Auteur/autrice : Axel Terizaki

MaOTD #389

Alors là, Meidolicious vous sort le grand spectacle avec ce pack de maids de Dream C Club dans des uniformes tous légérement différents. Autant de diversité dans les moe-modes et les uniformes, ça a néanmoins un coût: 40 000 Maid Points. Oui monsieur.

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Dream C Club

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Et nous voilà enfin devant ce test de Dream C Club, qui sera entrecoupé de petites vidéos faites par mes soins, et de screenshots piqués à Gamekult. Oui parce que au début j’avais pris en photo ma télé et en fait je me suis aperçu plus tard que Gamekult avait genre 450 screenshots du jeu. Alors autant se servir là-bas, non?

Les vidéos, elles, ont été prises par mon iPhone 3GS, plus pratique a manipuler qu’un camescope HD pour ce genre de vidéos, vous en conviendrez. Aussi, j’ai pu raconter de belles conneries dans ces vidéos mais c’est surtout parce que je découvrais le jeu en même temps que je les filmais (ou presque). J’ai eu le temps de faire mes recherches pour écrire cet article.

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Le scénario, en très très vague, est que vous choppez un pass pour le Dream C Club d’un an, et décidez de l’utiliser pour y découvrir ces plaisirs. Comme dans un rêve, de jeunes filles vous acceuillent habillées en… sortes de meido-serveuses hybrides. On dira serveuses car il leur manque l’inévitable coiffe de meido. Qu’à cela ne tienne!

Vous avez le choix entre un bon paquet de fille, dont deux sont soit déblocables au bout de 30 et 35 succès Xbox, ou bien en les achetant au prix fort sur le Xbox Live Marketplace. Le reste du DLC consiste en des accessoires et des costumes supplémentaires pour les filles, que vous pouvez choisir à l’entrée… Les prix sont élevés, mais peut-être moins que Idolmaster. (où j’ai bien dû lâcher un peu plus de 100€, oui je suis faible.)


Axel joue à Dream C Club Part 2

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Vous avez donc un accès membre d’un an, et le jeu est découpé en semaines et non en jours comme je l’explique dans l’une des vidéos, comme l’illéttré du runique que je suis. Chaque semaine, vous avez le choix entre bosser (parce que aller au Dream Club ça coûte, vous le verrez), aller faire les courses (acheter de nombreux accessoires ou des cadeaux) et c’est à peu près tout. Certaines semaines seront consacrées à une sortie en particulier, si vous arrivez à draguer l’une des hotesses suffisament bien pour qu’elle accepte de sortir avec vous.

Au début du jeu le travail de base ne rapporte pas beaucoup, mais ça devient rapidement plus lucratif avec le travail de bureau. Vous devrez donc gérer cet argent entre les cadeaux (sachant que vous ne pouvez pas bosser et aller en ville faire du shopping au cours de la même semaine) et les activités du club.


Axel joue à Dream C Club Part 3

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Le samedi par contre, c’est sortie (ou pas, vous pouvez choisir de rester chez vous à consulter les mails de votre téléphone portable dernier cri noir et blanc), et l’hotesse d’acceuil va vous demander quel fille vous voulez pour la soirée. Certaines filles ne sont pas disponibles certains soirs (jour de repos, etc) et vous devrez parfois vous rabattre sur une autre. Vu le panel d’hotesses disponibles vous devez forcément trouver celle qui vous fera craquer. J’ai donc principalement privilégié Reika et Riho, et j’ai testé un peu Mian également, qui est une genre de tsundere froide. Riho elle respirait la joie de vivre, et Reika m’a semblé plus taquine.

Une fois la fille selectionnée, si vous possédez des costumes et accessoires, vous pouvez habiller votre hotesse comme bon vous semble. Puis vient la partie la plus importante du jeu. Là, assis sur un divan en face d’elle, vous avez 60 minutes pour convaincre. 60 minutes dans le temps du jeu bien entendu, car chaque action consommera un peu de temps. En premier lieu il faut choisir votre boisson et en payer une à la fille. Les boissons sont bien évidemment hors de prix, mais qu’importe. Sachez juste que certaines boissons feront plus plaisir à une fille que d’autres. On sait quand on a fait quelque chose de bien par un petit son retentissant et indiquant que le coeur grossit (symbolisant l’affection de l’hotesse pour vous.)


