Auteur/autrice : Axel Terizaki

Ah la SNCF.

Une fois n’est pas coutume, un petit billet « Life ».

Contrairement à ce que vous pouvez penser, ceci n’est pas un billet anti SNCF. Non. En fait, plus ça va plus je trouve que ces gens font un boulot plus que correct, et sont traités comme de la merde par des gens. Je m’explique.

D’habitude, quand je prends le train, j’ai toujours besoin d’un accompagnateur, parce que les gares sont d’une grandeur abyssale et insondable pour moi qui ai de gros problèmes de vue. Et là, à la SNCF, on les trouve toujours à vous aider, à vous indiquer le chemin, voire à vous accompagner où vous voulez dans la gare. Enfin pour les handicapés en tous cas.

C’est pareil, quand vous demandez un renseignement, ils vous le donnent, dans la mesure de leurs moyens. N’importe qui, que ce soit un agent SNCF ou une réceptionniste, n’a pas tout le temps l’info qu’il vous faut à jour et à sa disposition, c’est normal et ça devrait être compris de tous.

Mais ça ne l’est pas.

Aujourd’hui (enfin hier là il est déjà bien tard), il y a eu des intempéries que l’on connait en cette fin d’année, mais aussi, beaucoup de monde: c’est les départs ou les retours pour le jour de l’an, c’est normal. Seulement pas de bol, ils ont tout eu aujourd’hui: neige, catainer (c’est comme ça que ça s’écrit?) qui pête sur la voie, suicides, problèmes d’alimentation… Résultat, la majeure partie des trains en partance de gare Montparnasse étaient bloqués, ainsi que ceux sensés arrivés, et ce depuis 15h, alors que je débarque à 17h. C’est ma première « perturbation SNCF » et j’avoue que j’en suis resté bouche bée.

Plein de gens étaient là, visiblement énervés alors que la perturbation n’est même pas dû à une grève. A les entendre ces gens, il faudrait que la SNCF alimente tous ses trains en panne, dégage les corps des sucidés de ses voies en claquant des doigts, amène le soleil pour faire fondre la neige, et remonte les pendules pour que les trains en retard arrivent comme par magie.

Non mais franchement, quand j’entendais gueuler ces demeurés (pour la plupart des +40 ans) j’étais mal pour la pauvre agent qui était en face au guichet. Faut dire que le quartier des handicapés (enfin le box où y’a l’accueil des handicapés à Montparnasse) était submergé de monde, qui voulait des infos alors que les agents de ce box étaient bien moins lotis. Il fallait qu’ils sachent, ils fallaient qu’ils disent tout, il fallait qu’ils fassent aparaitre le train pour partir « je veux me faire rembourser! Pourquoi vous nous dites pas tout? Pourquoi vous nous dites pas carrément qu’il n’y aura pas de train? On va pas poireauter toute la nuit dans la gare! » Hé coco, tu te calmes, il est à peine 17 heures…

Non sans rire, les voir se dépatouiller comme ça, c’était dur, et en plus se faire insulter et parler hautement, forcément ça énerve, et pourtant, ils doivent nous répondre gentiment, aimablement et sans s’énerver. Moi, perso, j’pourrais pas.

Bref, la SNCF, quand même, quand ils font pas grève… on est bien contents qu’ils soient là.

The Movies

Ca faisait un p’tit moment que je lorgnais sur ce jeu, depuis son annonce en fait, il y a de cela 3 ans. Imaginez un peu: pouvoir gérer son studio de cinéma, ses stars, ses films, écrire ses scripts, tout ça. Peter Molyneux, a qui l’on doit de nombreux autres jeux de légende tels que Dungeon Keeper, Theme Hospital et Theme Park, entre autres, nous a promis monts et merveilles avec ce jeu. A-t-il tenu ses promesses? Voyons voir…

A l’allumage, outre le gros logo « Fonctionne bien sur Intel Pentium 4 et ATI » qu’on oubliera très vite tellement c’est hideux, on peut voir d’ors et déjà qu’une option En Ligne et Montage sont présentes. Ca s’annonce bien, ça veut dire que l’on peut créer ses films, les exporter dans un format lisible en dehors du jeu, et les diffuser sur le net.

