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Kanokon

Voici le premier billet que je vous écris sur la Release Candidate 1 de Dotclear 2, qui je vous le rappelle, permet à Meido-Rando d’exister, ce qui n’est pas rien. Vous n’avez vu aucune différence? Pour le moment! Et moi j’en vois depuis mon nid douillet d’admin , comme la possibilité d’intégrer directement des vidéos youtube sans passer par un artifice de goret, ou encore la possibilité d’importer des mp3 et flv et de les lire directement depuis le site. La technologie m’épatera toujours.

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Et pourquoi je vous parle de tout ça, me demanderez-vous? Tout simplement parce qu’il n’y a rien à dire sur Kanokon.

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Absolument rien.

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Bon d’accord, je vous livre au moins le pitch alors:

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Kouta est un jeune garçon tout ce qu’il y a de plus chiant et banal, et se paye même le luxe d’être un shota par excellence (c’est à dire qu’avec la seiyuu de Aya dans Ichigo 100% ça n’aide pas beaucoup, mais c’est vraiment un coup de génie.) . Sauf que voilà, il a une jeune fille dans sa classe, un peu blonde et surtout dotée d’une poitrine généreuse à faire rougir Mikuru et à faire pâlir d’envie la Déesse qui est prête à tout pour sortir avec lui. Non, sortir est trop faible, en fait. Cette fille est une chaudasse comme diraient les jeunes à casquette. Une violeuse de garçons.

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Chizuru donc, cette fille va presque parvenir à ses fins, sauf que sa véritable identité est revelée à la fin du premier épisode: elle est un esprit démoniaque de renarde (avec des oreilles et une queue qui ressemblent beaucoup à Horo de Spice and Wolf, à moins que ça ne soit l’inverse.) et son but dans la vie sera de fusionner avec Kouta pour montrer au monde entier leur amour (mais Kouta ne l’entend pas trop de cette oreille, en tant que faible mâle). Ca donnera d’ailleurs un Kouta avec des moustaches et des oreilles de renard. On apprend vite que le monde entier est infesté de démons qui vivent parmi les humains…

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A cela vous ajouterez l’arrivée d’une esprit démoniaque de loup qui va tenter de voler Kouta à Chizuru. Nozomu, de son petit nom est un personnage encore plus vide que Chizuru puisqu’elle cumule les poncifs du personnage typé Ayanami: cheveux bleus, delicious flat chest, parle peu mais bien… Bref, inintéressante au possible.

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Et c’est là que vous êtes sensés vous demander pourquoi je regarde toujours cette série même après 5 épisodes de vide absolu à peine drôle?(l’épisode avec le costume de bunny girl maudit m’a quand même arraché quelques sourires) Hé bien, je vais vous avouer un truc: je suis un homme faible, très faible, et la raison pour laquelle Kanokon reste dans ma liste d’animes à regarder tient en deux mots: Ayako Kawasumi.

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Ayako Kawasumi double Chizuru, et ça messieurs, c’est absolument terrible pour le fanboy que je suis. La doubleuse de la très chaste Mahoro que j’idôlatre tant se met à parler comme une chienne en chaleur les trois quart du temps, comme "Si ça a le goût de Kouta-kun alors je le mange!" ou "Je ne l’ai jamais fait avec un garçon…" et autres joyeusetés que je vous laisserai découvrir. Entendre cette voix crystaline et si douce sortir de tels mots, ça en est trop pour mon cerveau, qui ne peut s’empêcher de voir Mahoro dans mon esprit lorsque Chizuru parle.

Et c’est ainsi que j’ai subi un Kernel Panic cérébral.

Je suis faible.

Kamen no Maid Guy

Il était temps! Oui je sais, ça fait un moment que je devais blogger les séries de cette saison, mais de nombreux impératifs sont venus se greffer à mon temps libre. Et puis je voulais attendre quelques épisodes avant de me décider.

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Kamen no Maid Guy est donc un anime dont on a pas mal entendu parler avant sa sortie du fait de ses personnages assez atypiques. Imaginez plutôt un mec bien baraqué répondant au doux noms de Kogarashi qui est habillé en maid, et porte un masque. Et là vous avez l’idée du siècle, vous êtes partis pour un délire incroyable, et vous sentez que le monde de l’animation va trembler sous vos pieds.