Axel joue à Dream C Club Part 4

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Durant cette heure, vous pourrez également grignotter, mais vous devrez surtout boire, et c’est là qu’il faut savoir se gérer comme dnas la vraie vie: ne buvez pas cul sec, prenez des petites gorgées de temps en temps, bref, sachez doser votre alcool. Au fur et à mesure que le jeu progresse votre niveau d’endurance à l’alcool augmentera, car au début, un verre remplir déjà la jauge aux trois quarts presque. Si cette jauge arrive à fond, vous êtes out et ejecté du club pour la soirée. Et en plus de ça ça vous coûte bonbon.

Bien sûr vous pouvez aussi offrir un cadeau à votre hotesse, ou bien lui poser des questions pour en savoir plus sur elle. Cela vous permettra de remplir son profil (1 succès à 30G par profil rempli) et parfois c’est elle qui vous en posera. Vos réponses détermineront si sa jauge d’affection grandit ou pas. Vous pourrez également participer à des minijeux avec elle: un jeu de boisson (que j’ai pas compris du tout) et un autre où il faudra décorer un omurice avec du ketchup en reliant des points.

Ce mini-jeu, testé par ma meido d’elite N°3 est comme vous avez pu le voir dans la précédente vidéo d’une maniabilité exemplaire.

Il existe un autre mini jeu appelé "Chocolate Love" qui consiste à manger comme il faut un pocky avec elle sans en prendre trop d’un coup. Je suppose qu’il faut pour cela un certain item et degré d’affection que je n’ai pas réussi à atteindre.


Axel joue à Dream C Club Part 5

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Bien sûr si vous finissez votre verre, votre hotesse se fera un plaisir de vous le remplir de nouveau, et vous pourrez même carrément faire pêter la bouteille d’alcool au lieu du simple verre. Ce jeu est terrible pour la jeunesse.

Lorsque le temps est écoulé, vous avez le choix de prendre un extra de 40 minutes ou pas, ce qui vous laisse un peu plus de temps, mais vous coûte beaucoup plus cher.

Au fur et à mesure que le jeu progresse et que vous en saurez plus sur l’hotesse que vous convoitez, elle vous invitera après le boulot ou bien certaines semaines lors d’évènements spéciaux (la plage, ou voir les cerisiers en fleur, etc.). Au final, il est assez difficile pour un japonisant de progresser dans le jeu, bien plus que pour Idolmaster où les dilaogues n’avaient pas un impact aussi important. Ici, sans FAQ, point de salut.


Axel joue à Dream C Club Part 6

Ainsi, il me paraît très difficile d’avoir la meilleure fin avec l’une des filles lors de sa première partie, vous demandant de recommencer encore et encore afin de glaner des infos: car ce n’est pas tout le temps votre hotesse préférée qui va vous les donner. L’une de ses copines peut se montrer plus bavarde que prévue si on lui pose les bonnes questions et vous reveler que par exemple, Reika voudrait un nouveau gant de bwling ou que Riho cherche à s’acheter de quoi faire du sport.

D’ailleurs, le jeu a une façon assez amusante de vous le faire comprendre: si vous obtenez la meilleure fin vous aurez la chanson thème du jeu chantée par votre hotesse, alors qu’une fin neutre se fera sans voix. Par contre, une bad end, elle, sera chantée par… des hommes.

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Après avoir fait une première fois le jeu en entier on comprend un peu mieux la note moyenne accordée par Famitsu (qui pourtant note habituellement très large.) Dream C Club se contente en effet de n’être qu’un dating sim comme un autre, finalement, sauf qu’il en met plein la vue avec son budget énorme et sa 3D chatoyante. Personellement j’ai préféré le cell-shading de Idolmaster, plus naturel et lisse, même si le graphisme de Dream C Club devient plus agréable avec l’habitude.

