MaOTD #384
Pour les plus fortunés qui possèdent déjà plusieurs meido, celle-ci est un complément indispensable à votre armée. Douée d’une autorité sans égale et d’un sens du commandement, elle vous permettra de diriger plus efficacement vos troupes. Vendue 15 000 Maid Points sous présentation d’un permis de Goshujin-sama de niveau 5 ou plus.
Grand Tournoi des Seifuku – Poules 7 et 8
Bonjour à tous et bienvenue au pays merveilleux des maids asservies à un maître tyrannique ! Ici FFenril (oui, le type au pseudo pourri qui emmerde son monde pour ses 2 F sensibles à la casse de FFenril.info, oui), invité spécialement à Maid-Land pour vous présenter cette 4e poule du tournoi des seifukus !
Ici Axel, nous voici déjà à la 4ème semaine de poules. La moitié du chemin est faite, et déjà des participants très différents, parfois inattendus, sont sortis du lot.
Lorsqu’Axel est venu demander qui voulait présenter une phase du tournoi, j’ai immédiatement sauté sur l’occasion, histoire de me faire encore mousser auprès de la blogosphère mettre mes "talents" au service de Maid-Land et de soulager Axel d’un poids dans l’organisation de ce concours si terrible.
C’est trop gentil! Ceci étant dit cette organisation a pour but avant tout de faire participer un peu tous les bloggueurs de l’otakusphère francophone, tout du moins ceux qui le désirent. Pour l’instant les places sont bookées jusqu’à la fin des poules, les autres préfèrent attendre de savoir quel matches ils vont devoir présenter pour se décider.
Tout d’abord, l’annonce des résultats :
Poule 5 :
- Bible Black : 42,16 % – 226 voix
- Code Geass – 27,43 % – 147 voix
- Negima! – 19,03 % – 102 voix
- Magic Knight Rayearth – 11,38 % – 61 voix
Poule 6 :
- Vampire Knight: 35,24 % – 185 voix
- Discipline : 34,86 % – 183 voix
- Sayonara Zetsubou Sensei: 20,19 % – 106 voix
- KareKano: 9,71 % – 51 voix
Félicitations à ceux qui passent au tour suivant, à savoir Bible Black (wut ? C’est si fun les bretelles ?), Code GayAss Geass (… mouais…), Discipline (O_o) et Vampire Knight (celui-là, soit)… Bref une semaine qui a vu les uniformes "originaux" gagner face aux uniformes plus "classiques"… Dommage pour Magic Knight Rayearth, Negima!, Kare Kano et Sayonara Zetsubou Sensei.
A noter que Discipline s’est fait doubler au dernier moment par Vampire Knight. Alors, VK sera-t-il l’outsider de ce tournoi? C’est vrai que son seifuku a du charme…
Avant de passer à l’annonce des combats sanglants de la poule 7, permettez moi de vous rappeler ceci : Vous ne votez pas pour un concours de popularité. Certes, il vous est peut-être difficile d’imaginer l’uniforme sans la fille dedans, mais que voulez-vous ? Ce sont les dures règles de ce tournoi ! Nous sommes des personnes de grand standing voyez-vous, et tels de grands couturiers, ce sont nos visions du monde que nous exposons en votant pour nos uniformes préférés ! Ah, on me signale aussi dans l’oreillette que pour vous aider à juger, il va falloir que je mette des notes… Mais qui suis-je, pour juger de la facilité d’habillage d’un uniforme ou sa capacité à être lavé ? Je n’ai jamais essayé ! En tout cas, pour vous aider à juger uniquement de l’uniforme, les images de présentation de cet article ont été optimisées afin de vous permettre de vous focaliser uniquement sur les uniformes ! Pour votre information, toutes plaintes pour dégradations des artworks de vos séries préférées sont à adresser à axel_tout_est_de_ta_faute@meido-rando.net, moi je m’en lave les mains à la solution hydro-alcoolique… Sans plus attendre, commençons !
