Disgaea 3 : Absence of Justice
Rien qu’avec le titre, pas de doute, nous sommes bien en face d’un Disgaea.
Cela faisait longtemps qu’il me donnait envie ce jeu, mais je n’avais pas encore de PS3. Maintenant que c’est réglé et que je vais pouvoir profiter de ma waifu en Blu-Ray, j’en ai profité pour prendre quelques jeux: Valkyria Chronicles, Little Big Planet, Uncharted 2, et Metal Gear Solid 4. Après avoir bouclé Uncharted 2 (un putain de bon jeu soit dit en passant), je me suis mis à Disgaea 3, et ce n’est qu’après une 60aine d’heures de jeu que j’ai pu en voir la fin. Enfin, c’est vite dit: Disgaea 3 vous rappellera qu’à la fin du jeu, l’aventure ne fait que commencer…
Le premier truc qui choque en lançant le jeu c’est que bien que l’interface soit fine et claire, les sprites eux, sont pixellisés ou flous (au choix dans les options). Ca refroidit un peu quand on sait qu’on est quand même sur une console moderne.
Cependant, passé ce premier contact un peu déconcertant, on est vite happés par l’histoire de ce Disgaea 3 qui prend place à l’Académie du Mal. Et le Mal, vous allez en faire. Plein.
Notre… héros, enfin presque, c’est Mao. Fils de l’Overlord local qui dirige ce Netherworld (car dans les Disgaea il existe une infinité de Netherworlds), il va pêter un câble lorsque son père écrasera ses consoles de jeu, réduisant à néant plus de 4 millions d’heures de RPG de Mao. Ce dernier, furieux, décide de vaincre son père en représailles. Pour cela, il a besoin de devenir un Héros, car seuls les Héros peuvent vaincre un Overlord. Problème: Mao est un étudiant d’honneur à l’Académie du Mal, car il n’est jamais allé en cours de toute sa vie. Face à lui, de nombreux dangers se dresseront, comme les frères Vato, ou bien Raspberyl, sa rivale de toujours qui avec Kyoko et Asuka ses deux comparses sont les "rebelles" du coin. Des délinquantes en herbe, puisqu’elles vont en cours, font leurs devoirs, et font même du bénévolat ou donnent leur sang! Je ne vous en dis pas plus, ce qu’elles sont prêtes à faire au nom de l’amour et la justice, c’est tout bonnement affreux.
Mao va également croiser la route de Almaz, un apprenti héros armé seulement de son courage qui souhaite protéger sa princesse en vainquant l’Overlord qui aime bien enlever les princesses, c’est bien connu. Princesse qui d’ailleurs rejoindra aussi notre petit groupe par la suite, parce qu’elle préfère venir buter l’Overlord que d’attendre sagement de se faire enlever.
Comparé à Disgaea 2, un réel boulot a été fait au niveau des personnages qui sont tous plus attachants les uns que les autres même s’il manque, à mon goût, une sorte de héros / anti-héros à combattre comme ce fut le cas de Gordon dans Disgaea 1 ou des Prism Rangers et de Axel le Dark Hero dans Disgaea 2. Sans trop spoiler, je regrette également certains aller-retour dans des mondes sans réel intêret autre que de recycler des maps. L’histoire est quant à elle au dessus de Disgaea 2 mais en dessous du premier épisode de la série. Mao est plutôt sympathique à manier et même s’il n’a pas la classe de Laharl, Raspberyl, Champloo-sensei le prof de cuisine GAR et/ou Almaz sont là pour lui donner la réplique.
Mais passons au gameplay à proprement dit.
Pour ceux qui n’auraient jamais touché un Disgaea de leur vie, je rappelle brièvement le principe: c’est un Tactical RPG. Vous déplacez des unités que vous bichonnez sur le terrain de jeu, et vous lancez des attaques spéciales ou normales sur les ennemis, et tout ça au tour par tour (vous, puis l’ennemi, puis vous, etc.)
