Catégorie :Anime

Elfen Lied

Oui bon, c’est pas tout jeune comme série, mais il faut bien des moments pour rattraper ce qu’on a pas vu, hein?

En l’occurence, Elfen Lied n’a d’elfique que le nom (et les oreilles bizarres mais pas elfique) des principales protagonistes.

Pour résumer l’histoire, disons que notre héros, un garçon tout plein de bonne volonté emmenage avec sa copine dans une vieille baraque qu’ils vont retaper. Seulement voilà, en allant sur la plage, ils tombent sur une jeune fille nue qui se comporte assez bizarrement. Disons qu’elle a l’air d’avoir 2 de QI ou pas très eveillée aux subtilités de la vie. Une blonde, somme toute.

Et là, c’est le drame, car il s’avère que leur protégée, Nyu (parce qu’elle arrête pas de dire Nyu, c’est logique non? En même temps ça fait animal domestique.) est en fait une arme de destruction massive (beeeeeen voyons…) qui peut vous réduire en charpie en 1/4 de seconde.

Elle est bien entendu recherchée et tout, ce qui va occasionner quelques problèmes à nos héros.

Ca c’est pour l’intrigue, après la série fait relativement dans le classique: longs flashbacks, enfance douloureuse des protagonistes, lutte pour le pouvoir au sein du labo de recherche…

Qu’est-ce qui fait de Elfen Lied une série unique en son genre? Ca tient en deux mots.

– Du sang

– Et du sexe.

Enfin pour le sexe, façon de parler. On dira plutôt que c’est très ecchi, avec beaucoup, beaucoup de nus, sans honte aucune. C’est même pas dérangeant en fait, c’est juste relativement étrange quand la fille totalement nue ne bouge pas d’un cil et tranche en deux un type en face d’elle dans une explosion d’hémoglobine sensée rappeler les meilleurs moments de Berserk.

Et oui, car du sang il y en a, et beaucoup. Ca en devient d’ailleurs presqu’indigeste tellement la violence dans Elfen Lied est totalement graphique et abondante. On voit les membres découpés, les mares de sang s’afficher sans aucun tabou.

Le pire dans tout ça, c’est que le héros, Kouta, ne voit même pas que Nyu est capable de tuer ainsi avant le dernier épisode, il le fait vraiment exprès 🙂

Je vous passerai également les thèmes beaucoup plus sérieux tels que la pédophilie ou l’inceste, dont fut victime l’une des protagonistes. Elfen Lied est vraiment un monde pourri et sensé être réaliste, sauf que dans la réalité, les filles avec des cornes qui tabassent un squad entier de troupes d’élite, ça n’existe pas.

Bref, vous l’aurez compris, la série ne m’a pas plus branché que ça, même si la fin était toute mignonne mais triste (tout mignon avec plein de sang partout? Oui c’est presque possible.)

Si en plus on ajoute à ça des fansubs totalement pourris qui m’ont même fait pousser un coup de gueule, ça n’a pas aidé à prendre la série au sérieux on va dire.

Toshiue no Hito

Attention série ecchi.

Elle a donc toute sa place dans ce blog! 😀

Grands mercis à Corsaire du channel -chan (IRCNet) qui m’a conseillé de commencer ce manga, qui devait me plaire. En tous cas il a bien deviné, et on peut vraiment dire que j’ai été scotché par les 4 premiers chapitres.

L’histoire: Le héros (au nom que j’ai déjà oublié) semble faire des rêves étranges de temps en temps, des rêves où il voit une jeune fille dans la grande maison qu’il visitait dans son enfance. Cette jeune fille, très belle, était toujours en kimono, et ça l’a apparement traumatisé, si bien que depuis, il est impuissant…

Or voilà, à son université (le type doit bien avoir 20 ans maintenant) on lui présente une nouvelle élève, qui a décidé de revenir à ses études à 25 ans… Ageha. Cette jeune fille ressemble alors trait pour trait à la fille de son rêve, et ça le trouble le type.

Bon seulement la fille a un léger problème… elle ne grandit plus depuis son adolescence, et comme vous le voyez, malgré ses 25 ans, elle en fait facile 15, voire moins!