Poule 7 ! Azumanga Daioh VS Suzumiya Haruhi no Yûutsu VS Myself;Yourself VS Seto no Hanayome
Azumanga Daioh
L’uniforme d’Azumanga Daioh, comme vous pouvez le constater, est… Rose. On peut également constater sa teinte rosée, mettant particulièrement en valeur son côté rose accentué par un rose tout à fait bien senti. Les plus observateurs verront que derrière ce rose semblant tout à fait banal se cache un second rose plus discret et original, qui ne manquera pas de charmer les amateurs de rose. Ces roses marinières ont également l’avantage d’être portées par des jeunes filles en fleur, et savoir ça, c’est voir la vie en rose. Je vous prie de noter que l’uniforme d’été est strictement identique, en raccourcissant les manches et remplaçant « rose » par « bleu ».
En même temps, l’uniforme d’Azumanga est très classique, je ne sais pas s’il remportera beaucoup de suffrages…
- Originalité : Z. Et encore, je passerais bien à l’alphabet grec.
- (Dés)habillage : … M’en posez des questions vous… D’enfin, une minuscule jupe combinée à un T-shirt virevoltant doivent rendre ça facile. B+
- Lavage : A++. Forcément…
- Bonus : On me souffle « dis zettai ryouiki ! » … Jamais tellement compris mais soit…
Suzumiya Haruhi no Yûutsu
L’uniforme de Suzumiya Haruhi no Yûutsu est un uniforme ultra connu des otakus et part donc avec un avantage plus que certain dans ce concours, d’autant plus qu’il est relativement agréable à l’œil malgré son relatif classicisme. C’est pour cette raison que je vais détruire l’image mentale que vous en avez pour l’amener sur un pied d’égalité avec les autres : Le secret du succès de l’uniforme de Haruhi réside dans le fait que… Il est en réalité basé sur le Gundam ! Reprenant exactement les mêmes dominantes de couleur, il en est directement inspiré, et c’est donc pour ça qu’il utilise ces couleurs qui plaisent tant aux enfants : le bleu, le blanc et le rouge ! Moeagare ! Moeagare ! Moeagare ! Haruhi !
Quel dommage que l’on ne pouvait pas présenter l’autre uniforme, qui est facilement dix fois plus classe que le normal. Mais soit, on ne voit malheureusement que Haruhi le porter, et un autre personnage aussi, mais je ne dirai pas lequel…
- Originalité : C. Se laisse bien regarder quoi.
- (Dés)habillage : On va compter le nombre de dôjinshis et faire une moyenne… Ouais non, S+++ ne serait pas adapté. Bon, ben, B?
- Lavage : B-. Passez le au pressing, ça évitera de délaver votre Gundam.
- Bonus : Vous n’avez pas envie de tirer sur les petites espèces de rubans qui trainent, vous ? Bon et puis en choisissant cet uniforme, vous augmentez de 99% les chances que la fille qui le porte soit une déesse / une habitante du futur / une interface d’administration de phpMyAdmin.
Myself;Yourself
Le truc drôle, avec Myself;Yourself, c’est que personne ne m’a fait de topo dessus. Alors j’en ai vu un épisode, eu des retours relativement moyen, et surtout… Je n’ai fichtre aucune idée de quel uniforme je dois parler. Quoi j’exagère ? Nan mais regardez cette image ! Il y a trois uniformes différents qui sont montrés ! Certes, il y a une prof dans le lot, mais faut quand même choisir quoi… Bon, en temps que personne raisonnable, on va parler de l’uniforme de l’héroïne. Portant une veste noire avec marinière et une jupe vert/grise foncée, les filles de Myself;Yourself sont bien loties avec leur uniforme sobre mais efficace, et regrettent que leurs uniformes soient tombés dans une poule si difficile. Elles ne perdent néanmoins pas espoir… Fight, Seifuku !
J’aime beaucoup le haut, personellement. Un uniforme très sage et joli à la fois. Sans compter que M;Y est une de mes séries préférées de 2008.
- Originalité : C. Se laisse regarder, encore.
- (Dés)habillage : … On peut supposer qu’il faut virer la veste et tout ça… Allez, C.
