruire. Par contre on ne peut plus les soulever s’ils sont collés à un autre cube, ce qui occasionnera quelques casses têtes amusants. Un GeoCube colorie ainsi la case sur laquelle il se trouve et lui confère un bonus, à elle et toutes les cases de la mêem couleur. Les effets sont variés et peuvent être bénéfiques, ou pas (ce qui est plus souvent le cas… à vous de rendre ces effets bénéfiques ou de les neutraliser.) Certaines maps révèlent ainsi plus du puzzle game que du tactical RPG, n’en déplaise à certains.

Les coups spéciaux peuvent s’apprendre de deux façons: certains se révèlent selon le niveau du personnage ou de certains autres coups pré-requis (qui augmentent plus on les utilise) et d’autres coups ou magies doivent s’acheter avec la Mana. La Mana est en fait une sorte de Skill Point qui s’obtient en tuant un ennemi. En tuant un ennemi à plusieurs on a ainsi plus de Mana pour tout le monde mais cela élimine de facto les prètres et fera de leur progression un calvaire. (fort heureusement faire du heal fait maintenant monter la barre d’XP, mais moins vite que les autres…). Ces améliorations de pouvoirs et sorts ne font que faire progresser très faiblement le pouvoir en question.

Car la Mana peut être aussi utilisée pour améliorer les compétences: augmentation de portée, de zone d’effet, et de puissance (ce qui se soldera par une consommation accrue en MP). On peut aussi activer des compétences passives comme des vaccins contre des altérations d’état ou des effets amusants, comme une forte résistance au feu ou des soins améliorés, ou encore une immunité aux dégâts venant d’alliés.

ME0001071699_2.jpg

Enfin, la Mana peut être dépensée en Permanence. La Permanence c’est la Dark Assembly des épisodes précédents: vous avez des sujets d’étude à faire passer, la création de nouveaux clubs (on y reviendra) et d’autres demandes amusantes? Il suffit de s’arranger pour obtenir la majorité, par la persuasion ou les pots de vin, ou par la force, et roulez jeunesse.

Jusqu’ici rien de bien surprenant pour peu que vous soyez un habitué de Disgaea. Les autres prendront le trian en route sans problème.

Une des nouveautés de ce volet reste néanmoins le plan de classe:

ME0001071695_2.jpg

Après tout, nous sommes dans une école, et donc il vous faudra arranger votre classe (ou groupe) de la meilleure façon qui soit, par exemple en mettant les copains ensemble afin qu’ils aient plus d’affinités entre eux pendant les combats. C’est ici aussi que vous déciderez de qui va à quel club: les clubs sont des groupes qui peuvent acceuillir 5 ou 6 personnages et qui leur confèrent des aptitudes spéciales. Ainsi il y a le groupe des cancres qui donne 25% d’XP en plus à ceux qui se mettent dans un coin de la classe, le groupe des punk qui donne plus de sous à ceux qui sont dans le fond de la classe, ou d’autres qui vont permettre d’utiliser le monde des classes…

Le monde des classes fonctionne de la même façon que l’Item World déjà bien connu des fans de Disgaea. Dans l’Item World, on "rentre" dans un objet afin de l’améliorer en progressant dans des maps générées aléatoirement et à la difficulté variée (les ennemis eux progressent selon votre profondeur dans les donjons de l’item world). On peut ainsi tomber sur des salles spéciales permettant de débloquer des tas de choses, vous soigner ou vous ravitailler. En général l’item world est un excellent moyen de faire progresser vos personnages, et plus l’objet choisi est rare et puissant, plus l’item world sera difficile.

ME0001054201_2.jpg

Le monde des classes, c’est un peu le même principe sauf que l’on rentre dans l’un de nos personnages pour booster l’une de ses aptitudes: déplacement, HP ou MP max, etc. Il y a quelques différences à noter mais en gros ça marche tout comme l’Item World.