Et là j’entends déjà les affreux pousser des cris scandaleux « Lolicon! », je ne dirais qu’une chose, vos gueules 😀

Ageha semble entourée d’un mystère assez profond. Elle vit seule (à 25 ans vous me direz c’est normal) elle parle très peu de son passé (on sait juste pour le moment qu’elle a fui une relation qui s’est mal terminée) et surtout, elle est très coquine… et bizarrement, elle est la seule à pouvoir faire « réagir » la libido du héros, si vous voyez ce que je veux dire, ce qui n’arrange en rien les affaires du héros qui voulait sortir avec une autre de ses camarades de classe (qui elle n’a pas eu droit au chapiteau quand ils ont voulu passer à l’acte… la honte quoi :))

En plus, Ageha étant une femme de 25 ans, elle s’y connait, elle aime bien aguicher aussi, et on sent qu’elle souffre aussi de quelque chose, mais après seulement 3-4 chapitres, difficile d’en dire plus!

En tous cas, c’est assez intéressant tout ce mystère qui entoure Ageha, on se demande où ça va mener le manga. Et puis les passages ecchi, très prononcés, ne manqueront pas de titiller le bas ventre.

Je m’attaquerai à Koi Kaze ensuite, encore une histoire incestueuse, parait-il, j’ai hâte de voir ça…

Après les fraises, les cerises.

Quoi, comment ça je parle trop d’Ichigo 100%? Ca se voit que je suis complètement accro? (C’est assez facile de trouver mes différents posts sur le sujet ici, et je ne vais pas les repêter à chaque fois.)

Bien sûr, je ne vais pas trop spoiler, mais sachez tout de même que les ennuis de Manaka continuent encore et encore, même après 15 volumes, si bien même qu’ne nouvelle fille luiu court après. Kozue-chan, qui pourtant a une peur bleue du sexe masculin (mais qui ne l’empêche pas de fantasmer des trucs ecchis 100% du temps) va tomber amoureuse de lui contre toute attente (enfin bon elle est bien aidée par le scénario tout de même)

Mes pensées dans tout ça?

Ben après 15 volumes l’histoire avance plutôt bien par rapport à la concurrence: les personnages grandissent, evoluent, et il y a vraiment peu de chapitres sujets à remplissage. Chaque moment est bien calculé, et le temps s’écoule…

Ce qui est surprenant, c’est tout de même les relations entre les personnages (attention là ça va spoiler, vous êtes prévenus… MAINTENANT!), Satsuki qui tente de jouer la carte de l’amitié en voyant qu’elle n’a pas gagné le coeur de Manaka, Aya qui se pose des questions et qui réalise qu’elle en pince pour Manaka, et Nishino qui décidément hésite b ien entre aller étudier la confection de gâteaux en France et Manaka. C’est qu’il en a du bol lui, non?

La réalisation des protagonistes est vraiment bien foutue, car ils se comportent de façon assez humaine; On ne tombe pas dans la miévrie romantique, les bulles roses partout et les roses rouges. Ici c’est vraiment des jeunes d’aujourd’hui qui sont dans une situation où ils ne sont pas sûrs. C’est surtout que Manaka pour une fois est assez aimable comme personnage: on peut s’identifier à lui, car on peut aisément comprendre son choix difficile, contrairement aux autres héros du genre où on sait éperdument que l’héroine leur est destinée, on attend juste de voir comment ça va se passer. Dans Ichigo 100%, a priori toutes les héroines partent à pied d’égalité, même si certaines sont plus égales que d’autres…

Mais il suffit avec les comparaisons! Ceci dit, c’est ce qui donne tout son charme à Ichigo 100%: son originalité derrière ses airs de série harem où le héros est entouré de jeunes filles qui n’aiment que lui. Ses personnages réagissent de façon sensée et ne voient pas en l’amour juste une pulsion sentimentale et romantique: c’est aussi partager un rêve avec quelqu’un (Aya) se sentir confortable avec une personne et pouvoir parler de tout (Satsuki), vouloiir protéger quelqu’un et lui apprendre des choses, partager ses connaissances et initier l’être cher (Kozue) ou encore euh… hmmm ben honnètement pour Tsukasa Nishino, je ne vois pas, mais à vrai dire, c’est certainement le perso que j’aime le moins. Elle est trop imprévisible, trop volatile, pour être une bonne partenaire pour Manaka…

Et pourtant, le pire, c’est qu’elle a sûrement le plus de chances que les autres de faire de Manaka son petit ami. Pourquoi? Très bonne question. Sûrement parce que c’est elle qui va s’en aller en premier (en France) et il voudra la retenir car il réalisera que sans elle rien ne sera comme avant (alors que dans le chapitre où Satsuki risque de changer d’école, ça secoue Manaka mais… il aurait réagit différement avec Tsukasa.