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Seulement voilà, dans la pratique Kamen no Maid Guy échoue à nous faire rire. Ca partait d’un bon sentiment, mais le mieux qu’il ait pu obtenir de moi, c’est un petit sourire plaisant. La série semble avoir du mal à trouver ses marques, mais cela reste a peu près plaisant à regarder, surtout grâce à Fubuki, la maid elle tout à fait normale qui accompagne Kogarashi (et qui le remettra dans le droit chemin plus d’une fois.)

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Car Kogarashi est quand même un sacré bon pervers avec sa jeune maîtresse Naeka. L’histoire dans tout ça? Aaah oui, y’a une histoire quand même : Naeka et son frère vivent dans une baraque dont ils s’occupent à peine parce que Naeka voulait vivre éloignée de la vie de luxe de sa famille. Mais voilà, son grand-père se fait vieux, et Naeka est en fait la prochaine à reprendre la lignée dans la famille, et elle a besoin de protection. C’est pourquoi le grand-père, qui adore les maids, leur en offre deux qui leur conviendront parfaitement. Une maid jolie et sérieuse pour le petit fils et un Maid Guy très GAR pour Naeka. Il aurait pu choisir mieux, ça nous aurait permis un peu plus de yuri.

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Vous l’aurez compris, ça ne casse pas trop pattes à un canard. Ca reste plaisant à regarder sans êtrre excessivement drôle. En bref c’est une bonne série pour se débrancher le cerveau pour le moment, sans que cela ne soit à mourir de rire. A suivre donc avec modération.

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Et non, Kogarashi ne fera jamais partie des Maid Of The Day.

MaOTD #193

Cette meido faisant partie de ma garde, elle ne peut être mise en vente. Néanmoins, je pourrias réviser mon jugement si de bonnes offres en maid points me sont faites… 🙂

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MaOTD #192

Un costume classe (/me aime beaucoup les gants longs) et des lunettes, cette meido sérieuse est en vente à 1 200 Maid Points, plus 1 Maid Point si vous voulez changer ses lunettes.

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MaOTD #191

Saber et Rin semblent bien s’entendre, mais ça on le savait déjà, n’est-ce pas? Vu la forte demande et la difficulté que Maid Corp. éprouve à se fournir en stocks suffisants, ce duo de meido est à 24 998 Maid Points. A vot’ bon coeur.

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Lucky Star DVD US Vol. 1

J’ai donc reçu ce matin (avec une nouvelle batterie très longue durée pour mon camescope) le premier volume Limited Edition de Lucky Star en version américaine. Comme je me l’attendais le déballage fut jouissif :

Outre le t-shirt d’un goût discutable mais certainement second degré, on y trouvera un nettoie-ecran en forme de koropan, ainsi que le CD Character Song de Konata et le CD Single de l’opening. Bien sûr, la boîte contient également le DVD. La grande boîte, elle, vous rappellera furieusement celle de Haruhi aux Etats-Unis.

Quelques petites choses à noter:

  • Le boîtier DVD contient un petit livret de 4 pages expliquant toutes les références obscures et choix de traduction des épisodes contenus sur le DVD. Du très bon boulot, bien documenté.
  • Le DVD contient les bonus habituels (Op creditless, etc.)
  • D’un point de vue traduction, ils ont fait le choix de garder les suffixes honorifiques Japonais. Cela fait un peu étrange au début d’entendre une voix anglaise appeler Miyuki "Miyuki-san" par exemple mais on s’y fait. Il sexpliquent leur choix par une volonté de conserver l’authenticité des relations entre les personnages via la façon dont ils s’appellent entre eux.
  • Les voix sont pour la plupart très bien choisies, sauf celle de Konata qui fait vraiment blasée de chez blasée. On a du mal à sentir son côté à la fois mignon et otaque.
  • La qualité d’image est excellente. Les traits sont fins et les couleurs chatoyantes, a mille lieues des fansubs. La compression ne se fait sentir à aucun moment durant le visionnage. Je regarde l’écran d’assez près pour vous en parler.
  • L’ending est chanté en japonais mais tous les dialogues sont en anglais, ce qui est un peu étrange: le mélange anglais / japonais perturbe pas mal. C’est assez intéressant comme méthode. Personnellement j’aurais adoré que les doubleuses américaines tentent de chanter japonais!