- Lavage : A. Une ou deux couleurs, ça passe… (Mais quelqu’un pourrait me dire en quoi ce critère est intéressant ? C’est pour ceux qui auraient envie d’en acheter et d’en porter un ?)
- Bonus : Zettaaaaaaaaaaaaaai ryouikiii
Seto no Hanayome

Aaah, Seto no Hanayome. Dans cette comédie hilarante, collaboration entre AIC et Gonzo, l’uniforme est malheureusement loin d’être le plus remarquable de tous. Relativement peu tape à l’œil avec son mélange de blanc et de rose (mais pas aussi rose que chez nos amies d’Azumanga Daioh), cet uniforme se compose d’une marinière toute simple et d’une jupe qui l’est tout autant… On se consolera en se rappelant que la jupe peut par moment, dans la série, laisser entrevoir une queue… de sirène.
MASA-SAN!
- Originalité : D. J’suis désolé, (Masa-)San ;_;
- (Dés)habillage : C. Ça doit être normal hein…
- Lavage : B+. Du blanc et du clair, ça doit bien passer.
- Bonus : ……… Euh, si vous ne votez pas pour, des yakuzas des mers vont venir vous casser la gueule ?
Poule 8 ! Air VS Hyakko VS Maria-sama ga Miteru VS School Days
Air
Je tiens à profiter de cette chance que j’ai de brasser de l’Air pour dénoncer l’avantage honteux du clan KeyAni dans ce tournoi, avec l’intégralité des uniformes des 3 différents animes présents. Comme si ça suffisait pas, il va m’être relativement difficile de dire du mal de l’uniforme d’Air (vu qu’on m’a interdit de dire « il vient d’une série loupée », puis qu’en plus j’aime bien le film), qui est franchement sympathique dans son genre : Surplombé au col par une petite croix du plus bel effet, l’uniforme présente une longue et virevoltante jupe du plus bel effet, mettant en valeur le petit foulard rouge se trouvant au col. Zut, je l’aime bien en fait.
L’uniforme est joli, mais est-ce qu’il en vaut la chandelle? Je pense que mon vote ira pour celui-là dans cette poule…
- Originalité : B. Pas tellement original, juste la petite touche qu’il faut.
- Dés(habillage) : D. A priori, ça n’a pas l’air simple. On va oublier que Air est un eroge à la base hein…
- Lavage : C. Ne mélangez pas le clair et le foncé, sauf avec la lingette décolor stop!
- Bonus : Tori no Uta est le thème de l’uniforme ! … Non ? Bon euh… une longue jupe, ça change de tout le reste des dévergondées ?
Hyakko

Aaah l’uniforme de Hyakko. Vous m’en faîtes un bonne blague. Non, sérieusement. D’abord, Hyakko, c’est quand même relativement naze comme comédie, et revoir le character design clairement peu inspiré de la série n’est pas quelque chose qui me fait plaisir outre mesure… Mais par dessus tout, je suis censé parler de quel uniforme ? Non parce que regardez l’artwork principal de la série ! 4 filles, 3 uniformes différents (ou variations) ! Et contrairement à Myself;Yourself, je ne peux absolument pas dire qui est l’héroïne ! Bon, on va choisir de parler de l’uniforme de Torako, la demoiselle la plus en avant sur l’image.
… Ouais, voilà voilà… C’est vert, sauf un orange du plus mauvais goût sur la jupe… Puis la cravate et la chemise, bwof quoi… Bon rattrapons nous à côté ! … Ouuuuch le méchant beige sur la veste ! Bon encore à côté… Ah mais c’est le même beige sur le blazer ! … Bon euh… Pour si vous aimez quoi…
- Originalité : C. Même si d’un côté, on peut applaudir d’avoir osé utiliser cet horrible orange, et que la chemise n’est pas si courante…
- (Dés)habillage : E. Ben quoi, c’est quand même horrible à déboutonner une chemise, alors si en plus elles rajoutent une veste ou un blazer par dessus…
- Lavage : C… Le orange, ça doit déteindre, non ?
- Bonus : Du zettai ryouiki.. Serait possible, mais à la place une des filles a juste des horribles collants moches et très grands. Bleh.