Bon, assez parlé, demain c’est l’Epitanime 2005, rude journée en perspective 🙂

Ai ga tomaranai! (A.I. Non Stop)

Derrière ce jeu de mots à deux brouzoufs de la part de Ken Akamatsu (auteur de Love Hina, Negima, entre autres) se cache l’un de ces premiers mangas publics.

Alors si vous le lisez en ce moment chez Pika, vous remarquerez que le dessin est très vieillot et n’a rien d’extraordinaire (il est parfois même très fouilli, genre Ah My Goddess à ces débuts)

L’histoire? C’est celle de Hitoshi, un étudiant en informatique célibataire (ça coule de source) qui programme une IA (Intelligence Artificielle) dans son PC chez lui avec les moyens du bord. Un orage frappe alors sa maison, puis son PC, et voilà que l’IA qu’il a crée, Satie, prend forme humaine et sort de l’écran de l’ordinateur. En fait elle s’appelle Thirty pour 30, et non pas Satie (Satie-Thirty vous me suivez?), puis Fortie, puis Tweeny, un peu à la manière d’Ah My Goddess (décidément!)

En fait, tout comme dans Love Hina, on retrouve le thème du Harem (harem harem, une fille qui tousse) propre aux mangas d’Akamatsu: un gars, presque seul, au milieu de plein de jolies filles.

Passé ce cliché du manga, on trouve une histoire plaisante a lire. C’est juste dommage que les allusions micro-informatiques soient si vagues et si mal faites. Ca fait très ridicule par moments quand le type utilise plein de disquettes 5′ 1/4 ou même se met à parler de choses et d’autres… Oui bon c’est pour les besoins de l’histoire d’avoir un univers un peu fantastique mais tout de même…

Le pire dans tout ça c’est que c’est une pale copie d’Ah My Goddess:

– Satie = Belldandy, même caractère, même figure. – Fortie = Urd, idem. – Tweeny = Skuld (mais là enfin on sent qu’elle est bien différente)

Bref, un cruel manque d’originalité pour Akamatsu, c’est à se demander comment il a pu accoucher du très bon Love Hina après ça…

Bon ça se laisse lire, mais à réserver aux plus fervents fans du genre.

Ichigo 100% en manga – suite des réflexions

Ichigo 100% devient sans conteste l’une de mes séries préférées depuis Mahoromatic.

Non seulement je reste un inconditionnel des histoires d’amour dans le plus pur style I’s, mais l’une des raisons pour lesquelles je n’ai pas supporté I’s plus loin que les premiers volumes, est la grande idiotie du héros, la timidité étouffante de Iori, bref, le genre de comportement qu’on retrouvera dans Love Hina, où la déclaration des deux protagonistes principaux est le moteur principal de l’intrigue. L’histoire perd alors tout son sens et sa saveur une fois cette déclaration faite.

Ichigo 100% ne souffre pas de ces problèmes: les personnages font preuve de pensées censées, l’humour est présent et décalé, les gags ne sont pas recyclés, et surtout, surtout, la gent féminine sait ce qu’elle veut. Evidemment on ne peut éviter le syndrôme du héros indécis, car là on peut le comprendre. Que ce soit Aya, Tsukasa, Satsuki (ou même Yui…) le choix va être rude.

Je le dis tout de suite, Satsuki a mes faveurs pour le moment, elle a gagné un bon terrain vis à vis de Aya grâce à son honnêteté, envers Manaka et ses sentiments. Elle au moins, elle l’aime, elle le dit, elle le re-dit, sans pour autant être extravagante et ridicule. Ca la travaille tout de même, on le sent, mais on arrive à lire dans son coeur. Faut dire aussi que son personnage est 200% mon type 🙂 (vieille réminiscence d’Asuka, vous savez?)

Mais j’ai peur, j’ai peur qu’elle soit malheureuse à la fin de l’histoire car Manaka ne la choisira pas. Ca doit être l’intuition masculine qui me dit ça. Elle est ben mise en avant, trop peut-être, pour que ça soit elle qui l’emporte. Ca me rend triste aussi tiens ;_;

Je ferais bien un sondage sur le forum du AGC mais peu de monde là-bas a lu le manga, ou même encore pire, vu l’anime… Quel dommage, ils ne savent pas ce qu’ils ratent avec cette histoire 100% excellente!