Comme je le disais au début, Disgaea commence vraiment une fois l’aventure terminée puisque le jeu vous proposera d’entamer un autre cycle ou de continuer dans celui où vous êtes déjà. Recommencer un cycle vous permet de garder vos personnages, équipements, objets et argent tout en refaisant le jeu (qui peut se boucler en 2 heures quand vos personnages seront assez puissants pour one-shot tous les ennemis des maps.) Certaines maps sont aussi propices à du Level Up intensif comme celle des mangeurs de cadavres où les ennemis peuvent rester immobilisés sur des cases "One hit" qui les tue instantanément au premier coup. Ainsi, même votre perso le plus faiblard peut prendre 30 niveaux en un seul coup.

ME0001071729_2.jpg

Au final, on a un système de jeu assez complexe à prendre en main, même si pour terminer l’histoire, vous n’aurez en général pas à faire de level up. J’ai tenté de torcher l’histoire pour la rendre plus difficile sans utiliser l’item world, mais même sans le jeu a été plutôt simple dans l’ensemble avec juste deux ou trois cartes récalcitrantes. Je sais, je ressors des phrases de mon test de Disgaea 2 mais le constat est pourtant là: le jeu, ou tout du moins l’histoire n’est pas faite pour être difficile. Elle est faite comme une introduction pour les maps les plus difficiles qui viennent après.

Le jeu propose ainsi de refaire des cycles mais aussi de maximiser ses personnages jusqu’au level 9999 (histoire de se la pêter en societé.) 4 chapitres dédiés à Raspberyl sont aussi disponibles sur le Playstation Store, pour 12 euros le pack. Ils ne sont néanmoins pas traduits en français mais resteront en anglais. Si vous êtes adeptes de certians personnages des précédents Disgaea, ils sont disponibles également sur le PSN pour être utilisés dans votre équipe lors de votre second cycle.

Disgaea 3 est une gentille évolution des précédents volets, en ajoutant des modes de jeu et en complexifiant un peu plus chaque fois le système. Ca ne le rend pas indigeste pour autant aux nouveaux venus mais ça leur demandera un poil d’apprentissage pour en tirer tous les bénéfices. Pour ceux qui voudraient cependant découvrir les débuts de la série, je rappelle qu’elle est dispo sur DS et sur PSP dans des versions aménagées à chaque plateforme. Disgaea 1 n’est pas non plus à négliger même s’il a moins d’options de gameplay que ses successeurs, et je vous le recommande chaudement, ne serait-ce qu’à cause du trio Laharl-Etna-Flonne qui est absolument hilarant.

Allez, cuisinez ce jeu avec amour, et il vous le rendra avec sa saveur onctueuse et ses pépites de chocolat planquées au fond du plat. Boum!

MaOTD #431

Cette meido un peu loli sur les bords est parfaite pour la défense du manoir et la garde rapproché des maîtres les plus exigeants. Son épée est offerte sous présentation d’un permis de goshujin-sama de niveau 3 ou plus.

Ah oui, et elle est à 4 000 Maid Points.

maotd_sword_sakurano_miya.jpg

Source : Miya Sakurano

Soranowoto

sora3.jpg

Au départ, et au vu des différents billets (quand ce n’est pas un tissu de bétises) déjà parus sur la blogosphère otaku francophone, je voulais parler de Soranowoto sans évoquer K-On a un seul moment dans mon texte. Cependant, comme vous pouvez le voir, j’ai déjà échoué.

Honnêtement, a part quelques similitudes amusantes, je ne vois absolument pas en quoi Sora no woto, ou Soranowoto, ou So-ra-no-wo-to, bref, est une resucée de K-On chez les militaires. Il suffit d’ouvrir ses yeux et ses oreilles et de voir plus loin que la propagande de ce torchon qu’est Sankaku Complex pour se forger une opinion sur ce nouvel anime issu du studio A-1 Pictures, responsable entre autres de Kannagi ou Valkyria Chronicles pour ne citer que ces deux là.