Maria-sama ga Miteru

L’uniforme de Maria-sama ga Miteru est certainement… Uni. Noir (ou bleu foncé, ou vert foncé, ça doit dépendre des artworks et/ou des années), marinière, longue jupe, foncé, euh… Voilà voilà… Il porte des jeunes filles en fleur pur qui ont des sentiments tendres et poétiques les unes pour les autres, et c’est bien ?
Trop sage, mon enfant, trop sage. Gageons que la fanbase de Maria-sama ga miteru continue à dormir et ne vienne pas pourrir ce tournoi.
- Originalité : D. L’uniforme de Maria-sama est un sacré classique, vraiment pas grand chose à en dire.
- (Dés)habillage : B. Après avoir tiré le nœud nœud, ça doit plus être bien dur, sûrement…
- Lavage : A. Légèrement moins simple que pour Azumanga Daioh vu qu’il y a un peu de blanc, mais bon…
- Bonus : Eeeeuh… Je sèche là… La jupe est longue et donc ça renforce la pureté des demoiselles qui le portent ? Ouais, ça va être bien ça…
School Days

Des fois que vous ne soyez pas au courant, je pense le plus grand bien de School Days. Comme je risque d’être plutôt partial, mon amour pour cette série risquant de déborder jusqu’à encenser de trop l’uniforme, je vais m’efforcer d’être strict avec lui pour ne pas la favoriser de trop. Sachez donc que l’uniforme de School Days est un uniforme noir et blanc, relativement peu joli, avec un nœud nœud rouge en haut à enlever pour déballer les paquets cadeaux, et une jupe relativement courte en bas pour voir les dessous des demoiselles de petite vertu de cette série.
Quoi que l’uniforme de School Days a de nombreux avantages: stylé que voulez-vous, j’aime beaucoup les blazers) et avec du zettai ryouiki. Il a peut-être le désavantage de trop mettre en valeur les poitrines de celles qui le portent.
- Originalité : B. La preuve s’il la fallait que « très relativement original » peut aller avec moche.
- (Dés)habillage : C. Ça n’a pas l’air simple vu comme ça… Ceci dit, dès qu’on a vu l’anime, on se dit qu’il doit y avoir un truc en fait, et que la véritable note devrait être S++. Toutes des pouffiasses là dedans.
- Bonus : Zettai bidule. Nice boat !
Voilà, c’est tout pour cette quatrième poule ! Je vous rappelle que vous ne votez bien entendu pas pour la série ou la fille, mais bien pour la beauté (ou absence de beauté) de votre uniforme préféré… À vos votes, prêts ? Partez !

Vivio est partie voter avec sa moustache de soirée ! 🙂
(Et sinon, si Axel s’en souvient et que je ne suis pas banni à vie de Maid-Land après ceci, pour la phase finale… I’ll be back !)
Je m’en souviens 🙂
Grand Tournoi des Seifuku – Poules 5 et 6
Bonsoir, nous voilà donc partis pour les poules 5 et 6 du grand tournoi des seifuku.
Ici Axel, bienvenue au tournoi des Seifuku! L’autre là c’est Kohaku, mon Butler d’elite N°1. Vous excuserez si je ne parle pas beaucoup mais à l’heure ou j’écris ces lignes je suis en train d’enregistrer le 4ème Skouetch avec mes collègues habituels.
A l’heure où j’écris ces lignes, j’ai encore l’espoir de pouvoir poster ce billet à l’heure, après avoir pleuré des larmes de sang durant ma recherche d’images correctes pour l’illustrer (par contre pour raconter des conneries pas de problème).
Même s’il n’est que 19h, je peux déjà prédire les victoires (écrasantes) de Nogizaka Haruka no Himitsu et Shugo Chara dans leur poules respectives, et les victoires plutôt honorables de Green Green et Angelic Layer.
