Auteur/autrice : Axel Terizaki

Kasimasi ~Girl Meets Girl~

Warning, warning, yuri anime spotted 🙂

Kasimasi ~Girl Meets Girl~ est encore l’une de ces histoires bien loufoques que seuls les animes peuvent nous conter. Malheureusement pour vous raconter l’histoire, je suis dans l’obligation de vous spoiler le premier épisode entièrement, qui sert d’introduction à la série.

Le héros, Hazumu, est ce que l’on pourrait appeler une femmelette en bonne et due forme. D’apparence pas très masculine déjà, il est également du genre très sensible, ce qui lui vaudra d’être embêté dans sa jeunesse.

L’histoire commence alors que Hazumu, après avoir longtemps eu des sentiments pour l’amour de sa vie, Yasuna, se fait rejeter par cette dernière alors qu’il s’était rempli de courage pour lui confesser ses sentiments. Afin de ventiler un peu, il part seul sur une montagne proche de chez lui, pour tenter d’oublier tout ça. Ses trois amis, Tomari (l’athlète protectrice), Asuta (le mec sympa et un p’tit peu pervers sur les bords), et Ayumi (la fille silencieuse et à lunettes) se décident à partir à sa recherche.

Et là c’est le drame. Un vaisseau spatial alien perd le contrôle de ses moteurs, se crashe sur la terre, pile poil sur Hazumu, qui meurt bien évidemment sur le coup (un vaisseau spatial à forme phallique de cette taille ça doit faire très mal sur la figure). Pour se faire pardonner, et en vertu des Lois sur la Protection des Etres Vivants (ou un truc comme ça), les aliens diffusent sur toute la planète leur excuse, et reconstruisent Hazumu, sauf qu’ils se plantent et le transforment en fille. Cette transformation est irréversible. BAM, décor planté.

Alors voilà, comment ses amis vont réagir, comment Hazumu voit-il son nouveau corps, comment ses parents vont faire, comment…? vous le découvrirez en regardant l’épisode 2, déjà disponible chez toutes les bonnes crémeries.

Personellement, j’aime bien ce genre d’histoires totalement surnaturelles, qui ajoutent un certain piquant à une vie sans doute très banale. Toujours est-il que le graphisme est agréable, les designs réussis, l’animation bonne, et l’histoire avance corectement pendant les deux premiers épisodes, donnant en tous cas envie de voir la suite.

UPDATE: D’après Darksoul, il est écrit sur l’image, en haut « Même en fille, je l’aimerai toujours! » 🙂

French Maid TV

Même dans mes rêves les plus fous je n’y avais jamais songé, mais voilà que ça arrive. Un vidéo podcast rien que pour moi, et pour vous aussi j’espère:

French Maid TV, oui, la seule chaine de télé qui vous nettoie le cerveau… entre autres 😛

Au cas où le site soit surchargé (on ne sait jamais, un excès de popularité) je me suis permis de mettre le premier épisode ici

Rinçage d’oeil spotted.

Lemon Angel Project

Sous ce nom digne d’un anime hentai ou d’un quelconque show de magical girl, se cache en fait un de ces animes qui surfe sur la vague des animes musicaux tels que Honey and Clover ou encore BECK ou il y a déjà un peu plus longtemps Full moon wo sagashite.

L’histoire parait un p’tit peu complexe pour un premier épisode, mais en 2017, il semblerait qu’une jeune fille, un peu maladroite mais qui visiblement chante bien, ait eu une sempai à son école qui développait une chanson. Cette chanson s’est alors retrouvée comme le premier single d’un groupe d’idoles, à savoir les Lemon Angel Project.

Cependant, alors que les Lemon Angel Project étaient au top de leur forme et des ventes, il s’est passé quelque chose, et elles ont soudainement disparu.

L’héroine est donc à la recherche de sa sempai, ancienne des Lemon Angel Project, et elle apprend que la maison de disque des LAP tente de faire revivre le groupe avec d’autres jeunes filles, dont elle. Seulement visiblement ils n’arrivent pas à récupérer les chansons, car la sempai de l’héroine a apparement corrompu les données avant de s’en aller.

Une histoire un peu mystérieuse dans un futur proche, agrémenté de jolies idoles qui chantent des chansons entrainantes… A essayer. Je ne suis pas trop fan de ce genre de séries, mais je voudrais voir quelques autres épisodes avant de me décider.

SHUFFLE!

Voilà, on m’avait beaucoup parlé de cet anime dont j’avais matté les premiers épisodes sans trop accrocher. Finalement, mes deux sempai Corsaire et Darksoul m’ont poussé à regarder le reste de l’anime promptement, ce que j’ai donc fait.

SHUFFLE! (avec l’article extrèmement complet sur la version anglaise de Wikipedia) est à la base un H-Game plus tard adapté en série télé, comme cela arrive souvent depuis To Heart.