Mais avant tout cela, un peu d’histoire.

sora9.jpg

Kanata (oui, comme le prénom de la mère de Konata dans Lucky Star) est une nouvelle recrue et se voit envoyée dans un coin perdu: Seize. En fait, c’est pas si perdu que ça puisque c’est une ville-forteresse à la frontière d’un autre pays avec lequel un armistice a été récemment signé. Notre héroine découvre alors la petite ville et son histoire, ainsi que là où elle sera affectée: en compagnie de quatre autres jeunes filles et femmes dans un vieux bâtiment qui ne sera pas sans rappeler Old Home de Haibane Renmei, comme l’a si bien remarqué Iznogoud dans l’article de FFenril.

sora2.jpg

Notre héroine pleine d’enthousiasme et visiblement nouvelle de chez nouvelle, va découvrir les joies de la vie militaire (ou pas) et de ses amies fraichement rencontrées qui vont l’acceuillir. On y découvrira notamment un iTank (comme aime l’appeler Gemini) aux pattes cassées mais qui fait la fierté du petit groupe qui semble laissé à l’abandon par leur hiérarchie.

sora6.jpg

A première vue, toutes les bases sont là pour une banale histoire tranche de vie. Mis à part le charadesign, l’anime n’est pas excessivement tourné vers le moeblobisme comme certains aiment critiquer. Cependant, si l’on creuse un peu et que l’on se penche sur le background de Soranowoto, on s’aperçoit qu’il y a des choses étranges ici et là et qu’un semblant d’histoire se profile, à défaut d’une intrigue réelle et prenante.

sora7.jpg

Entre les flashbacks de Rio et Kanata, le contexte d’armistice avec le pays voisin et la situation historique encore un peu difficile à placer (on se croirait au début du siècle dernier dans une ville d’Europe), on est en droit de se poser des tas de questions sur le pourquoi du comment. D’autres petites choses attiseront la curiosité du téléspectateur: les textes en vrai français sur les papiers, l’insert song du premier épisode elle aussi en français, le fossé entre l’atmosphère assez vieillote avec les téléphones à cadrans et l’iTank cité plus haut… Tout ça fait qu’on aimerait en savoir plus. Le problème, c’est que comme pour Kannagi, j’ai personellement un peu peur que l’on obtienne pas toutes les réponses que l’on souhaite. ON attend d’ailleurs toujours une seconde saison à Kannagi, soit dit en passant, parce que pour le moment il y a de quoi rester sur sa faim.

sora5.jpg

Et que dire des paysages magnifiques et de cette ambiance faite d’isolement et de calme, presque de nostalgie ? Dés les premières secondes de l’opening, une chose est sûre, Soranowoto envoûte, tout d’abord avec sa chanson mais aussi avec ses images. L’opening du premier épisode est en fait le début de l’histoire, où l’on suit le train de Kanata se diriger vers Seize, et où ses futures amies tirent au sort qui ira la chercher. Qu’on le veuille où non, c’est original. Personellement je me le passe en boucle depuis quelques jours.Hé oui, d’ailleurs, le CD single est déjà sorti!

sora8.jpg

Sans casser trois pattes à un canard, Soranowoto attire par ses qualités techniques indéniables et son ambiance originale. J’espère simplement que la tranche de vie actuelle saura continuer de subtilement distiller des bribes d’histoire et de background.

sora4.jpg

Pour terminer, j’aimerais rappeler à tous les détracteurs de Soranowoto qui ne voient qu’en cet anime qu’une pâle copie de K-On parce qu’il y a pratiquement que des filles, qu’elles font de la musique (deux sur cinq jusqu’ici, woaaaaah.) que l’an dernier, ils ne voyaient en K-On qu’une pâle copie de Lucky Star. Soranowoto n’en demandait pas tant, et son rapport avec K-On doit être au moins aussi subtil et fin que celui de K-On avec Lucky Star. En clair, il n’y en a pratiquement pas, et ceux qui clamaient que K-On == Lucky Star sont passés pour des cons. Ouvrez les yeux les mecs, troller sur votre blog / site / forum vous apportera peut-être des visites supplémentaires afin de faire grandir votre e-penis, mais vous fera perdre toute crédibilité auprès de vos pairs, soyez-en sûrs. N’importe qui ayant vu le premier épisode pourra vous dire avec objectivité qu’on est quand même à mille lieues de K-On.

Donc arrêtez de troller comme des crétins dans l’espoir de vous coire plus intéressants. Un trolleur professionnel, j’en connais un dans la vraie vie, et y’a des jours où c’est fatiguant de l’entendre troller tout ce qui bouge.

sora10.jpg