MaOTD #43
Dénichée sur ShortCircuited voici la Maid Of The Day numéro 43. Ca commence à faire beaucoup 🙂
En plus elle est vectorisée, c’est-y-pas beau la vie? 🙂
Dénichée sur ShortCircuited voici la Maid Of The Day numéro 43. Ca commence à faire beaucoup 🙂
En plus elle est vectorisée, c’est-y-pas beau la vie? 🙂
O_O <- Ma tête en apprenant ça.
D’après Moetron qui tiendrait ça de Moonphase (source bien sûre donc), Juillet verrait débarquer School Days, le jeu hentai atypique de 0verflow qui a fait couleur beaucoup d’encre (et de sang aussi) sur les écrans télévisés japonais.
Quelle route du jeu va-t-on avoir? Est-ce que ça va bien se finir? Serait-ce seulement drôle si c’était le cas, hein? Est-ce que l’anime sera ecchi voire contiendra des scènes un peu hentai comme KGNE? Quel suspense mes amis! C’est le fanboy de School Days qui s’exprime et qui bondit de joie.
A noter que dans cette même annonce est faite celle de Zero no Tsukaima S2, en Juillet aussi. Pauvre Louise… Chaque fois qu’une annonce de la S2 est faite elle est eclipsée par l’annonce d’une autre série majeure. La dernière fois c’était Haruhi saison 2 après tout… 🙂 Leur seul solution serait éventuellement une scène torride entre Louise et Henrietta, ou bien une exploration un peu plus poussée des sentiments de Siesta… Ils ont intêret à être plus fidèles au bouquin à ce niveau, en tous cas 😛
REC fait partie de ces séries, au même titre que La Mélancolie de Haruhi Suzumiya qui ont déclenché une fougueuse passion chez moi l’an dernier.

Il faut dire aussi que la série touche un monde que j’apprécie tout particulièrement. C’est peut-être être un fanboy de base, mais j’ai toujours adoré le travail fait par les doubleurs et doubleuses d’anime japonais, qui arrivent à transporter les sentiments et les émotions de leurs personnages avec une très bonne conviction, ce qui fait que bien souvent, la voix retenue pour un personnage joue beaucoup sur sa personnalité et son charisme auprès des téléspectateurs. Que ce soit les hommes ou les femmes, un doubleur est vraiment bon lorsqu’il arrive à changer sa voix selon le personnage joué et la situation. Le panthéon est bien évidemment réservé à Megumi Hayashibara sans conteste la plus connue et appréciée pour son inégalable performance sur Lina Inverse ou Rei Ayanami, qu’on se le dise. Et ce n’est un secret pour personne si je suis un fanboy inconditionnel de Ayako Kawasumi , avec sa voix capable d’être la douce Mahoro, de s’énerver, ou de faire la froide Saber…

Mais revenons à nos moutons. REC est donc sorti en anime l’an dernier, et après avoir décortiqué cette série pour le moins surprenante en 9 épisodes de 12 minutes chaque (pour faire court, c’est court.) on ressort avec un grand sourire béat à cause d’une histoire à la fois adulte et mignonne.
Rapide rappel des faits: Fumihiko Matsumaru attend une femme mais celle-ci lui pose un lapin. Despeséré il décide de jeter les tickets de cinéma qu’il avait, mais une jeune fille l’arrête. Elle décide de s’incruster et d’aller voir ce film avec lui. Film étranger où bizarrement elle récite à haute voix toutes les lignes de dialogue. Passé cette séance de ciné un peu étrange pour Fumihiko, ils mangent ensemble de façon fort amicale et la jeune fille révèle qu’elle est apprentie doubleuse. En faisant route ensemble ils vont s’apercevoir qu’ils vivent dans le même voisinage et se souhaitent bonne nuit.
Seulement voilà, Matsumaru cauchemarde cette nuit-là et est reveillé par le bruit des sirènes dehors. Un incendie a eu lieu, et une fois dehors pour aller voir ce qu’il se passe, il trouve la jeune fille de tout à l’heure et décide de l’héberger en voyant que sa maison a brûlé. La jeune fille est bien desespérée et se met à pleurer avant de s’endormir. Fumihiko tente de la consoler du mieux qu’il peut, et de fil en aiguille, il se retrouvent tous deux sur le lit. Ce n’est qu’à ce moment que la jeune fille se présente comme étant Aka Onda, juste avant qu’ils ne fassent l’amour.
Voilà en substance le récit du premier épisode qui donne tout de suite le ton à la série. Mais je ne suis pas là pour parler de la série animée, mais du manga, qui compte déjà quelques volumes (5-6 à ma connaissance)
Le manga est à l’image de la série: propre et agréable à parcourir. Le style relativement kawaii d’Aka arrive même à masquer les moments un peu plus hot, entre le ecchi et le hentai. Inutile de dire que le manga est reservé a un public averti.
Le premier volume retrace globalement ce qu’on a pu voir dans la série, mais c’est après que les choses se corsent. Aka devient réellement populaire et doit garder coûte que coûte sa relation secrète avec Fumihiko. Des gens seront là pour l’aider, comme ses amies doubleuses ou son manager, mais d’autres seront là pour mettre des bâtons dans les roues de ce couple somme toute banal mais ô combien mignon.