Au premier abord donc, SHUFFLE! nous narre l’histoire de Rin, un lycéen tout ce qu’il y a de plus classique. Sauf que voilà, Rin vit dans un monde où les démons et les dieux cohabitent également en paix. Ainsi, il n’est pas surprenant de voir des gens avec des oreilles super longues (des démons) et d’autres avec des oreilles un peu plus pointues mais plus petites (des dieux). Jusque là bon, ca apporte un peu de diversité, mais attention, si c’était aussi simple, ça serait pas drôle, si? En fait, Rin voit débarquer, d’un côté et de l’autre de là où il vit (chez son amie d’enfance, Kaede, tous les deux ayant perdus leurs parents) la famille royale des dieux et celle des démons, et apprend qu’il est le candidat idéal pour être le marié de Sia, la princesse des dieux, et Nerine, la princesse des démons.

Tout un programme.

Ca ne serait pas un réel anime harem si toutes les filles n’en pinçaient pas pour Rin, et si celui-ci n’était pas TROP gentil et indécis pour en choisir une une bonne fois pour toute.

Résultat des courses, du très très prévisible, dans le sens où chacune des filles va marquer des points pour essayer de conquérir Rin. Chacune, car il n’y a pas que Sia et Nerine dans le coup: Kaede, mais aussi Asa, la sempai de Rin, en pincent également pour lui. Du pur délire.

Cependant, il en choisira bien une à la fin, et ce n’est pas forcément celle qu’on croit. Aussi, comme Corsaire l’a souligné, c’est à se demander laquelle des filles fait le plus peur, car elles ont presque toutes un petit secret original à cacher. Enfin, vous verrez 🙂

Techniquement, la série se situe à un bon niveau. Comme toutes les séries de ce type, l’animation est très bonne, les dessins très jolis. Seule la musique se fera rapidement oublier, mais les voix sont là pour rattraper le coup, comme d’habitude. Surtout Asa (image plus haut) qui fait un excellent travail.

Ici, vous avez Sia à gauche et Nerine à droite.

Donc, qu’est-ce que j’en ai pensé?

Hé bien, j’ai été un peu déçu, par plusieurs choses. Tout d’abord, l’entousiasme de mes sempai m’avait fait m’attendre à un série à la Da Capo, ou encore Kanon avec ses intrigues assez mystiques et surtout, une happy end pas si happy que ça, ou au moins une fin en drame tragique. Car là, au risque de spoiler, je vais le dire haut et fort: SHUFFLE! finit plutôt bien, et l’execution de cette fin est plutôt bien foutue dans son ensemble, ce qui rattrape ma déception. Je vous laisse donc découvrir qui Rin va choisir, et comment.

Ceci dit, le passé de Kaede laissait augurer de nombreux clash et bastons avec les autres filles. Il n’en sera malheureusement rien. Quel dommage.

JPOP Trash

Honteusement repompé sur Kanaii, j’ai nommé JPOP Trash.

Ce site, en français, est comme vous l’aurez sûrement remarqué après avoir cliqué sur le lien, consacré aux stars de la jpop, hommes ou femmes (surtout femmes). Comme son nom l’indique également, il est plutôt trash. Pas dans le sens où vous yv erez des choses choquantes, mais disons que ce site est plutôt interdit à n’importe quel(le) fan assidu(e) d’un groupe ou d’une star de Jpop. L’auteur de se blog nie toute responsabilité en cas de malaise en visitant ce site.

Bon, plus sérieusement, il s’agit de photos avec légendes détournées afin de faire rire la gallerie. Si on y va avec plein de second degré, on peut trouver ça très marrant. Quand on regarde bien, la jpop, c’est beaucoup de plaçage de mots anglais qui n’ont rien à faire dans la chanson, vous ne trouvez pas? 🙂

Nan, j’aime bien la Jpop, et ce site m’a fait assez rire. Comme quoi, hein… 🙂

Yuka Haneda

A yé, j’ai enfin placé un nom sur la jeune femme très kawaii, très sexy, très… oh oui, très… hmmm. Bref.

Mon cher compagnon d’armes RafaLien a réussi à dénicher le nom de cette idole de ma future armée de maids, j’ai nommé, Yuka Haneda. Alors oui, 1,57 mètres, c’est classique pour une japonaise, et puis 20 ans, c’est très bien ça… Ah mais je m’égare.

Allez, pour la route, une tite n’image d’elle en bon costume… Après tout, nous sommes sur Maid Land 🙂

Cliquez ici pour l’avoir en (un peu) plus grand.

Merci Minotaure en tous cas 😛

L’immeuble d’en face

L’immeuble d’en face est une autre production de Vanyda, et sa petite équipe, qui a réalisé également L’année du Dragon dont j’ai parlé dans un précédent billet. C’est encore grâce à Morgan que j’ai pu découvrir cette petite BD en noir et blanc.

L’histoire, c’est… ah non attendez, en fait il n’y en a pas: L’immeuble d’en Face, n’est rien de plus qu’un recueil de petites histoires retraçant la vie quotidienne de quelques personnes vivant au sein d’un immeuble: on y trouve un couple de vieux, une mère seule et son gamin, un couple de plus jeunes… On y voit donc toutes les tranches d’age et on découvre leur vie qui se mèle et se démèle au fur et à mesure.