L’aspect chanson tant mis en avant est en fait relegué à un mini jeu disponible uniquement en multijoueur. Oui, le jeu fonctionne sur le live, mais il est très difficile de trouver une partie, du coup le karaoke est avorté par une excuse du genre "j’ai pas assez de voix en ce moment" ou "la machine a karaoke est cassée" selon la fille à qui vous vous adressez. La partie multi, finalement assez anecdotique consiste à un rythme game difficile (les boutons à presser arrivent au dernier moment) pour faire du bruit en rythme avec des accessoires pendant la chanson. Ainsi, le jouer qui fera le meilleur score recevra un cadeau de son hotesse et des points d’affection. L’idée était bonne, mais elle aurait pu être exploitée un peu à d’autres endroits du jeu…

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Finalement assez moyen, Dream C Club souffre en plus de temps de chargement assez longs, même avec le jeu installé sur le disque dur. Il y a de grandes choses à faire avec la génération actuelles de consoles et toute leur partie réseau relié à Internet, mais les japonais ont visiblement du mal à proposer des concepts intéressants. Les dating sim et autres jeux "typiquement japonais" sont finalement très peu nombreux sur 360 ou PS3, mais gageons qu’avec le temps ils vont se rattraper. Pour moi, Dream C Club ne justifie pas l’achat d’une 360 Japonaise comme l’a fait Idolmaster.Par contre ce qui est sûr, c’est que vu le nombre d’images disponibles sur Danbooru et de doujins disponibles avant même la sortie du jeu fin août, il est clair et net que les japonais l’ont acheté pour sa plastique plus que pour ce qu’il y a à l’intérieur.

Un peu comme moi, en fait.

Ahem.

Allez, dans dix jours il y a Brutal Legend qui sort!

Anime Catch Up – Octobre 2009

Mince, mine de rien le tout dernier anime catch-up, série de billets où je fais une brève description des séries que j’ai vues et finies récemment, date de l’an dernier. Pourtant j’en ai vu des trucs entre temps…

…ou pas tant que ça en fait: malgré de nombreux avis positifs sur certaines séries, je n’ai jamais réellement réussi à m’y intéresser, et j’ai fini par suivre maximum deux ou trois animes par saison plutôt que dix.