Cat l’un des attraits de The Movies, c’est aussi son mode online, qui permet de diffuser ses films sur un site web spécial. Selon le succès de vos petits films, qui durent d’une à 5 minutes, selon le nombre de scènes, vous gagnerez des credits virtuels qui vous permettront de vous payer de nouveaux costumes, décors, et autres trucs sympa pour agrémenter vos futures oeuvres.

Niveau créativité, j’aime.

Passons tout de même au jeu lui-même:

Là, ça se déroule comme un thème hospital/park bien classique. On construit des batiments, on embauche du personnel trié sur le volet, on ménage son petit personnel en leur proposant des cures de désintox, des lifting, du relookage, en leur payant des caravanes… Bref, au niveau de la gestion des caprices de stars, il y aura de quoi faire.

Niveau personnel, vous trouverez donc des acteurs, des réalisateurs, des figurants, des équipes de tournage, des équipes de maintenance, des batisseurs, des scientifiques, et des auteurs de script. Tout ce petit monde va devoir bosser dans votre studio, et c’est déjà pas mal.

Comment se passe donc la réalisation d’un film? Ca suit en fait un procédé simple. – On donne un script à écrire à des auteurs, ou bien on écrit le notre (pas testé) – Une fois le script fini, on l’envoit au bureau de production, qui permet de réaliser le casting: on choisit un réalisateur, un ou des acteurs pour les rôles principaux, des figurants si beosin, et une équipe de tournage. A noter que l’humeur des acteurs, mais aussi leurs expériences dans d’autres films comptent. – Une fois le casting et la répétition terminée, on envoie le truc à tourner, et on peut voir les acteurs aller dans les décors faire leurs scènes. Si tout se passe bien, au bout d’un moment vous avez un film, que vous sortez, et qui est noté selon la qualité du script, de la réalisation, du tournage, des acteurs, tout ça quoi.

Ca parait simple mais des petits ennuis peuvent survenir pendant le tournage, et pour bien rentabiliser le temps, il faut avoir au minimum 2 films en production en même temps, ce qui occasionne parfois des retards de l’un car un décor est déjà occupé.

Les films sont divisés en plusieurs catégorie: action, comédie, horreur, science fiction, et amour.

Je ne vais pas parler de tout pour laisser la surprise, mais vous aurez de nombreux événements historiques et d’autres joeusetés pendant votre parcours, ainsi que des mini objectifs à accomplir (le jeu commence en 1925)

J’ai cependant oublié de parler de tout l’aspect humour. Un peu à la Dungeon Keeper, vous aurez une voix off (ici un animateur radio) qui ne cessera de lâcher des petits commentaires sympa, sans que ceux-ci ne se répetent de trop au fil du temps. Aussi, les noms des films, tels que « Les oiseaux se cachent morts de rire » ou « Bang bang t’es mort » ou encore « C’est laid une tortue! » ou bien « La petite prison dans la prairie », vous voleront quelques pouffement de rire lorsque vous les verrez.

Pour moi, c’est une bonne surprise, quoi que ça aurait pu être quelque peu mieux réalisé: ça a une allure de the sims sans toutefois le même panache visuel. Le jeu est cependant très fluide sur n’importe quelle config moderne.

A essayer donc, pour ceux qui aiment comme moi, pouvoir créer des choses avec un jeu. Aaaah, Stunt Island…

Lui ou rien! – Zettai Kareshi

Yuu Watase ne cessera jamais de m’étonner. Chaque fois qu’un de ses manga sort, je me dis toujours « Bah, c’est du Shoujo (manga pour filles) » et puis en fait, le coup de crayon, l’histoire, les personnages, rendent le tout tellement attachant qu’on a du mal à s’en séparer une fois qu’on a commencé à le lire. S’il y a bien un auteur dont j’achèterais n’importe quel bouquin les yeux fermés, c’est bien elle.