Pour les résultats des poules précédentes:
Poule 3:
- Nogizaka Haruka no Himitsu : 44,85% / 270 voix
- Green Green : 25,58% / 154 voix
- Hidamari Sketch : 16,45% / 99 voix
- Sailor Moon : 13,12% / 79 voix
Poule 4:
- Shugo Chara : 43,55% / 253 voix
- Angelic Layer : 22,72% / 132 voix
- Kanokon : 21,34% / 124 voix
- Minami-ke : 12,39% / 72 voix
Sans grande surprise donc, on a des victoires assez prévisibles, avec néanmoins Angelic Layer qui a eu du mal à se démarquer de Kanokon avant la fin de la semaine.
Poule 5 : Bible Black – Code Geass – Magic Knight Rayearth – Negima
Une poule qui pourrait s’avérer saignante au niveau des fanbases, étant donné que l’on a un eroge qui tache, DEUX séries de Clamp et une de Ken Akamatsu. Cependant, malgré la diversité de leurs origines, on peut remarquer que tous ces seifuku ont en commun des jupes assez courtes.
Bible Black :
Etant pur et innocent je n’ai évidemment pas vu Bible Black, ni joué à l’eroge dont il est originaire. Or donc, nous avons ici un seifuku assez original, composé d’une jupe très courte (pour les besoins de l’histoire), et pour le haut, une sorte de blazer noir à bretelles avec des boutons jaunes au niveau des seins, avec une cravate rouge et blanche (car ce sont des filles distinguées) et une chemise blanche à manches longues avec quelques symboles noirs au niveau des manches et du col (blancheur qui comme l’avait précisé Segjigen, est symbole de pureté *KOF KOF KOF*)
- Originalité : B
On a ici un seifuku plutôt original, avec un haut qui (à ma connaissance) n’a pas d’équivalents dans d’autres animes, et qui est assez marquant malgré l’utilisation de couleurs assez classiques.
- (Dés)habillage : A
Bien qu’il ait l’air compliqué à enfiler, étant donné l’anime dont il est issu, je pense qu’on peut raisonnablement supposer que l’uniforme est *très* facilement retirable.
- Lavage : C
Du blanc, du noir et du rouge, il faudra donc séparer la chemise du reste pour laver cet uniforme (qui doit probablement souvent être taché).
- Bonus : B
Bien qu’il soit tiré d’un eroge infâme plein de perverses aux bonnets dépassant l’entendement, cet uniforme est somme toute assez classe et original, et plaira aux personnes pures n’ayant pas vu la façon dont il est dégradé, notons que la jupe très courte offre une possibilité de zettai ryouiki, ce qui est un atout extrêmement important pour tout seifuku.
Code Geass :
Le seifuku de l’école Ashford, i.e. une école de gros bourges. Il est composé d’une jupe noire très courte, d’une chemise blanche, une cravate vert foncée avec un design dessus, et un blazer beige à manches longues.
- Originalité : C
Ce seifuku est assez classique : jupe simple et blazer qui ne se démarque pas vraiment malgré les 2 rangées de boutons et la ceinture.
- (Dés)habillage : B
Le blazer peut présenter quelques difficultés lors de l’enlevage d’uniforme (il semble très serré), le reste ne devrait pas poser de problèmes.
- Lavage : A
Rien ne semble poser de problème pour le lavage de cet uniforme, qui passera sans problème dans votre machine.
- Bonus : B
Encore une fois, la jupe très courte offre une possibilité de zettai ryouiki (et de pantsu shots), et le design et le prestige de l’uniforme permettent de l’utiliser comme habit de ville si nécessaire.
Magic Knight Rayearth :
Une série de chez Clamp, qui nous offre un joli seifuku avec jupe noire (courte), et un haut à manches longues rouge et blanc aux extrémités, ainsi qu’un neud blanc sur le devant.
*Originalité : B
C’est le noeud blanc sur fond rouge qui fait l’originalité de cet uniforme.
- (Dés)habillage : B+
Ce seifuku est assez facile à enlever, pour le plus grand bonheur de tous.
- Lavage : C
Mieux vaut passer au pressing pour éviter d’avoir un col rose à la sortie.
- Bonus : B+
Très adapté au viol : une jupe courte, un noeud pour attacher les bras fourni avec la victime. Sinon encore une fois vous pouvez agrémenter cet uniforme d’un zettai ryouiki, et prendre des pantsu shots sans trop de peine.