  • Toradora : Une série avec des hauts et des bas. Ami a été par exemple très longtemps insupportable à mes yeux avant de devenir plus intéressante. Globalement il y a eu évolution des personnages et plutôt que de céder dans la comédie facile on a eu droit à des développements originaux et bien amenés. Clairement une excellente série de 2008, et faut bien avouer que Taiga est une tsundere tout à fait supportable.
  • Spice and Wolf S2 : On prend les mêmes et on recommence. Dommage que la surprise de la saison 1 se soit estompée, Cela n’enlève néanmoins en rien le potentiel moeconomique de la série. Holo est toujours aussi agréable et la dynamique du "couple" qu’elle forme avec Lawrence continue de fonctionner.
  • Saki : Une série qu’il faudrait que je finisse un jour, ne serait-ce que pour la haute dose de WTF qui s’en dégage, et les matchs qui me font un peu penser à ce qu’on pouvait voir dans Prince of Tennis niveau exaggération. Comme quoi le mahjongg ça peut être fun, et puis le "nopan" aussi.
  • Princess Lover : Un harem qu’il est bien et qui ne rime pas forcément avec médiocrité. Un héros qui se distingue par son caractère original. Non franchement, Princess Lover avait tout d’un grand; Un peu dommage qu’il devienne si sérieux vers le dernier tiers de sa courte existence. Espérons une seconde saison toujours aussi bien réalisée (si on excepte la honte de l’épisode à la fête foraine avec les textures de chemises dignes des meilleures colorations de manga des années 90…) Ca restera quand même un bon souvenir de 2009.
  • K-On : Souvent décrié a cause du hype qu’il a suscité, contrairement à Kannagi dont le soufflet était retombé aussi sec, re-regarder un épisode de K-On m’apporte toujours autant de sourire sur le visage pendant 20 minutes. Non, franchement, K-On respirait à fond la fraîcheur et la joie de vivre, quitte à dégouliner un peu trop de bons sentiments de temps en temps, mais merde quoi! Ca nous change de tous ces animes sérieux et pompants, dans K-On on se laisse aller, on débranche son cerveau et on s’asseoit dans son canapé pour 13 épisodes de détente mignonne à croquer. Ouais et puis Mio quoi, et Azusa, voilà. L’anime de 2009 pour moi, avec Endless Haruhi, bien sûr.
  • Haruhi Saison 2 : Ou 1.5 ou peu importe, Je vais pas m’étendre sur le sujet, d’autres l’ont fait mieux que je ne pourrais jamais le faire. Sachez juste que mon adoration de La Déesse reste inébranlable malgré Endless Eight. Là où certains pourront gémir rien que de penser à regarder 8 fois le même épisode ou presque, j’ai préféré y voir un coup artistique osé et que peu de studios auraient eu les burnes de faire. Si ça n’a pas servi la série comme il le faudrait, ça a au moins eu le mérite de faire parler pendant deux mois de Endless Eight, et ça reste très cohérent, finalement, avec la diffusion d’une série comme Haruhi, faite pour dérouter le spectateur et l’interpeller. La question maintenant c’est qu’est-ce qui va nous tomber dessus la prochaine fois?
  • Hayate no Gotoku : Faudrait que j’arrive à écrire un billet dessus, mais c’est trés difficile tellement la série est touffue. Grand n’importe quoi multi-référenciel, Hayate no Gotoku a ses hauts et ses bas. Notez que je n’ai regardé que la première saison pour le moment, et je verrai pour la deuxième une autre fois. Evidemment, Maria is love, et je comprends un peu mieux pourquoi elle a gagné le Grand Tournoi des Maids il y a 2 ans. Hinagiku est plutôt sympa aussi :3.
  • CANAAN : Pas pu supporter plus de 3 épisodes. C’est pas parce qu’il a écrit Nasu sur la couverture que c’est forcément bien les gens, vous savez?
  • Eden of the east : Trop court, tout simplement, et j’ai de sérieux doutes sur l’utilité de plusieurs films pour dénouer toutes les intrigues et découvrir tous les personnages de la série, car il y en a un petit paquet. Malgré un chara design assez étrange (je ne dirai pas hideux… ah si je l’ai dit.) c’était fort agréable et très cool. Le genre d’idées de scénario qui marche, couplé à une très bonne réalisation. Une bonne surprise car la série n’était pas du tout attendue et je… ah?

Pardon, j’entends Nyoronyolo, FFenril, Tetho, Yuki et ma meido d’elite N°4 frapper violemment à ma porte. Je vais leur ouvrir, tiens, ils boiront bien un peu de coca avec moi autour d’un bon épisode de Gurren Lagann, hein? J’ai bon?

MaOTD #385

Un modèle très original (et donc rare) de meido avec des oreilles de lapin. Se nourrit essentiellement de carottes et est disponible pour 5 000 Maid Points. Hé oui, la crise c’est du passé!

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Source : Zinno

MaOTD #384

Pour les plus fortunés qui possèdent déjà plusieurs meido, celle-ci est un complément indispensable à votre armée. Douée d’une autorité sans égale et d’un sens du commandement, elle vous permettra de diriger plus efficacement vos troupes. Vendue 15 000 Maid Points sous présentation d’un permis de Goshujin-sama de niveau 5 ou plus.

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MaOTD #382

Un pack Saki, livré avec des tables de Mahjong, pour seulement 15 000 Maid Points. Pour ce prix, c’est presque cadeau! Avis aux possesseurs de Meido Tsumugi, vous pourrez décupler sa force de travail en achetant ce pack.

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