Il y a de nombreux paramètres à prendre en compte mais les maps de tutorial sont assez bien faites. Problème: les mécanismes les plus avancés (ceux spécifiques à cet épisode, quoi) sont parfois mal expliqués, voir pas du tout. Néanmoins, il faut garder à l’esprit que la découverte fait partie intégrante du plaisir de jeu.
Ainsi, il vous faudra toujours une arme (selon la classe du personnage) et jusqu’à 3 armures / accessoires qui montent telle ou telle stat. A noter que la maitrise des armes ne progresse plus prévèment et que les coups spéciaux et magies progressent différement.
Les Geo sont évidemment toujours de la partie, cette fois sous forme de cubes qui peuvent s’empiler, mais toujours se détruire. Par contre on ne peut plus les soulever s’ils sont collés à un autre cube, ce qui occasionnera quelques casses têtes amusants. Un GeoCube colorie ainsi la case sur laquelle il se trouve et lui confère un bonus, à elle et toutes les cases de la mêem couleur. Les effets sont variés et peuvent être bénéfiques, ou pas (ce qui est plus souvent le cas… à vous de rendre ces effets bénéfiques ou de les neutraliser.) Certaines maps révèlent ainsi plus du puzzle game que du tactical RPG, n’en déplaise à certains.
Les coups spéciaux peuvent s’apprendre de deux façons: certains se révèlent selon le niveau du personnage ou de certains autres coups pré-requis (qui augmentent plus on les utilise) et d’autres coups ou magies doivent s’acheter avec la Mana. La Mana est en fait une sorte de Skill Point qui s’obtient en tuant un ennemi. En tuant un ennemi à plusieurs on a ainsi plus de Mana pour tout le monde mais cela élimine de facto les prètres et fera de leur progression un calvaire. (fort heureusement faire du heal fait maintenant monter la barre d’XP, mais moins vite que les autres…). Ces améliorations de pouvoirs et sorts ne font que faire progresser très faiblement le pouvoir en question.
Car la Mana peut être aussi utilisée pour améliorer les compétences: augmentation de portée, de zone d’effet, et de puissance (ce qui se soldera par une consommation accrue en MP). On peut aussi activer des compétences passives comme des vaccins contre des altérations d’état ou des effets amusants, comme une forte résistance au feu ou des soins améliorés, ou encore une immunité aux dégâts venant d’alliés.
Enfin, la Mana peut être dépensée en Permanence. La Permanence c’est la Dark Assembly des épisodes précédents: vous avez des sujets d’étude à faire passer, la création de nouveaux clubs (on y reviendra) et d’autres demandes amusantes? Il suffit de s’arranger pour obtenir la majorité, par la persuasion ou les pots de vin, ou par la force, et roulez jeunesse.
Jusqu’ici rien de bien surprenant pour peu que vous soyez un habitué de Disgaea. Les autres prendront le trian en route sans problème.
Une des nouveautés de ce volet reste néanmoins le plan de classe:
Après tout, nous sommes dans une école, et donc il vous faudra arranger votre classe (ou groupe) de la meilleure façon qui soit, par exemple en mettant les copains ensemble afin qu’ils aient plus d’affinités entre eux pendant les combats. C’est ici aussi que vous déciderez de qui va à quel club: les clubs sont des groupes qui peuvent acceuillir 5 ou 6 personnages et qui leur confèrent des aptitudes spéciales. Ainsi il y a le groupe des cancres qui donne 25% d’XP en plus à ceux qui se mettent dans un coin de la classe, le groupe des punk qui donne plus de sous à ceux qui sont dans le fond de la classe, ou d’autres qui vont permettre d’utiliser le monde des classes…
Le monde des classes fonctionne de la même façon que l’Item World déjà bien connu des fans de Disgaea. Dans l’Item World, on "rentre" dans un objet afin de l’améliorer en progressant dans des maps générées aléatoirement et à la difficulté variée (les ennemis eux progressent selon votre profondeur dans les donjons de l’item world). On peut ainsi tomber sur des salles spéciales permettant de débloquer des tas de choses, vous soigner ou vous ravitailler. En général l’item world est un excellent moyen de faire progresser vos personnages, et plus l’objet choisi est rare et puissant, plus l’item world sera difficile.
