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Mon bilan animé 2022

Après un bilan JV fait la semaine dernière, on va passer à ce que j’ai maté en 2022 en animé.

Comme je l’avais déjà expliqué y’a un moment, j’y trouve de moins en moins mon compte en terme d’animation japonaise. La majorité des productions ne m’intéressent pas, mais ça ne veut pas dire que je ne trouve pas des choses que j’aime. C’est juste que j’ai ralenti ma consommation et je suis beaucoup plus selectif sur ce que je regarde. Des animés que j’aurais autrefois vu et apprécié, aujourd’hui c’est juste plus possible.

Y’a-t-il un vrai essouflement du média ou bien est-ce juste moi qui devient le vieux con aigri que je me suis toujorus refusé à devenir ? J’ai l’impression qu’on est noyés sous les isekai, les suites, et les adaptations de light novels sans grand intêret. Le pire sur les adaptations de LN c’est qu’au moment où ça a commencé à arriver en animé, j’étais là à applaudir des deux mains car je trouvais ça mieux écrit que les séries habituelles. Ah là là, quel naïf j’ai été. Le niveau d’écriture de beaucoup de LN est très… léger, c’est le cas de le dire et parfois je me demande comment certains ont réussi à trouver le financement pour sortir en animé. Genre, « Dans un autre monde avec mon smartphone » qui doit être le pire exemple du monde (ou presque)

Bref, tout ça pour dire que je me sens de moins en moins la cible de ce qui sort aujourd’hui MAIS que je trouve encore des choses qui me plaisent mine de rien. Tout n’est pas perdu mais je suis un peu pessimiste sur l’avenir de l’industrie. Moins qu’avec le JV en tous cas.

Allez, c’est parti !

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La blasitude de l’animation japonaise m’envahit et je n’aime pas ça

Je vous ai bien clickbait en vrai parce que je ne vais pas parler que d’animation japonaise, mais en grande partie oui.

C’est quelque chose qui me taraude depuis facilement 2 ans : je mate de moins en moins d’animés, et j’ai de plus en plus de mal à me plonger dans certains jeux. Cela n’a donc pas grand chose à voir avec le covid mais c’est quelque chose qui s’est insidueusement infiltré dans mon esprit, et il y a eu deux éléments déclencheurs qui m’ont fait réalisé que j’avais de plus en plus de mal avec l’animation japonaise : les prix Minorin.

Avant tout j’aimerais remercier Amo qui se décarcasse chaque année pour les organiser et qui rentre manuellement les résultats des bulletins relativement libres qu’on lui envoie, et ça doit être long et chiant. Et puis y’ ala cérémonie et tout ça, bref je suis admiratif devant tant d’énergie et de dévotion, et j’espère que ça va continuer encore un moment.

Mais voilà, en remplissant mon petit bulletin cette année, je me suis rendu compte que j’avais vu, au maximum, 5 à 6 animés en 2020. Vous l’aurez sûrement remarqué aussi sur ce blog mais mes billets « Animés de saison » ont disparu des écrans radar. Je regarde tellement peu d’animés de façon assidue chaque saison qu’il ne me paraîssait plus pertinent de faire ces billets. Alors qu’avant, je me permettais de tester des séries à droite à gauche. Plus maintenant. Du coup, mes poulains de cette année sont peu nombreux et peu variés, mais comme l’a si bien dit Amo, tous les votes comptent, donc je me suis résolu à lui envoyer mon vote.

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Pègre, trafics et gunfight

Je cherchais une idée quant à participer à ce quartier libre et après m’être perdu un certain temps sur des élucubrations aussi étranges qu’incompréhensibles sur ma propension à toujours vouloir tanker dans tous les types de jeu où c’est possible, j’en ai conclu que je ferais aussi bien de passer à autre chose plutôt que trop raconter ma vie…et donc même si vous n’êtes pas encore à l’abri d’un résurrection spontanée de mon article sur la passion du tanking (il est toujours ouvert sur mon pc pour le moment) je vais plutôt parler de mes trois animes favoris se déroulant dans le milieu du crime.

En effet si nombreux sont les animes suivant les forces de l’ordre dans leurs missions, et encore plus nombreux ceux qui suivent des redresseurs de torts au comportement héroïque…il existe aussi un grand nombre de titres mettant en position de personnage principaux truands, assassins, trafiquants et autres désaxés. Certains titres cherchent à justifier leurs actes, d’autres à les rendre sympathiques et d’autres non, nous montrant seulement froideur et cruauté.

Commençons par le plus connu des trois titres dont je voulais parler, il s’agit de Black Lagoon : l’adaptation par Madhouse du manga de Rei Hiroe. Black Lagoon c’est l’histoire de Rokuro Okajima alias Rock, salaryman japonais que les circonstances vont faire basculer dans le monde du crime sans que rien ne l’y prédispose. Manipulé par son entreprise où il mène une existence des plus fades et classiques, il se retrouve prix en otage par une bande de mercenaire pirate en plein mer d’Asie du Sud-Est. Les mercenaires veulent lui subtiliser les données sensibles qu’il transporte et il finit par comprendre lors de sa libération qu’il n’a servi que de pion à ses employeurs dans une transaction.

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