Allez, on va vous titiller un peu le bas ventre:

Pretty Face – malchance?

Pretty Face est une de ces séries qu’on découvre via l’avis d’un bon ami. « Tiens ça devrait te plaire. » et c’est avec un petit peu de scepticisme blasé que je commence à lire le manga. Vous savez, avec toutes ces années de visionnage d’anime et de lecture de mangas, je pourrais penser avoir tout vu: du délire psycho-religieux en passant par la comédie légère de maids agrémenté de panty-shots, les batailles psychédéliques de robots dans l’espace ou bien les aventures fantastiques d’une sorcière impossible à vivre… Le manga et l’anime m’a préparé à tout connaître dans la vie, même les choses les plus improbables, et à faire preuve de tolérance, et pourtant, et pourtant, le manga ne cesse de me surprendre.

Cette fois-ci on a affaire à un héros bourrin, du nom de Randoh. Un peu Onizuka-esque dans son style, ce karate-ka est très fort, et surtout s’énerve facilement, mais brièvement. Il ne lui faut que quelques secondes pour balayer une quinzaine d’hommes, même armés.

Et pourtant ce jeune garçon bien portant est amoureux d’une jeune fille, une kouhai (contraire de senpai) du nom de Rina Kurimi. Rina est très timide et ne parle que très peu, elle smble distante, mais elle est aussi très mignonne. Tellement que Randoh a une photo d’elle dans son portefeuille.

Seulement voilà, un jour il prend le bus pour rentrer chez lui, et là c’est le drame.

Le bus a un grave accident de la circulation, prend feu, et Randoh est présumé mort. Cependant il se réveille bien plus tard… avec le visage de Rina!

Un docteur un peu obsédé par la chirurgie esthétique s’est arrangé pour s’occuper de lui, et comme son visage était sévèrement brulé au 3ème degré, lui en a fait un nouveau d’après la photo qu’il avait dans son portefeuille, photo de Rina…

Les ennuis ne font que commencer pour notre héros au corps d’homme mais au visage très féminin, alors qu’il tente de rentrer chez lui, et s’aperçoit que sa maison n’existe plus: ses parents, choqués par la perte de leur fils unique, ont tout simplement déménagé. Aller à leur rencontre serait pire, pense-t-il, et il commence a errer dans les rues de la ville, jusqu’à ce qu’il tombe nez à nez avec la personne qui lui resseble… Rina.

Vous me direz « Et là c’est encore le drame. » ben en fait presque. Rina lui saute dans les bras, visiblement heureuse de le trouver, et le prend pour sa propre soeur jumelle, Yuna, qui a disparue il y a un moment. Rina et Yuna étaient visiblement deux soeurs jumelles très proches, et Randoh va donc vivre sous le même toit que l’élue de son coeur, sauf qu’il ne peut rien dire, et cacher son corps va être difficile alors qu’il se met en tête de retrouver la vraie Yuna.

Bien sûr, notre héros va attirer un peu l’attention parmi les filles et garçon, vu qu’il a l’air si mignon mais qu’il agit comme un mec qui aime bien se battre…

Dans un sens on retrouve un peu l’esprit de Tenshi na Konamaiki, mais ça reste beaucop plus agréable à suivre et bien moins lent.

Le dessin est un peu brouillon, mais très expressif et bien mignon ou bien bourrin quand il le faut.

Une histoire très intéressante somme toute, et j’ai hâte d’en découvrir la suite.

L’histoire des deux vaches.

Qu’est-ce que je raconte encore? En fait c’est la traduction que je fais ici d’un post trouvé sur ce blog.

Vous ne comprenez pas? C’est pas grave, vous allez vite comprendre si vous avez vu ces séries. (au fait, si quelqu’un me sort la conjugaison du verbe traire à tous les temps ça m’arrangerait.)

D.C. style

Vous avez 2 vaches. L’une est votre soeur, l’autre votre cousine. Les deux veulent vous traire.

Kiminozo style

Vous avez 2 vaches. L’une devient comateuse après avoir été renversée par un bulldozer. Alors que vous alliez traire l’autre, la première se réveille. Vous n’arrivez pas à décider laquelle traire et la ferme entière veut vous écraser avec un bulldozer.