Le monde des classes, c’est un peu le même principe sauf que l’on rentre dans l’un de nos personnages pour booster l’une de ses aptitudes: déplacement, HP ou MP max, etc. Il y a quelques différences à noter mais en gros ça marche tout comme l’Item World.
Comme je le disais au début, Disgaea commence vraiment une fois l’aventure terminée puisque le jeu vous proposera d’entamer un autre cycle ou de continuer dans celui où vous êtes déjà. Recommencer un cycle vous permet de garder vos personnages, équipements, objets et argent tout en refaisant le jeu (qui peut se boucler en 2 heures quand vos personnages seront assez puissants pour one-shot tous les ennemis des maps.) Certaines maps sont aussi propices à du Level Up intensif comme celle des mangeurs de cadavres où les ennemis peuvent rester immobilisés sur des cases "One hit" qui les tue instantanément au premier coup. Ainsi, même votre perso le plus faiblard peut prendre 30 niveaux en un seul coup.
Au final, on a un système de jeu assez complexe à prendre en main, même si pour terminer l’histoire, vous n’aurez en général pas à faire de level up. J’ai tenté de torcher l’histoire pour la rendre plus difficile sans utiliser l’item world, mais même sans le jeu a été plutôt simple dans l’ensemble avec juste deux ou trois cartes récalcitrantes. Je sais, je ressors des phrases de mon test de Disgaea 2 mais le constat est pourtant là: le jeu, ou tout du moins l’histoire n’est pas faite pour être difficile. Elle est faite comme une introduction pour les maps les plus difficiles qui viennent après.
Le jeu propose ainsi de refaire des cycles mais aussi de maximiser ses personnages jusqu’au level 9999 (histoire de se la pêter en societé.) 4 chapitres dédiés à Raspberyl sont aussi disponibles sur le Playstation Store, pour 12 euros le pack. Ils ne sont néanmoins pas traduits en français mais resteront en anglais. Si vous êtes adeptes de certians personnages des précédents Disgaea, ils sont disponibles également sur le PSN pour être utilisés dans votre équipe lors de votre second cycle.
Disgaea 3 est une gentille évolution des précédents volets, en ajoutant des modes de jeu et en complexifiant un peu plus chaque fois le système. Ca ne le rend pas indigeste pour autant aux nouveaux venus mais ça leur demandera un poil d’apprentissage pour en tirer tous les bénéfices. Pour ceux qui voudraient cependant découvrir les débuts de la série, je rappelle qu’elle est dispo sur DS et sur PSP dans des versions aménagées à chaque plateforme. Disgaea 1 n’est pas non plus à négliger même s’il a moins d’options de gameplay que ses successeurs, et je vous le recommande chaudement, ne serait-ce qu’à cause du trio Laharl-Etna-Flonne qui est absolument hilarant.
Allez, cuisinez ce jeu avec amour, et il vous le rendra avec sa saveur onctueuse et ses pépites de chocolat planquées au fond du plat. Boum!
Soranowoto
Au départ, et au vu des différents billets (quand ce n’est pas un tissu de bétises) déjà parus sur la blogosphère otaku francophone, je voulais parler de Soranowoto sans évoquer K-On a un seul moment dans mon texte. Cependant, comme vous pouvez le voir, j’ai déjà échoué.