Voilà, sinon à part ça, je suis content. Reste à voir si je vais oser porter le t-shirt à Epitanime… ou pas.

Autopsie d’une voyageuse du temps

Bon alors voilà, avec Corsaire on a désossé Mikuru, mon fidèle serveur de fichier (maintenant remplacé par Tomoyo) qui était victime d’un firmware mal flashé.

Maintenant la question que je me pose c’est: quelqu’un ici sait comment on flashe une puce Spansion S29GL032M90TFIR3 ? 🙂

MaOTD #189

Emma représente avec Mahoro un modèle de Meido que toutes devraient suivre. Son prix est inestimable, même moi j’ai du mal à l’estimer.

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(Oui, c’est un gag pourri inspiré du doublage foireux de Ken Le Survivant)

Manga Catch-up – Avril 2008

Vous vous demandez sûrement pourquoi aucun post sur la nouvelle saison d’animés n’a encore vu le jour dans ces colonnes. La raison est simple: je suis en train de regarder en ce moment tout Battlestar Galactica jusqu’à la fin de la saison 3, alors forcément à coup de 45 minutes par épisode, c’est très long, mais très prenant. Enfin, je dois de toutes façons commencer à regarder rapidement quelques séries comme Kyouran, Kamen no Maid guy, Kanokon ou encore Kurenai et Code Geass 2…

Pour ceux qui nous ont rejoint récemment, "catch-up" signifie rattrapage en anglais, et est un type de billet où je donne mes impressions rapides sur l’évolution de telle out elle série. Parfois ce sont même des séries dont je n’ai pas parlé sur Meido-Rando, à cause de la flemme ou bien parce que la série n’en valait pas spécialement la peine.

Le dernier catch-up datant d’Aout 2007, il était temps de faire le point.

