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Star Wars Knights of the Old Republic 2

KOTOR, premier du nom, était une petite révolution à l’époque. Imaginez! Un jeu d’aventure/RPG Star Wars, en plus de ça fait par des anciens de Bioware. Aucun doute, on a pas été trop déçus. Une interface un peu simplifiée mais plein de possibilités, des tas de caractéristiques, capacités et pouvoirs comme seuls les gens de Bioware en sont capables.

Après donc ce très bon KOTOR 1, voilà qu’ils nous remettent le couvert pour la suite…

Au premier abord, seulement, on a vraiment l’impression que ça sent le réchauffé. KOTOR 1 a bien marché, vite, faisons un 2, repenons le moteur du 1 intégralement, on y ajoute 2 ou 3 choses, on fait une nouvelle histoire… Non vraiment, ça serait plutôt un KOTOR 1.5 qu’on a là

Mais en même temps, une fois de retour dans le jeu, c’était tellement bon la première fois, qu’on oublie complètement qu’on vient d’acheter le jeu au prix fort alors que ça n’aurait pu être qu’un add-on. La sauce prend, on se met à retrouver les bons vieux réflexe de l’auto-pause, les pouvoirs de la Force, et les dilemnes de conversation pour avoir des points du côté lumineux ou obscur…

Ceux qui ont joué au 1 seront donc tout à fait dans leur élément, tellement même qu’ils sentiront les premières maps plutôt familières, comme la citadelle orbitale de Telos.

Pour ceux qui par contre n’y ont jamais joué, prenez un bon jeu d’aventure, saupoudrez ça d’une bonne dose de RPG avec deux fins différentes, des dialogues à choix très très multiples, des mini-jeux, plein d’items, de la personalisation d’items, une histoire pas trop linéaire, plein de persos…

Vous l’aurez deviné, tout fan de RPG qui se respecte se doit de posséder au moins KOTOR1. On dira que le 2 est en option.

Allez, un p’tit screen pour finir, voici Teri, mon avatar dans le jeu.

D’où l’intêret des versions DVD

Depuis quelques temps déjà, les studios d’animation aiment bien nous refiler une version TV « normale » et se rattraper sur les DVDs pour booster les ventes.

Mais de quoi je parle donc? Ca peut être un peu de tout: des décors retravaillés, des animations un peu refaites, des scènes rajoutées ou modifiées, de la censure un peu enlevée…

En d’autres mots, les réalisateurs se lâchent. Je ne sais pas si ças e voit déjà dans les films en DVD (vu que j’en achète beaucoup moins que des animes) mais pour les animes, ça se sent vraiment.

L’exemple le plus flagrant que j’ai sous la main reste Girls Bravo où dés le premier épisode, la vapeur de la version TV qui obscurcissait la vue (à un point où on ne voyait VRAIMENT rien dans certaines scènes) disparaît et fait place à de très jolies courbes et scènes un peu osées qu’on ne montre pas à la télé (pourtant, on en a vu des animes osés à la télé, pourquoi cette censure maintenant?)

Jetez donc un oeil à ces screens:

En haut, la version télé, en bas la version DVD. Déjà on voit tout de suite mieux.

Encore mieux, dans la version télé on ne voit même pas Miharu-chan enlever ses pantsu 🙂

Je sais, Miharu est un ange en fait et c’est pour ça qu’elle est entourée d’un halo lumineux (ou est-ce encore cette maudite vapeur?)

Et là, elle est carrément à la fenêtre, à poil, et ça a pas l’air de la déranger pour autant. C’est marrant quand même comme la vapeur massive arrive à cacher les rayons du soleil…

La conclusion de tout ça? Le DVD de Girls Bravo ouvre les fenêtres dans l’anime, pour évacuer la vapeur! 😛

Un autre exemple flagrant, récupéré sur 4chan (et franchement, je félicite pas le mec qui a foutu sa watermark dessus, surtout quand son propre blog est vide.) est le récent He is my master des studio GAINAX, où tout d’un coup, on voit vachement mieux. Les versions DVDs augmenteraient-t-elles en fait nos capacités visuelles? 🙂

Jugez par vous-même. En haut le DVD, en bas la version télé.

Suzuka – mais pourquoi j’ai pas encore arrêté ?

C’est vrai quoi, un anime aux airs de Love Hina avec du sport, qui eut cru ça possible? Pourtant, l’histoire s’écarte très rapidement du boxon de Love Hina en se concentrant principalement sur le triangle amoureux Suzuka-Yamato-Honoka. Comme d’habitude quoi, rien que du classique.

Donc qu’est-ce qui peut me faire continuer à matter cet anime ? Hé bien tout simplement parce qu’il y a une miko. Bon ça va hein, vous devriez me connaître maintenant 🙂

C’est la camarade de classe de Yamato, Honoka Sakurai. Elle semble être une amie d’enfance avec lui ou quelque chose comme ça et en pine visiblement pour lui. Comme toutes les miko elle est bien entendue douce et innocente… Complètement irrésistible!