Honnêtement, a part quelques similitudes amusantes, je ne vois absolument pas en quoi Sora no woto, ou Soranowoto, ou So-ra-no-wo-to, bref, est une resucée de K-On chez les militaires. Il suffit d’ouvrir ses yeux et ses oreilles et de voir plus loin que la propagande de ce torchon qu’est Sankaku Complex pour se forger une opinion sur ce nouvel anime issu du studio A-1 Pictures, responsable entre autres de Kannagi ou Valkyria Chronicles pour ne citer que ces deux là.
Mais avant tout cela, un peu d’histoire.
Kanata (oui, comme le prénom de la mère de Konata dans Lucky Star) est une nouvelle recrue et se voit envoyée dans un coin perdu: Seize. En fait, c’est pas si perdu que ça puisque c’est une ville-forteresse à la frontière d’un autre pays avec lequel un armistice a été récemment signé. Notre héroine découvre alors la petite ville et son histoire, ainsi que là où elle sera affectée: en compagnie de quatre autres jeunes filles et femmes dans un vieux bâtiment qui ne sera pas sans rappeler Old Home de Haibane Renmei, comme l’a si bien remarqué Iznogoud dans l’article de FFenril.
Notre héroine pleine d’enthousiasme et visiblement nouvelle de chez nouvelle, va découvrir les joies de la vie militaire (ou pas) et de ses amies fraichement rencontrées qui vont l’acceuillir. On y découvrira notamment un iTank (comme aime l’appeler Gemini) aux pattes cassées mais qui fait la fierté du petit groupe qui semble laissé à l’abandon par leur hiérarchie.
A première vue, toutes les bases sont là pour une banale histoire tranche de vie. Mis à part le charadesign, l’anime n’est pas excessivement tourné vers le moeblobisme comme certains aiment critiquer. Cependant, si l’on creuse un peu et que l’on se penche sur le background de Soranowoto, on s’aperçoit qu’il y a des choses étranges ici et là et qu’un semblant d’histoire se profile, à défaut d’une intrigue réelle et prenante.
Entre les flashbacks de Rio et Kanata, le contexte d’armistice avec le pays voisin et la situation historique encore un peu difficile à placer (on se croirait au début du siècle dernier dans une ville d’Europe), on est en droit de se poser des tas de questions sur le pourquoi du comment. D’autres petites choses attiseront la curiosité du téléspectateur: les textes en vrai français sur les papiers, l’insert song du premier épisode elle aussi en français, le fossé entre l’atmosphère assez vieillote avec les téléphones à cadrans et l’iTank cité plus haut… Tout ça fait qu’on aimerait en savoir plus. Le problème, c’est que comme pour Kannagi, j’ai personellement un peu peur que l’on obtienne pas toutes les réponses que l’on souhaite. ON attend d’ailleurs toujours une seconde saison à Kannagi, soit dit en passant, parce que pour le moment il y a de quoi rester sur sa faim.
Et que dire des paysages magnifiques et de cette ambiance faite d’isolement et de calme, presque de nostalgie ? Dés les premières secondes de l’opening, une chose est sûre, Soranowoto envoûte, tout d’abord avec sa chanson mais aussi avec ses images. L’opening du premier épisode est en fait le début de l’histoire, où l’on suit le train de Kanata se diriger vers Seize, et où ses futures amies tirent au sort qui ira la chercher. Qu’on le veuille où non, c’est original. Personellement je me le passe en boucle depuis quelques jours.Hé oui, d’ailleurs, le CD single est déjà sorti!
Sans casser trois pattes à un canard, Soranowoto attire par ses qualités techniques indéniables et son ambiance originale. J’espère simplement que la tranche de vie actuelle saura continuer de subtilement distiller des bribes d’histoire et de background.