  • Angel Heart : Après autant de volumes (22 il me semble) on pourrait se demander comment Tsukasa Hojo arrive à continuer à sortir des histoires. Pourtant il montre tous les signes d’un auteur qui s’essoufle: intrigues recyclées, concepts qui reviennent souvent comme le travestissement, la drogue, ou encore les personnages dont le design est carrément repompé d’ailleurs. Vous ne trouvez pas que Glass Heart ressemble grâve à Shion de Family Compo vous? Malgré tous ces poitns négatif, c’est toujours aussi superbe visuellement et agréable à suivre.
  • Fushigi Yuugi : La légende de Genbu : La seconde ‘saison’ de Fushigi Yuugi reste égale à elle-même : une sorte d’aventure shoujo. Sauf que comme Tsukasa Hojo, Yuu Watase continue à faire des dessins superbes et une hsitoire qui se laisse lire bien que parfois un peu complexe, surtout que les tomes sont facilement espacés de six mois. Mais ne crachons pas trop dans la soupe, car la sortie des versions françaises colle de près à celles japonaises, c’est assez rare pour être souligné. Ah oui et Takiko est quand même bien meilleure héroine que Miaka, y’a pas à dire.
  • Girls Bravo : Je prends souvent les mangas de séries que j’ai déjà vues, parfois par simple curiosité, parfois parce que je les aime vraiment énormément. Pour Girls Bravo c’était plutôt la curiosité, et ça fait bizarre de revoir des passages qu’on a vu en anime mais sans vapeur cette fois. Ca reste un manga plaisant qui se prend pas au sérieux et bourré de fanservice. Pas indispensable donc.
  • Unbalance x Unbalance : Toujours aussi sympa à lire, ce manwha contant les relations ambigues entre une prof et l’un de ses élèves reste bien dessiné. C’est étrangement l’un des mangas que j’attends le plus lors de mes livraisons, sans que je ne puisse exactement expliquer pourquoi. Au niveau de l’histoire, ça continue à avancer avec son lot habituel de nouveaux personnages secondaires, de révélations et de résolutions prises par les héros. C’est certain que ça casse pas des briques mais ça reste vraiment agréable à lire
  • Ah My Goddess : Alors là comment dire… Avec des histoires toutes plus anecdotiques les unes que les autres, aucun avancement dans le scénario et des dessins que je trouvais limite plus beaux y’a 15 ans, Ah My Goddess s’essouffle gravement. Ils pourraient ouvrir un maid café de déesses que ça relancerait à peine l’intêret, c’est vous dire. Le problème avec de longues séries comme ça, c’est qu’on hésite à arrêter car on veut connaître la fin, même si dans 50 ans on y sera encore. Comment AMG pourrait-il finir, tiens?
  • Suzuka : A ne pas confondre avec la charmante et pétillante présentatrice de Nolife, Suzuka suit les grandes lignes de l’anime (ou plutôt l’inverse) sans vraiment de différences fracassantes. J’aurais préféré quand même que le manga avance plus vite, car présentement on se retrouve seulement environ au 13ème épisode de la série (estimation à la louche). Malgré des bouches un peu bizarres, c’est toujorus aussi bien dessiné.
  • Monsieur est servi / Hanaukyo Maid Tai : HMT arrive à sa conclusion au bout de 12 ou 13 volumes (là comme ça je me souviens plus) et il va être très difficile d’en faire des éloges. Pour l’histoire, j’ai découvert HMT en anime, quand c’était le studio m.o.e. qui s’en occupait, en 2001. Ils avaient pris pas mal de libertés avec l’idée initiale, faisant de Taro un clone avant l’heure du héros de Girls Bravo. Taro était allergique aux filles, sauf à Mariel. Le tout était très léger et plein d’humour (sans compter que dés le deuxieme épisode, les triplettes nymphomanes réveillent leur maître par une gâterie au lit, si si je vous jure.) et ne se prenait pas au sérieux pour deux sous. Depuis m.o.e. a coulé sans terminer la série (inachevée abruptement au 15ème épisode) et un autre studio a repris le flambeau pour sortir "La vérité", plus fidèle au manga. Le problème c’est que le manga est mauvais. Il se prend au sérieux et tente d’inventer une histoire complètement capilotractée à base de clones de Mariel et de Taro qui ne sont pas ce qu’ils croient être. En plus de ça la fin est tout sauf convaincante, bref pour moi c’est une grande déception et je garderai la première saison inachevée comme souvenir de HMT.
  • Emma : Toujours aussi bien dessiné et agréable, l’immersion est telle qu’une fois le manga refermé, on se rappelle soudainement qu’on est au XXIème siècle. C’est un manga de maid mais sans fanservice, où la romance prime et où on sent que l’auteur s’est très bien docuemntée sur l’époque. Ca change des habituels mangas se déroulant au japon, ancien ou présent. Bref, c’est toujours aussi bon.
  • He is my master : La version manga est relativement anecdotique par rapport à l’anime du même nom. Bref, si vous avez déjà vu l’anime, passez votre chemin.
  • Keroro Gunso : Vu le nombre d’épisodes et le succès de la série, on peut se douter que les scénaristes ne chôment pas, et en effet on trouve toujours un délire à exploiter avec Keroro et sa troupe. C’est tellement délire qu’on se demande bien comment ils vont arriver à envahir la terre. Bref, les tomes se suivent et ne se ressemblent pas, il y a juste la couverture que je trouve absolument hideuse, mais ça me regarde, ça.
  • Love Collage : LC est l’autre manga de l’auter de Midori no Hibi (Midori Days de part chez nous). Le héros est un fétichiste de parties bien différentes chez les femmes. Il aime certains types de jambes, de poitrines, de voix, de cheveux… C’est un pervers, mais un pervers noble comme on dit. Et il va tomber sur une pension avec quelques résidentes qui bien sûr auront chacune un élément qui lui plait. A noter également qu’un autre personnage est fan de maids. C’est donc sur l’avis éclairé de Rosalys que je me suis plongé dans ce manga sans prétention qui se laisse lire, malgré de super gros clichés du style harem par moments. Je pense néanmoins que le héros a plus d’un tour dans son sac… A suivre, donc.
  • Highschool girls : Toujours aussi vulgaire, toujours aussi débile, je continue néanmoins à lire pour voir jusqu’où ça peut aller. Ce qui est sûr c’est qu’on ne croit pas un seul instant que les jeunes japonaises puissent être comme des mecs, mais en fille. C’est pas possible.