« Hé… c’est mon verre… serait-ce un baiser indirect? »

Hahaha, si c’est pas une des constantes des animes/mangas romantiques ça…

Bon trève de plaisanterie, si je suis toujours Suzuka, c’est également parce que les design des personnages sont plutôt agréables à l’oeil, ce qui est plutôt rare de nos jours. Néanmoins, l’histoire a intêret à prendre un bon coup de pied aux fesses dans les prochains épisodes, sinon ça va vite devenir très lourd, vu que pas grand chose ne se passe.

Team America Police du monde

Les films originaux m’ont toujours attiré… En l’occurence, un film avec des marionettes, qui ne se prend aps au sérieux, c’est le genre de films que j’aime bien pour passer une heure et de mie de détente.

L’humour est bien présent dés les premières scènes, et c’est assez sympathique, au fond. Un film d’action avec des marionettes, ça aurait pu être très chiant, et pourtant, avec l’humour complètement déplacé ça passe plutôt bien.

Ceci dit, faut avoir le coeur bien accroché, car étant donné la nature du film (aucun véritable acteur), le réalisateur s’en est réellement donné à coeur joie. Je n’en dis pas plus, mais y’a des trucs vraiment, vraiment gores, presque gratuits. C’est donc vraiment réservé à un public adulte et averti. N’emmenez pas votre petit frère de 11 ans voir ce film, je vous le dis.

On comprend mieux quand on sait que ce sont les créateurs de South Park qui sont derrière tout ça. C’est d’un mauvais goût et d’un politiquement incorrect à toute épreuve…! Ceci dit, ça a au moins le mérite, comme dans South Park, de faire la satire de la vision et de la politique américaine, en quelque sorte, si on regarde derrière les gags scabreux.

Ca reste un bon délire, et ça doit être bien excellent entre amis pendant une LAN. Je regrette de pas l’avoir passé au AGC 16 en tous cas 🙂

Kannazuki No Miko

Warning, mikos spotted.

Je vais poser les bases rapidement, hein.

D’un côté nous avons Himeko, petite blonde fort sympathique, un peu maladroite, banale, et en plus un poil cruche. Sa seule qualité est d’être kawaii.

De l’autre côté nous avons Souma, un jeune garçon très bien et très propre sur lui, sérieux et qui en pince pour Himeko.

Et entre les deux, nous avons l’entremetteuse, la reine de l’école, la très mystérieuse et très sérieuse et aussi très très riche Chikane… qui en pince aussi pour Himeko.

Ah y’a un problème là vous trouvez pas? 🙂

Mis à part cette situation Orange Road-esque, Kannazuki no Miko combine à merveille tout ce qu’on aurait jamais imaginé retrouver réuni dans un anime: des miko, du yuri (doublé d’un viol), des mechas, des maids, du ecchi, de l’occulte, et Ayako Kawasumi-sama.

Tout est réuni pour qu’on sente la série tout droit sortie d’un jeu hentai. Même l’opening et l’ending sont chantés par KOTOKO! Et pourtant, je ne pense pas avoir vu de jeux H de KnM auparavant.

L’histoire? Oh, rien que du banal: Tout le monde vit heureux dans le monde, mais un jour des démons Orochi attaquent, veulent tuer les prétresses de la Lune et du Soleil (qui se trouvent être respectivement Chikane et Himeko, quelle heureuse coincidence.) mais Souma décide de les en empêcher, bien qu’il ait du sang Orochi dans ses veines, qu’il tentera de calmer via son amour pour Himeko (ça c’est mignon.)

Le dessin est un peu bizarre au premier abord mais on s’habitue. Le principal attrait dans cette série, ça reste bien sûr l’histoire et les personnages. Je ne dis pas trop pour pas spoiler, mais on reste quand même assez attirés par le mix assez original d’idées dans la série. On sent néanmoins la grosse dose de fanservice à outrance, sans que ça soit provocateur ni même obscène ou ridicule.

Je n’ai pas encore fini de tout voir, mais la série me plaît assez après 6 épisodes. C’est plutôt bon signe, en ce qui me concerne… En général une série qui ne me plaît pas je décroche assez rapidement, surtout quand elle est aussi sérieuse que Kannazuki no Miko.

Une série à matter si vous êtes fan de tout ça 🙂

Une petite pause

Encore une fois un post de MaVie(tm).

Comme je suis un peu occupé par mon déménagement vers Nantes, j’ai pas tellement le temps ni de matter des animes, ni de poster où que ce soit.

Ceci dit, pour me faire pardonner de l’attente, une petite image 🙂 (cliquez ici pour l’avoir en grand)

Plus de nouvelles sur des séries comme Kannazuki no Miko, SHUFFLE! ou des jeux comme Atelier Iris: Eternal Mana, prochainement!

Amaenaide yo!

Amaenaide yo! fait partie de ces animes fort agréables vus de loin. Le genre de série qu’on va regarder le cerveau débranché, avachi sur le canapé la main dans le paquet de chips, l’autre tenant un verre de coca.