Pour terminer, j’aimerais rappeler à tous les détracteurs de Soranowoto qui ne voient qu’en cet anime qu’une pâle copie de K-On parce qu’il y a pratiquement que des filles, qu’elles font de la musique (deux sur cinq jusqu’ici, woaaaaah.) que l’an dernier, ils ne voyaient en K-On qu’une pâle copie de Lucky Star. Soranowoto n’en demandait pas tant, et son rapport avec K-On doit être au moins aussi subtil et fin que celui de K-On avec Lucky Star. En clair, il n’y en a pratiquement pas, et ceux qui clamaient que K-On == Lucky Star sont passés pour des cons. Ouvrez les yeux les mecs, troller sur votre blog / site / forum vous apportera peut-être des visites supplémentaires afin de faire grandir votre e-penis, mais vous fera perdre toute crédibilité auprès de vos pairs, soyez-en sûrs. N’importe qui ayant vu le premier épisode pourra vous dire avec objectivité qu’on est quand même à mille lieues de K-On.
Donc arrêtez de troller comme des crétins dans l’espoir de vous coire plus intéressants. Un trolleur professionnel, j’en connais un dans la vraie vie, et y’a des jours où c’est fatiguant de l’entendre troller tout ce qui bouge.
Grand Tournoi des Seifuku – 8èmes de finale – Round 2
Cette fois, c’est le maître des lieux qui s’y colle, autrement dit moi-même, Axel. Pas de double maléfique, je l’ai enfermé au plus profond de mon coeur, avec mon faux titre de Héros.
La semaine passée a été l’occasion de commencer les 8èmes de finale du tournoi. Dés maintenant tout va aller très vite, puisqu’il ne reste plus beaucoup de matches, déjà.
Voici les résultats de la semaine précédente:
Match 1 :
- Shuffle à 72.15 % avec 285 voix
- Nogizaka Haruka no Himitsu à 27.85 % avec 110 voix
Nombre de votes : 394
Match 2 :
- Ef à 47.09 % avec 186 voix
- Nanoha à 41.77 % avec 165 voix
- Happiness à 11.14 % avec 44 voix
Nombre de votes : 394
Que dire? On commence à réellement voir les premiers uniformes se démarquer, et comme prévu au tout début du tournoi lorsque nous préparions les listes de participants potentiels avec euh… hmmm, j’ai oublié son nom, bref, c’est pas important… Comme je disais, au début du tournoi, on pensait que les uniformes tirés de visual novels et/ou H-games allaient sortir leur épingle du jeu. Ca n’a pas loupé, Shuffle et Ef se sont déjà taillés une part du lion, même si Nanoha a mené la vie due à Ef. Ce qui est sûr c’est que le 50%/50% de la dernière fois avec Happiness n’a pas joué en la faveur de l’uniforme blanc Nanoha, à mon avis. Moi, essayer de monter les fans de l’uniforme de Nanoha contre ceux de l’uniforme d’Happiness? Nooooon…
Allez, passons à la suite des évènements!
Strawberry Panic vs Kannagi
Strawberry Panic est sans conteste un challenger de choix face à l’uniforme plus simpliste de Kannagi. Le truc c’est que l’uniforme de Kannagi propose une liberté de mouvement plus importante que ceux de Strawberry Panic, et doivent être également plus simples à enlever. Comme quoi, chacun devrait trouver midi à sa porte. Certains préféreront le côté pratique et les autres le côté plus élégant. C’est un peu le yin et le yang de ce tournoi ! Pour moi, ça sera très probablement Strawberry Panic. Les jupes longues tout ça, c’est mon truc.
Et en face, nous avons…
Persona 3 vs Toradora
Quoi? Deux images pour Persona 3? Mais que fait la polie? Ah, on me signale que c’est parce que l’uniforme propose des versiosn customisées (image du bas)… Cela va-t-il jouer en sa faveur ?
En face, Toradora associe la classe et l’élégance d’un blazer et d’une jupe avec des couleurs qui vont bien ensemble. Au final, celui de Toradora gagnera mon vote, à cause de ses couleurs qui vont bien ensemble. Est-ce que ça a quelque chose à voir avec le fait qu’il soit similaire à celui de K-On? Non, aucun rapport. C’est vraiment parce que je suis totalement subjectif.