Bien que plaisant à lire, la découpe des histoires laisse surtout filtrer un certain manque de cohésion, et arrivés à la fin, on regrette un peu qu’il n’y ait pas une histoire de contée. En même temps, c’est un peu le but du bouquin: relater l’histoire de la vie d’un immeuble, mais que voulez-vous… C’est comme ça que je préfère les choses 🙂 Ceci dit, on s’attache tout de même aux différents protagonistes. Il parait qu’un volume 2 est en cours, je crois…

Si vous aimez les BD un tant soit peu originales et plutôt modernes, jetez-y un oeil, c’est plutôt sympathique dans son ensemble, même si ça ne remplacera pas un bon vieux manga. (vite, des sous que je puisse acheter les dernières sorties Pika et autres, comme Lui ou Rien volume 3 ^^)

In YOUR world ouvre ses portes

In YOUR world est un site très sérieux propulsé par DotClear, mais qui traite de tout ce qui se passe dans notre monde et qui n’est pas montré à la télévision habituellement. Cela peut être des reportages assez critiques et controversés, mais toujours fort instructifs, pour que chacun puisse se rendre compte que sur notre planète, il se passe des choses horribles, qu’on nous montre pas forcément. Ou parfois, cela peut être tout simplement, un regard différent sur l’actualité passée.

Le site se propose donc de vous faire découvrir tout cela à travers des documentaires vidéos, en anglais mais aussi en français, sur tout un tas de sujets. N’hésitez pas à le mettre dans vos bookmarks!

Le site est tenu par un très bon ami, Christophe. (comment ça, je fais de la pub à mes amis? 🙂 )

The Legend of Heroes

ENFIN un RPG sur PSP. Et pas un petit: Legend of Heroes semble être un épisode parmi une série de jeux qui sont parus sur PSOne. La PSP a elle aussi eu droit à d’autres épisodes, malherueusements, non encore traduit.

The Legend of Heroes: A tear of vermillion, est une histoire pour le mien classique au demeurant. Avin, notre jeune héros, cherche sa soeur Eimelle dont il a été séparé lors qu’ils étaient enfants. Il semble qu’Eimelle soit promise à un destin pour le moins mouvementé, mais l’affection que notre héros lui porte le pousse à la retrouver, des années plus tard.

Graphiquement, on est loin de froller l’excellence. Des persos en 2D se déplacent dans un décor en 3D non pivotable, ma foi d’une fort belle facture. La musique, assez anecdotique, essaye de nous envouter, mais c’est assez difficile.

Bref, techniquement, le jeu ne vole pas super haut pour de la PSP, mais depuis quand a-t-on besoin de bons graphismes pour un RPG ? Il faut ajouter que la maniabilité est parfois hasardeuse, car il vous faudra être orienté dans la bonne direction et bien comme il faut avant d’user de la touche action pour déclencher un quelconque event, prendre un item ou fouiller une bibliothèque.

Pourtant, le jeu est suffisament simple pour qu’on le comprenne tout de suite, et bénéficie d’un univers assez fouillé et recherché. On se plonge alors tant bien que mal dans le scénario qui semble se développer néanmoins lentement au début.

Malheureusement, quelques autres défauts viennent tâcher la qualité du jeu: une traduction anglaise un peu bancale parfois, rendant confus certains petits passages. Néanmoins, ça reste simple à comprendre, et n’importe qui ayant fait quelques années d’anglais pourra en profiter.

Globalement cependant, et vu que ça reste rare, un RPG en anglais sur PSP, on va être indulgents, et le style manga, les designs réussis et les graphismes mignons vous aideront à mieux apprécier le jeu, qui se trouve très adapté à la PSP.

Du petit bonheur en boite pour tout fan de RPG 🙂

L’année du dragon

Pas vraiment un manga, mais bon… 🙂

Oui bon il manque le titre, mais j’aime assez l’illustration.

Cette BD m’a été offerte dans son intégralité (3 tomes) par un ami (Morgan) le jour du nouvel an, et je dois avouer que, n’étant pas trop fan de BD dû à leur format trop grand pour moi, j’ai été plutôt séduit par l’histoire relativement simple mais intéressante à suivre. Avec un langage très jeune et un humour parfois piquant, parfois imagé, L’année du Dragon se caractérise avant tout par un style clairement inspiré du manga. Sans le recopier de façon ridicule, et sans tomber dans des tonnes de clichés juste pour attirer le chaland, les deux auteurs ont un style bien a eux, et les petits clins d’oeils à l’Asie ne manquent pas (rien que Mononoke Hime au ciné…)

Au niveau histoire, il est difficile d’en parler, car on suit en fait un moment de vie difficile d’un jeune homme nommé Franck, qui galère de boulot en boulot, et aussi dans sa vie amoureuse. Seule la fin m’a laissé un peu de marbre, mais toute la lecture était vraiment sympathique, et on arrive très bien à s’imprégner des personnages.

C’est donc clairement rafraichissant par rapport à mes lectures habituelles, preuve en est que j’ai dévoré les trois tomes très rapidement,

En tous cas Momo, si tu as d’autres lectures comme ça, n’hésite pas 😛