Negima :
Voici donc l’uniforme de l’école Mahora, école pour filles. Ce seifuku est assez classique : une jupe à carreaux rouge (c’est la mode) très courte une fois de plus, une chemise à manches courtes blanche (pureté lalala) et une veste pourpre assortie au choix d’une cravate ou d’un ruban rouges eux aussi, sa couleur étant la seule originalité de ce seifuku.
- Originalité : D
Mis à part les couleurs, ce seifuku est un classique du genre.
- (Dés)habillage : A
C’est du design de Ken Akamatsu, donc par définition, l’uniforme s’enlève très facilement, et à toute occasion.
- Lavage : B
Le rouge risque de déteindre, mais à par ça pas de problèmes.
- Bonus : B
Toujours et encore le zettai ryouiki possible grâce à la jupe très courte, de même pour les pantsu shots très très très faciles à faire.
Poule 6 : KareKano – Sayonara Zetsubou Sensei – Discipline – Vampire Knight
Encore une fois une poule assez diversifiée au niveau du type de séries présentes, notons qu’aucune n’a de grosse fanbase, et que donc on aura peu de votes par fanboyisme. Nous avons donc un shoujo, un (seinen), un hentai et un yaoi.
Kare Kano :
Bon je vais tenter de pas faire mon fanboy, et ne pas passer 2h à dire que kare kano ça démonte tout même si ça aurait pu être encore plus un anime de la mort qui tue. Mais l’uniforme est malheureusement très classique : Une jupe très courte (on sent une certaine tendance dans ces 2 poules j’ai l’impression) à carreaux bleu ciel, une veste bleu sombre, une chemise blanche et une cravate bleu clair.
- Originalité : E
Du vu, vu et revu, ici aussi, seules les couleurs permettent à cet uniforme de se différencier (un peu) de la masse.
- (Dés)habillage : B+
Seuls quelques boutons vous séparent de la prison.
- Lavage : A
Aucun problème de ce côté là.
- Bonus : C+
Again and again, zettai ryouiki et pantsu shots. Par ailleurs, cet uniforme sobre peut tout à fait être porté en société.
Sayonara Zetsubou Sensei :
Shaft nous gratifie ici d’un uniforme… qui est tout à fait classique : Jupe bleue (courte), chemise blanche avec poignets et col à design, cravate rouge. Eeeeet bah c’est tout.
- Originalité : F
C’est un seifuku, le genre qui illustre un article wikipedia tellement il est classique…
- (Dés)habillage : B+
Une ruelle sombre, quelques dizaines de secondes et c’est réglé.
- Lavage : A
Facile à laver, donc vous pouvez le tâcher en toute tranquillité.
- Bonus : C+
Vous ne vous y attendiez pas du tout : zettai ryouiki et pantsu shots.
Discipline :
Encore une fois, étant pur et innocent, je n’ai ni vu l’anime (qui me dit-on n’existe pas d’après certains négationnistes), ni joué aux jeux, car Discipline, c’est du bon gros hentai plein de poitrines énormes (en même temps c’est par les mêmes personnes que Bible Black), mais qui a le mérite d’avoir un très bel uniforme (même si il est peu porté par les héroïnes). Une jupe noire et jaune très courte comme d’habitude, un zettai ryouiki iinclus/i dans l’uniforme, et un blazer/whatever assez moulant alliant magnifiquement le noir, le blanc et le jaune, ainsi qu’une cravate assortie.
- Originalité : A
Un seifuku assez original, avec un excellent choix de couleurs le rendant unique et très agréable à l’oeil (pas les vaches à lait dedans malheureusement 🙁 ).
- (Dés)habillage : A
C’est un seifuku d’eroge, et certaines personnes ayant vu l’anime m’ont assuré qu’il pouvait s’enlever *très* vite.
- Lavage : E
Vue sa complexité, vous aurez du mal à laver cet uniforme, et il sera probablement judicieux de le mettre au pressing.