Zettai Kareshi, donc, traduit plus ou moins bizarrement par « Lui ou rien » par Kana, l’éditeur français, nous plonge dans la vie d’une fille assez banale, Rikko (galerie de portraits ci-dessous) qui a la particularité de se faire jeter par n’importe quel mec avec qui elle veut sortir (mais je comprends pas, moi, une fille comme ça, je sors avec direct…)

Seulement voilà, un jour elle retrouve le portable d’un vendeur bizarre, le lui rend, et pour la remercier, lui offre un passe pour un site web bizarre, le « Lover Shop » où on peut commander son petit ami idéal. Rikko n’y croit pas une seconde, fait la folle, ajoute plein d’options et commande un modèle Nighty pour un essai gratuit de 3 jours (super promo).

Le lendemain, il arrive, et forcément, après la panique, elle s’y attache… Premier problème: elle doit le rendre dans trois jours. Second problème, c’est un modèle Night, qui est donc fait pour fonctionner la nuit… vous voyez ce que je veux dire hein? Oui, le premier truc qu’il fait c’est essayer de lui faire l’amour, a la pauvre jeune fille qui n’est jamais vraiment sortie avec un type avant et qui en plus croit au romantisme pur et dur. Vous alllez vous dire qu’il va quand même se la faire, hé bien non. « Night » comme elle l’a nommé, est un petit ami parfait après tout, et se retiendra pour elle.

J’en entends au loin déjà penser que Yuu Watase nous pond un clone de Chobits ou Hand Maid May au masculin, mais en fait il n’en est absolument rien, contrairement à mes peurs. Yuu Watase a parfaitement réussi a éviter le cliché et nous livre une histoire assez touchante. Classique mais touchante. Disons que comme d’habitude, l’héroine choisie par l’auteur, à mi chemin entre Tampoko de Imadoki et Aya de Ayashi no Ceres (ça reste un avis personnel), Rikko est plus mignonne que sexy, voire même naïve avec son envie de romantisme si fort.

Voilà donc Rikko, qui va devoir faire avec Night, payer sa dette envers la societé à qui elle l’a acheté (ah ben oui, c’est pas donné ces petites bêtes) et faire face à de nombreux autres obstacles… Mais je vous laisse la surprise 🙂

Un fansite plutôt bien foutu où j’ai récupéré quelques images: Zettai Kareshi

Cliquez sur « Lire la suite » pour voir quelques extraits du manga.

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Bannière

Fallait que je le fasse un jour et c’est chose faite: j’ai rajouté la bannière faite par Honey-Sama, que vous pouvez voir au dessus. Elle est mimi tout plein donc n’hésitez pas à l’utiliser si vous voulez sur vos sites ou blogs…

Encore merci, Honey 😛

Les japonais, des pervers? Noooooon…

Vu sur Factornews, une news pour le moins… étrange.

C’est sûr, quand on voit des jeux comme Bikou (où il faut suivre une fille afin de le se la faire tel un stalker), Battle Raper (où on peut se faire les filles qu’on terasse au combat) ou bien encore Artificial Girl 2 (où on crée la fille de ses rêves et on s’amuse avec sur une île déserte) et Oppai Slider (simulation de grosses poitrines), on est obligé de se dire que les japonais sont vraiment de gros pervers. Le pire dans tout ça, c’est que ça va sûrement se vendre dans l’archipel nippon.

Enfin, peut-être qu’il y a pire, avec l’opening d’un Hgame dont je terrai le nom de peur qu’on tombe sur ce blog en le recherchant sur Google. Attention préparez les kleenex, vous allez peut-être saigner du nez.

Cliquez sur l’image pour avoir un superbe wallpaper 1280×960.

Sauvez le droit d’auteur, dites NON à la loi DADVSI

Certains d’entre vous sont sûrement déjà au courant, mais mieux vaut tard que jamais pour soutenir cette action contre une loi aussi liberticide. On a déjà laissé passer la LCEN, continuons à nous battre…!