Votez bien!
Chu-bra! (pas super Safe For Work, vous êtes prévenus.)
Ah, les nouvelles saisons d’anime. On y découvre des tas de séries qu’on ne regardera probablement jamais, et parmi elles, quelques unes dont ne serait-ce que le premier épisode vaut le coup d’oeil, histoire de vous rappeler que vous n’avez pas tout vu malgré toutes ces années de visionnage intensif. Kanokon, Queen’s Blade ou encore Kiss x Sis font partie de cette catégorie. Oh bien sûr je pourrais aussi parler d’animes bien plus respectables comme Haruhi, Ghost in The Shell SAC, Clannad, Code Geass, Gurren Lagann, Higurashi, Lucky Star et je vous épargnerai le reste de cette liste, toujours est-il que Chu-Bra! fait partie de ces séries au concept totalement abusé et loufoque.
Pour vous démontrer que l’année 2010 commence fort et bien, je vais vous lâcher le screenshot qui tue en brisant l’une des régles de bienséance du bloggueur anime: ne pas faire de captures d’écran d’un fansub.
Mais il le fallait, vous comprenez? Il le fallait!
EDIT: En fait Mplayer Classic Homecinema THX Dobly Surround Digital 2.0 ne prend pas les subs quand il fait des screens. Il faut donc lire à ce moment de l’épisode "C’est serré! Ca fait mal!" Oui, les seins se plaignent de la petitesse de certains soutien-gorge.
Passé ce choc initial, je vais vous exposer ce que j’ai retenu du premier épisode après visionnage: c’est la rentrée des classes et Hayama Nayu se fait grave remarquer en se pêtant la gueule devant tout le monde à la cérémonie de rentrée, ce qui a pour effet d’exposer à tout le monde ses dessous pour le moins sexy et adultes.
Choc, effroi parmi les élèves qui se demandent bien quel genre de fille peut porter de tels sous-vêtements. S’en suit des rumeurs sans fondement où Nayu est accusée de se prostituer ou de faire des choses pas trés légales. Deux filles curieuses vont ainsi tenter d’obtenir des preuves à se sujet mais vont finir par se lier d’amitié avec la jeune fille lorsqu’elle les sauvera… d’une chute dans l’escalier.
Nayu se révèle en fait être une dingue des sous-vêtements féminins. Elle les collectionne, les teste même pour quelqu’un, donne des conseils avisés sur les culottes et les soutien-gorges portés par ses petites camarades et on sent bien qu’elle est à fond dedans et experte sur le sujet.
Chu-bra! est donc une sorte d’hymne à la lingerie, avec des tas d’exemples pour les amateurs de pantsu et de bra en tous genres. Résolument tourné vers la comédie avec cette haute dose de ecchi dedans histoire que ça croustille bien, Chu-Bra ne vole pas bien haut mais pourrait se révèler amusant selon la tournure que prendra la série. D’une qualité somme toute moyenne, la série me pose un seul véritable problème, c’est quand même son chara design, très enfantin qui fait tâche avec le contenu de la série. Ca se veut comédie légère avec sa dose de SD en tous genre mais c’est affreusement ecchi. Au bout du premier épisode on s’y fait fort heureusement, mais dés l’introduction pré-générique, ça choque quand même pas mal.
Bref, je vais plutôt attendre la suite de Sora no Woto, bien plus prometteur déjà.
MaOTD #424
Voici deux meido chat-oyantes puisque venant directement de l’anime Nyan Koi, sur lequel j’étais sensé écrire un billet, avant de me raviser devant le résultat moyen de l’anime. Pourtant y’avait du potentiel hein. Du coup ,ce pack de deux meido est à prix cassé juste avant les soldes qui commenceront mercredi: 6 000 Maid Points les deux!







