- Bonus : A
lalala zettairyouikipantsushot
Vampire knight :
GAY. hem. Les jeunes demoiselles de Vampire Knight ont donc 1 uniforme, disponible en noir à bandes blanches, ou blanc à bandes noires, au programme, jupe courte (lalala), blazer à manches longues, ruban du coloris mineur, et un brassard avec un très beau design sur le bras gauche.
- Originalité : B
L’uniforme en lui même n’est pas très original, mais l’assemblage du blanc et du noir donne un très bon résultat. Bon point pour le brassard.
- (Dés)habillage : B
Le haut est un peu difficile à enlever, mais l’accès aux zones inférieures est très facile.
- Lavage : A
Facilement lavable.
- Bonus : B+
Je n’ai même plus à l’écrire à force.
Grand Tournoi des Seifuku – Poules 3 et 4
Bonsoir Axel, Moi, Segjigen serai donc votre commentateur pour ces poules 3 et 4 du grand tournoi des seifuku
Ici Axel, et bonsoir Ninjigen. Enfin Segjifault… Euh, Ninjifault plutôt. Enfin bref! Comment ça se fait que ce billet soit autant à la bourre? Je veux dire, il est bientôt 10 heures du matin…
Ca a sûrement un rapport très étroit avec le fait que Ninjifault soit parti jouer à Valkyrie Profile et le fait que le gars à l’origine de ce foutoir passe son temps à mélanger ses personalités
Bref, ce n’est que le début du tournoi donc pas de panique, nous avions bien coupé les votes à temps et changé les sondages à minuit, c’est déjà ça.
Pour ce qui est des résultats, la poule 1 ne fut pas très surprenante ave une victoire écrasante des uniformes de CLANNAD et de Nanoha. La poule 2 en revanche a été un peu plus serrée. Certe ef remportait la majorité des suffrages avec ses dentelles, mais entre Rosario to Vampire et Maria Holic, ce fut un combat à mort en faveur du premier. Tout de suite les résultats.
Poule 1:
- CLANNAD : 45,5% avec 329 voix
- Nanoha : 27,11% avec 196 voix
- Utena : 14,8% avec 107 voix
- Kimi ga nozomu eien : 12,59% avec 91 voix
Poule 2:
- ef : 35,65% avec 256 voix
- Rosario to Vampire : 25,49% avec 183 voix
- Maria Holic : 25,07% avec 180 voix
- Da Capo : 13,59% avec 99 voix.
Maintenant, place au spectacle avec ces deux nouvelles poules d’uniformes!
Poule 3: Sailor Moon – Nogizaka Haruka no Himitsu – Hidamari Sketch – Green Green
Cette Poule est très intéressante pour un otaque, étant donné qu’elle propose des genres d’uniformes complètement opposés les uns aux autres. ( Deux à deux dirait l’autre féru de logique ). Chaque uniforme propose à lui seul des idées et valeurs qui sont propres à son genre et à son époque.
En effet, il y a du très vieux, du vieux, du moins vieux et du récent. On peut dire que chacun y trouvera son compte, finalement. C’est la poule de la variété!
J’avoue ne pas avoir de grosse préférence pour cette poule, même si je pense avoir une bonne idée de quel seifuku finira en tête de poule.
Sailor Moon
L’uniforme civil des Moon est ce que l’on appellerait le seifuku ( rappel seifuku == sailor fuku, costume marin ) typique, et certainement est devenu un modèle pour les générations futures d’animes. Nous avons donc ici une très chaste longue robe plissée descendant jusqu’aux genoux, un costume marin blanc, avec quelques bordures bleues et le typique col marin et le traditionnel noeud, un noeud que l’on peut facilement apparenter à un noeud papillon, souvent considéré comme la caractéristique moe des seifuku traditionels.
Seifuku signifie surtout uniforme d’élève. L’uniforme de Sailor Moon reste quand même d’un classique, mais c’est lui qui a plus ou moins popularisé l’uniforme dans les animes au début des années 90. Pas sûr que ce classicisme joue en sa faveur, mais on ne pouvait pas faire de tournoi de seifuku sans cet uniforme.