Comme je suis un enfoiré de sale feignasse, je me permets de recopier texto comme un sagouin l’article du Blog de Honey-sama

Un projet de loi dangereux doit être voté dans la nuit du 22 au 23 décembre, dans la discretion la plus totale.

   * Cliquer sur la bannière pour + d'infos et voir les signatures.

Une Pétition demandant le retrait de l’ordre du jour parlementaire du projet de loi DADVSI

   * Lire le communiqué eucd.info    * Voir les signataires et le nombre en temps réel

Une grande perte pour l’humanité

Bon juste un petit message pour dire que je suis toujours vivant, mais je me remets de la perte du MAIDS-0, ma grappe de RAID 5 de 1 tera-octets, qui est partie en fumée suite à une mauvaise manipulation. Je suis donc en train de faire mon deuil et de surmonter ce choc psychologique, que j’espère vous comprendrez.

(ahem)

Et puis en même temps, vu le calme ambiant en ce moment… 🙂

Karin

Mes animes actuels se résumant à peau de chagrin (Mai Otome, Yakitate Japan!, et Suzuka), il fallait bien que je trouve quelque chose de potable dans la nouvelle saison. Et c’est chose faite avec Karin, qui a défaut d’être excellent, reste assez drôle et mignon juste comme il faut;

Karin est très malchanceuse. Elle est issue d’une famille de vampires qui a immigré au Japon. Son gros problème, c’est qu’elle n’est pas tout à fait vampire… Elle vit le jour, elle ne craint ni l’ail, ni l’argent, ni les croix, ni l’eau, et pourtant… pourtant, elle a besoin de sang aussi.

C’est très dur pour elle en temps normal, et voilà qu’en plus un nouveau fait son apparition à l’école. Rien qu’en croisant son regard, Karin s’évanouit. Elle découvrira très rapidement qu’il y a quelque chose, chez lui et chez la mère du type, qui l’attire, qui voudrait les mordre, mais quoi…?

Sous cet aspect un peu sombre, l’anime s’en sort agréablement avec des petits moments comiques, une héroine assez kawaii, et des personnages facilement reconnaissables. Pour l’instant peu d’épisodes sont sortis et il est difficile de bien cerner l’intrigue principale, mais j’ai l’impression que malgré ses airs humoristiques, la série va devenir bien ténébreux sur la fin. Nous verrons bien! En attendant, vous pouvez y aller, ce n’est même pas ecchi en plus.

Un prof d’anglais au japon

Sur cette page, un type tient une sorte de blog (bon pas vraiment mais presque) sur sa vie au japon en tant que prof d’anglais. Autant vous dire qu’il en voit des choses, et ça donne une idée assez marrante du japon. En tous cas, si ce qu’il dit y est vrai. Mais bon, si on se met à douter de tout le monde aussi…

Ah oui, c’est en anglais only.

Tremblez, XBOX360 et PS3, voici la Polystation!

Pour ceux qui auraient loupé ce grand moment de télévision, j’ai nommé les premières années de Game One dont l’article sur Wikipedia résume très bien l’historique, voici le Level One de la Polystation.

Le Level One, c’est quoi? C’était une émission présentée par Marcus qui, pour nous chers téléspectateurs, faisait le premier (ou le deuxième selon les cas) niveau d’un jeu. Il nous racontait comment le jeu était et ce qu’il en pensait, tout en nous montrant ses possibilités. C’était ainsi super sympa de découvrir des jeux vus par un testeur pendant qu’il se débrouille à jouer pour nous.

Et un jour, ce dernier a ramené du maroc la Polystation. C’est quoi donc? Vous le verrez en regardant la vidéo d’environ 27 Mo qu’un téléspectateur a bien voulu encoder pour immortaliser ce moment (grâce à Infogrammes les archives de la chaîne ont été détruites malheureusement.)

La XBOX360 et la PS3 n’ont qu’à bien se tenir 🙂