L’image est un peu petite, mais j’ai pas trouvé mieux (et j’ai un peu la flemme de faire des screens là) mais si vous voulez comprendre la teneur du phénomène, vous pouvez télécharger un extrait ici.

Comme d’habitude, je vous résume un peu l’histoire: Ikko est un jeune moine qui va devoir étudier au temple de sa grand-mère, car il est parait-il très prometteur. Seulement, voilà, comme dans tout anime qui se respecte il y a un hic. Un gros même. Sa grand-mère héberge de nombreuses prétresses (des miko… vous voyez pourquoi cet anime m’a attiré maintenant?) qui combattent les mauvais esprits et servent le temple.

Ikko a de très grands pouvoirs, mais pour les éveiller, il lui faut… quelque chose, que vous découvrirez soit en mattant le premier épisode ou soit en regardant l’extrait que je vous ai si gentiment proposé plus haut.

Comme d’habitude avec un premier épisode il est trop tôt pour en parler, mais ça promet de gros délires ecchi, sans aucun doute.

Suzuka

Je n’attendais pas grand chose de cet anime.

Oh, c’est pas qu’un anime harem de plus ne me fasse plus aucun effet, c’est juste que au fur et à mesure du visionnage, j’ai été happé par des spectres de Love Hina: le héros qui habite une pension pour filles, le fait qu’il flashe sur l’une d’elles mais que celle-ci le repousse aussi sec, mais aussi…

londe alcoolo empruntée à Tina de Ai Yori aoshi, et la fille à lunettes aux gros seins et un peu timide… Bon faut vraiment que je vous fasse un dessin? ça sent le réchauffé!

Seulement voilà, y’a quand même une idée fort intéressante dans tout ça. Notre héros va faire donc la connaissance de l’héroine, Suzuka, qui est une athlète ma foi d’un fort beau gabarit, qui s’amuse au saut en hauteur. Elle est vachement bonne (en athlétisme hein, bande de pervers…) et a fait un petit record dans son école en sautant au dessus de 1m69. Elle forme donc tous les espoirs de ses camarades de classe, professeurs, et connaissances.

Voilà en gros pour l’intrigue de base. Tout ce que je peux vous dire, c’est que pendant 19 minutes, l’anime m’a laissé totalement de marbre. Générique bof, designs bof, histoire bof, humour bof, clichés bof, et puis lors de la dernière minute, il se passe un truc dont je ne vais évidemment pas vous parler… Mais vous verrez bien 🙂 Une excellente surprise en tous cas, et ça m’a donné envie d’en savoir plus. A suivre, donc, mais pas trop quand même.

Un peu de shopping

Regardez donc ce que j’ai trouvé sur le site de Hobbylink Japan dans les « Newest Releases » des choses à porter…

Moi je dis y’a quand même de l’abus… grave 🙂 Surtout le T-shirt « Reptile & Hentai ». Aaah ce Pochi de He is my master!

Le dernier objet étant une serviette de bain (elles sont bien grandes, j’en ai une de Mahoro et Minawa déjà) vu que ce n’est pas évident à deviner.

Vous pouvez cliquer sur les images pour obtenir plus d’infos sur les objets, leur prix, tout ça. HLJ est un excellent site d’achat. Leurs prix ne sont pas les meilleurs mais leurs produits sont tous originaux (No HK !). Par contre niveau disponibilité des produits, faites un rush sur ce que vous voyez, car bien souvent les produits ne sont pas disponibles tout le temps et sont vite épuisés!

Bon shopping!

Atelier Iris: Eternal Mana

Ca faisait un moment que je vous avais pas bassiné avec un nouveau jeu, hein?

A vrai dire, je suis arrivé au dernier boss de La Pucelle Tactics et, très mal préparé (évidemment on me dit rien à moi!) j’ai sauvegardé là où il fallait pas, et je ne peux plus revenir en arrière pour faire le plein, et il y a un put1 de chemin long et peuplé de monstres avant le dernier boss.

En conclusion, je dirais: une vraie merde de boss de fin.

Mais revenons à Atelier Iris: Eternal Mana. Visiblement nouveau volet d’une longue série (un peu comme les Final Fantasy) mais n’ayant rien à voir avec les précédents, ce RPG de 2005, sorti aux US en Mai, frappe tout d’abord par sa beauté graphique jamais vue sur PS2. Et je ne parle pas de 3D, ici c’est uniquement de la 2D, et de la 2D très fine, qui ne pixelise pas et qui ne bave pas.

Je n’ai pas joué très longtemps, mais le début m’a bien plus. C’est leché, très bien doublé (voix japonaises ou américaines au choix) et la profondeur du jeu a l’air abyssale, grâce notamment à un concept, celui de l’Alchimie.

Oui, comme dans l’anime Full Metal Alchemist, vous allez pouvoir extraire des éléments des bouts de décor. Ca a l’air concept et ça l’est. Le système est vraiment sympa car après, vous pouvez lancer des sorts avec ces éléments…

Bref, pour l’instant je ne peux pas en dire plus, mais vous pouvez jeter un oeil à ces quelques screens, dans la suite de ce billet, si vous êtes intéressés.

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