Air style

Vous avez la moitié d’une vache. Elle meurt. Vous devenez un corbeau pour chercher l’autre moitié.

Kannazuki no miko style

Vous avez 2 vaches. Elles s’aiment et vous lâchent pour le monde des Yurimechamiko.

Mai-HiME style

Vous avez 13 vaches. Vous commencez un battle royale bovin et alors que vous pensiez pouvoir démarrer un commerce de cuir, elles réssucitent toutes et vous prennent comme petit déjeuner. Les vaches vécurent heureuses et eurent beaucoup d’enfants.

Noir style

Vous avez 2 vaches. Elles pélent tous les boeufs et vous avez des flashbacks répétitifs de quand elles étaient petites.

Mahoromatic style

Vous avez 2 vaches. L’une adore tomber alors que l’autre pense que l’ecchi c’est mal. Les deux se costument en maids.

Onegai Twins style

Vous avez 2 vaches. L’une d’elle est supposée être votre soeur. Vous les trayez toutes les deux de toute façon.

Tsubasa Chronicle style

Vous avez 4 vaches. Vous les ramenez depuis différents champs et commencez une nouvelle ferme.

Ichigo 100% style

Vous avez 4 vaches. Elles donnent du lait à la fraise.

Last Exile

Vous avez une vache àv apeur. Des aliens veulent la kidnapper.

DearS

Une vache d’une autre ferme vous suit partout être traite.

Elfen Lied

Vous avez une vache. Elle tue des gens quand vous regardez ailleurs. Un fermier rival essaye de la capturer, mais vous vous retrouvez avec ses vaches aussi.

Futakoi

Vous avez une horde de clones. Elles veulent toutes que vous les trayez.

Gunslinger Girl

Vous avez une petite vache Italienne. Elle tue des gens pour vous rendre heureux.

I My Me! Strawberry Eggs

Vous avez un veau, habillé en vache. Il surveille les veaux et vaches.

Saishuuheiki Kanojo

Votre vache détruit la terre entière, mais laisse l’un de vos boeufs vivant.

Mahoraba Heartful Days

Vous avez une vache, mais c’est comme si vous vous occupiez d’une ferme entière.

Midori no Hibi

Votre main se transforme en vache. Elle jette vos bouquins sur comment traire une vache.

Petite réflexion sur Ichigo 100%

On m’a demandé pourquoi j’aimais autant cet anime qui pourtant a l’air on ne peux plus ‘harem’. Vous savez ce type d’anime à la Love Hina / Tenchi Muyo où le héros est entouré de jolies filles qui en pincent pour lui?

Tout simplement parce que les personnages de Ichigo 100%, en particulier les filles donc, ont toutes une personnalité assez unique et qu’on a pas vu jusqu’à présent. Chacun nous surprend:

– On aurait pu penser que Tsukasa serait une petite peste avec ses cheveux courts, il n’en est rien.

– Aya est possiblement la moins surprenante des 4, elle me fait penser un peu à Iori de I’s parfois dans son comportement.

– On aurait pu croire que Yui serait la petite timide qu’il faut protéger, en fait c’est plutôt elle qui aime protéger Junpei (et courir a moitié nue dans sa maison aussi)

– Et enfin, Satsuki… La féministe qui visiblement n’aime pas beaucoup les hommes, qui en plus e paye le luxe de bien savoir se battre (enfin tout est relatif) et qui n’hésite pas à déclarer sa flamme à Junpei alors qu’on aurait très bien vu pour ce type de personnage une fille qui se casse la tête à se dire « je lui dis pas? Quand? Comment? Ah je peux pas lui dire… » etc etc, je pense que vous voyez très bien le cliché Naru-esque.

Bref, pour moi c’est ce qui donne à cet anime ce petit souffle de fraicheur malgré quelques petits clichés (genre, je tombe, mes mains se retrouvent balladeuses… erm).

Vivement l’épisode 5, qui vient de sortir en raw aujourd’hui. Fansubbers, dépêchez bordel! 😀

Satsukiiiiiiiii (Ichigo 100% is back!)

Bon alors euh, comment dire… Cet épisode 4 était une petite tuerie dans son style, et la série devient de plus en plus intéressante avec l’apparition de la quatrième laronne, j’ai nommé Satsuki, qui elle aussi en pince pour le héros.