Contrairement à de nombreuses séries de ce genre vues sous un seul angle, REC propose une vision à la fois centrée sur Aka et sur Fumihiko, sans jamais prendre l’un ou l’autre comme héros ou héroine de l’histoire. C’est le couple le héros, pas l’un ou l’autre des personnages. Bien sûr on a tendance à suivre Aka, mais l’un des arcs de l’histoire traîte justement d’un départ d’Aka de un mois pendant lequel Fumihiko va se sentir très mal à l’aise sans elle auprès de lui.
Au lieu de proposer des chapitres "stand-alone", l’histoire est décomposée en plusieurs arcs de plusieurs chapitres chacun, ce qui permet de vivre des histoires plus longues et d’éviter de sauter du coq à l’âne à chaque changement.
L’une des choses qui me plaît, c’est que la série arrive à être drôle et amusante sans donner dans la loufoquerie et le fantastique souvent retrouvé dans des tas d’histoires d’amour (qui a dit syndrôme Ken Akamatsu?). C’est une histoire d’amour contemporaine que l’on vit: aucun pouvoir magique, pas de science-fiction, non, rien de tout cela.
Sans conteste un très bon manga seinen, REC reste donc l’un de mes coups de coeur. C’est frais, c’est bien écrit, c’est agréable à lire et à regarder, Aka est un personnage à la fois adulte et innocente, et Fumihiko avant d’être amoureux d’Aka, reste avant tout… un homme. J’ai hâte de voir cette série arriver aux Etats-Unis ou en France pour en acheter les mangas. Pour les plus pressés comme moi, le manga est traduit chez XLG en anglais.
Un p’tit wallpaper pour la route.
Et c’est par ici
Je crois que ça doit être l’une des meilleures parodies que j’aie pu voir 🙂
La déesse nous envoie de nouveaux miracles
Impossible d’en douter, notre Déesse a vu notre effort pour dresser un monument à sa gloire, et nous pousse à nous offrir encore plus à Elle afin qu’un jour le monde soit plus animé, et que sa parole soit répandue ici et là.
Oharuhi-sama!
Say Love fait partie de tous ces mangas qui déferlent sur notre pays radieux. Des mangas qui n’ont peut-être aucun public mais que les éditeurs sortent quand même, en misant parfois gros.
Say Love, c’est un manga dessiné par des cooréens. C’est un peu bizarre au début surtout pour les visages, mais un peu à la manière d’un manga français(tm), ça reste parfaitement lisible et intéressant à lire.
Say Love, c’est l’histoire d’un lycéen qui subit une déception amoureuse : sa copine le jette car maintenant elle est étudiante et elle n’a pas le temps de jouer avec un lycéen. Sympa pour lui, car même si Chae-Wong (j’ai toujours peur d’écorcher tous leurs noms, manque d’habitude) est encore un peu gamin dans sa tête, il n’en est pas moins un bon garçon dans le fond. Toujours est-il que pour lui remonter le moral, ses potes lui proposent une rencontre à l’aveugle avec d’autres filles qui sont étudiantes aussi. Passé les deux thons (comme elles sont si bien appelées par les deux amis du héros) du lot, la troisième fille se révèle très mignonne quoi qu’un peu timide. La soirée se passe sans encombres jusqu’à ce que les jeunes gens présents décident de vider quelques bouteilles. Et là c’est le drame. Chae-Wong se réveille le lendemain dans un hotel, avec Seulgi, la jeune fille en question, à ses côtés.
Les deux jeunes sont pour le moins embarassées et n’osent rien dire, et préfère faire comme si de rien n’était. Ils ne s’échangent rien et se séparent.
Ca aurait pu être une histoire sans lendemain si Seulgi n’était pas tombée enceinte ce soir là.
Voilà pour l’intrigue. Il y aura quelques rebondissements, et quelques scènes très touchantes avec un Chae-Wong qui essaye tant bien que mal d’appréhender la situation. Etre lycéen et encore un peu gamin va être gravement handicappant pour affronter la dure réalité d’être un parent. Alternant les passages assez sérieux et les passages en pure SD un peu exaggérés parfois, le manga garde un rhythme plutôt bon durant les 5 premiers tomes qui sont disponibles àce jour. Aucun chapitre n’est là pour le remplissage, le tout est savamment dosé et chaque tome se termine par un cliffhanger des plus rageants quand on a pas le volume suivant.
Passé outre le dessin un peu étrange au premier abord, on découvre donc une histoire plutôt sentimentale de très bonne facture, qui m’a beaucoup rappelé un certain Child Of Love, en moins gnan-gnan, pour les plus vieux d’entre vous qui s’en souviennent. 🙂
Alors, je remercie tout d’abord Raton-Laveur de nous avoir prêté son channel IRC pour pouvoir mener à bien notre plan machiavélique.
Pour ceux qui n’étaient pas là, je résume l’objectif (si bien rédigé par Raton): "Rendez service à la japanime en France, donnez un coup de pouce à une arrivée prompte et de qualité à Haruhi dans notre riante contrée."
Ce qu’il en est ressorti, c’est qu’une tripotée de personnes sont prêtes à aider pour les différents sites du projet.
Ces sites seront construits dans l’ordre suivant:
Ce sont les sites "principaux" qui seront mis en chantier dés lundi. Nous avons déjà quelques idées de design et le tout est encore en gestation, mais ça avance bien. Cette réunion aura permis de se mettre d’accord sur les idées principales, nous pourrons en discuter un peu plus facilement une fois le forum interne mis en place.
La SOS-Dan Française va montrer un peu de quoi elle est capable 🙂