Décidément, y’en a qui ont bien de la chance 🙂

Ce que j’adore avec Ichigo 100%, c’est que ça fait battre mon p’tit coeur à chaque épisode, et j’avais pas ressenti ça depuis Mahoromatic… Grave quand même 🙂

En tous cas j’attends la suite avec impatience. Même si le héros est un peu con de s’accrocher à tout ce qui passe et qui a un visage sympathique… 😛

Prochain post, je vous parlerai de Guild Wars, mon nouveau tueur de temps après ROSE Online.

Sauf que là bon je l’ai acheté donc je vais y jouer un peu plus sérieusement 🙂

C’est mon maître!

Attention, encore un anime de maids (mais sinon ce blog ne s’apellerait pas Maid Land, hein? 🙂

Ah la vue de ces uniformes très… très… comment dire… aguicheurs? On pourrait se dire « mais c’est encore un anime hentai! J’en veux pas! »

Ben y’a pas de raison à ne pas essayer: certes l’anime a tout du truc super ecchi mais en fait, l’histoire elle, a tout l’air d’un truc bien dramatique.

Les deux héroines, deux soeurs, décident de fuguer et de vivre seules. Elles essayent de se trouver du travail, mais c’est difficile à leur age (13 et 14 ans). Seulement voilà, au détour d’une propriété, elles voient une annonce de recrutement de domestiques. La chance! d’après la petite soeur blondinette, toute émerveillée à l’idée de trouver un job avec un toit où vivre. Sa grande soeur elle n’est pas tout à fait de cet avis, et le montrera bien au ‘master’, un jeune garçon qui a lui perdu ses parents récemment, et vit seul, oui, tout seul dans cette immense baraque. Voilà pourquoi il recrute des maids.

Mais étant ce petit gosse de riche qu’il est, il ne manquera pas de laisser parler son orgueuil qui refusera de s’être fait mettre une taloche par une fille, qui plus est plus jeune que lui, et habillée à ce moment là en domestique (j’vais pas vous expliquer tout l’épisode non plus?)

L’humour un peu ecchi mais surtout, surtout complètement décalé à la Gainax ne manquera pas de frapper les esprits. Et pour peux que vous aimiez les délire (hamster + alligator 🙂 ) vous serez agréablement surpris par cette série. A prendre pas sérieusement du tout, en tous cas!

J’attends de voir comment ça va se développer, mais pour le moment ça me plaît assez.

Pantsu 100%

Y’a pas à dire, des lunettes et des tresses ça change tout (et les héros d’animes sont vraiment plus aveugles que moi)

Oui ce sont bien les mêmes filles, Aya Toujou!

La raw de l’épisode 3 est sortie, j’attends avec impatience la suite. Je devrais p’têt prendre un domaine du style ichigo-pantsu.com :p

Super GALS! Kotobuki Ran

Dans le genre déjanté mais sérieux, on fait difficilement mieux (pire?) que Super GALS! Ne vous laissez pas rebuter par les yeux gros comme Sailormoon et les dessins visiblement issus d’une dessinatrice blasée par la mode japonaise…

Mais en fait, c’est vraiment sympathique et les personnages sont très attachants.

L’histoire? Y’en a pas ou presque, juste trois filles qui se connaissent et qui font reigner leur suprémacie telle une petite bande à Shibuya (quartier commercial au japon). Au fur et à mesure du manga (8 volumes en france pour le moment, chez Glénat) on va découvrir peu à peu le background et la personalité de Ran (au milieu), Miyu (à gauche) et Aya (à droite).

L’une est du genre pétillante, énergétique, limite chiante (Ran), ne pense qu’à l’argent, à s’amuser et au présent, se fout totalement des études et aime ses mèches rouges.

L’autre est du genre mignonne mais peut-être dangereuse (Miyu), et surtout, surtout, super amoureuse tout plein du frère de Ran, qui est policier.

Et enfin la dernière, Aya, est une jeune fille studieuse et riche qui n’a qu’une envie: se décoincer, et pour ça, elle va être aidée par Ran et Miyu.

Mais ce petit trio joyeux et très tendance (toujours à se payer des fringues de ouf, des gateaux, des faux-ongles… Ce sont des Kogals, après tout!) va nous entrainer dans leurs aventures quotidiennes, pleines de leçons et sentiments, faisant évoluer peu à peu les persos. Surtout Aya, en fait, qui va découvrir l’amour avec un grand A.

Au final, ça reste un shoujo très adolescent, mais tellement mignon et bien dessiné (surtout très détaillé) et aux SD et aux héroines fort attachantes, qu’on ne peut s’empêcher de continuer à lire. Evidemment, il faut aimer le style 200 à l’heure de certaines histoires. C’est pas du tout enfantin, et facile à suivre. Qui plus est les volumes sont épais et longs à dévorer. C’est recommandé :p

I’m in love.

Voilà, le prochain dur de Mahoro s’appellera Aya, LA Aya Toujou de Ichigo 100%. Celle qui derrière ses traisses, ses cheveux relevés et ses lunettes est vraiment trop trop trop mega ultra kawaii de la mort qui tue.

C’est peut-être les dessins de l’anime qui font ça, mais l’épisode 2 était vraiment plaisant à regarder, et Aya est définitivement craquante. Un bon anime qui sent bon le WAFF tout plein (WAFF = Warm And Fuzzy Feeling, sentiment tout doux et tout chaud)

C’est elle à gauche 🙂 Dans l’anime elle est très studieuse, très kawaii, et amoureuse du héros (évidemment).

Ca promet en tous cas, ça faisait longtemps que j’avais pas autant été excité par un anime 🙂

Madame… non, monsieur est servi!

Vous vous souvenez sûrement de cette série de la fin des années 80, qui passait sur M6, Madame est servie (remarque ça passe peut-être toujours quelque part, j’en sais rien). Perso quand j’étais petit, j’étais totalement fan, c’était le début des sitcom à l’américaine.

Bon mais en fait on parle de manga là. En consultant les nouveautés sur le site de mangatec, je tombe sur « Monsieur est servi ». Tout de suite je me dis, houuu c’est encore un manga à faible tirage peu intéressant, d’un auteur quasi inconnu et que des milliers de jeunes mangassss-fans (notez le mangasssssssse c’est important.) vont s’arracher.

Presque personne ne connaît cette série en france, car elle est très spéciale, et j’ai pouffé de rire en voyant la couverture:

Donc voilà, sous ce titre humoristique et qui ne se vendra jamais, se cache la série Hanaukyo Maids Tai (ou Team).

L’histoire, je la résume: un gamin orphelin hérite de son grand-père un manoir somptueux et une armée (non, une armada!) de maids, toutes plues kawaii les unes que les autres.

Chose étrange de cette série, la première série animée s’est vue assez changée par rapport au manga: le héros a été affublé d’une tare DNAesque: il est devenu allergique au toucher féminin, si bien qu’il se sent mal chaque fois qu’une fille le touche, et change régulièrement de couleur. Sauf… sauf une maid, Mariel, qui est en fait l’une de ses maids personnelles, au très gentil sourire et à l’allure soumise et obéissante.

Bref il va lui arriver plein de choses, toutes plus loufoques les unes que les autres, où par exemple ses maids l’accompagneront (sans qu’il le sache) à l’école et lui faciliteront la vie (quitte à balancer une flashbang pendant un test pour écrire sur le tableau à sa place la solution d’un problème de maths)

Ca a l’air rigolo comme ça, mais il faut vraiment aimer l’humour et le ecchi, se foutre dans l’ambiance, bref c’est un anime d’otakus, pas très accessible, mais qui fait passer un bon moment si on le prend tel qu’il est: un divertissement.

Le manga est bien moins bon que l’anime, même si y’a de bons moments. L’anime s’est d’ailleurs terminé après une quinzaine d’épisodes (sans doute dû au manque de fonds du studio), mais en 2004, une nouvelle série, au design beaucoup plus proche du manga (mais incroyablement plus moche que l’original) est apparue: Hanaukyo Maids Tai: La vérité. La vérité, car, on apprend plein de choses sur le vieux de Taro (le héros, sur Mariel et sur d’autres petites choses de l’intrigue, relativement basique et avec peu d’intêret, mais qui tient tout en place. Cette intrigue est reprise dans le manga, et je suis surpris qu’après 3 volumes on soit déjà à la fin, alors qu’il y a plus de 7 volumes (si ce n’est plus) au japon. C’est ce qui m’intrigue en fait, je suis du genre à vouloir savoir la fin d’une série que j’ai comencée il y a longtemps…