- Originalité : F
On ne peut donc pas vraiment parler d’originalité ici, plutôt de réalisme, ce qui paraît donc assez paradoxal, étant donné le synopsis de l’anime.
- (Dés)habillage : B
Ni plus facile ni plus difficile à enlever que des vêtements communs, je lui attribue ici une note moyenne
- Lavage : B
Lavage à la dure selon les critères des marins, avec des couleurs qui doivent rester solides et ne pas déteindre. Autrement dit, à laver à la main.
- Bonus : B
N’en déplaise à certains et d’autres auteurs de petits recueils d’images exprimant les fantasmes de nombreuses générations d’otaques aux mains moites, le côté chaste et pur de l’uniforme n’en est que plus aguichant, et tout manquement à l’intégrité dudit costume est ce qui fait justement le succès de tels doujins. N’est-il-pas, mon cher AxelTeriZaki ?
Les doujins Sailor Moon, c’est pas mon truc, mis à part ceux de Black Dog, fufufufu…
Nogizaka Haruka no Himitsu :
Le Seifuku de l’école d’Haruka est probablement issu d’une étude très précise des fantasmes otaques, en proposant un uniforme d’une couleur rouge-pourpre permettant de mieux mettre en évidence les caractéristiques principales des héroines, à savoir leurs grand yeux, la forme de leur chevelure, et le costume est étrangement seyant et colle au corps des héroines pour que le spectateur devine mieux leurs mensurations. Ce seifuku rappelle étrangement beaucoup d’autres seifuku d’animes, et réussit à garder les canons du genre ( le col marin et le ruban ) tout en se démarquant des autres, par sa couleur et son design très classe, donnant l’impression qu’il aura été fait par un certain designer légendaire de passage dans la région.
- Originalité : A
L’originalité de ce seifuku consiste à reprendre les éléments classiques et de les marier élégamment, tout en donnant un ensemble à la fois mignon et aguicheur, lorsque l’uniforme est utilisé à dessein dans des situations typiques du genre.
- (Dés)habillage : A
Un ensemble somme toute fort simple, avec trois boutons devant qui ont l’air fort faciles à déboutonner
- Lavage : D
Les couleurs ont l’air affreusement fragiles et difficiles à bien laver.
- Bonus : A
Bonus pour les collants qui permettent à la jupe d’être plus courte et d’ainsi mieux révéler la forme des jambes, tout en restant dans les limites de la pudeur. Le spectateur pourra donc ainsi mieux observer de longues et belles jambes cachées par une gaine de vinyl. Nous regretterons ici que cela empêche la forme ultime de beauté pour les jambes, le zettai ryouiki.
Certes, mêmes si les collants c’est bien aussi, mais pas forcément très pratique. Les jambes, c’est la vie.
En effet AxelTerizaki, les jambes sont un très important critère dans ce concours, et ce bonus est mérité.
Hidamari Sketch
Hidamari Sketch utilise trois éléments très étroitement reliés afin de séduire son public : la réalisation de SHAFT, le moe de ses héroines, et l’atmosphère paisible qui s’en dégage. Un point non négligeable du moe d’héroines écolières est évidemment le seifuku, principale raison de ce tournoi, et Hidamari Sketch n’est pas en reste face à ses concurrents là dessus. L’uniforme est donc un modèle étrange, entre le tablier de travail d’un artiste peintre et le blazer traditionnellement utilisé comme uniforme. On voit donc ainsi une utilisation intéressante du concept de blazer, qui se démarque du sailor fuku traditionnel par une velléité de privilégier le confortable au traditionnel, souvent utilisé comme un uniforme d’hiver. Là il s’agit bien évidemment d’un uniforme d’été ce qui explique l’absence de manches et la présence en dessous d’une chemise blanche ( encore une fois symbole de pureté ), et en gardant un discret noeud noir, fait dans un ruban fin.
- Originalité : A
Le traditionel blazer est ici utilisé à contre-courant, ce qui revient souvent pour pas mal de concepts introduits dans la série, et l’on apprécie à quel point l’uniforme reflète la série.
- (Dés)habillage : C
Le côté fonctionel du blazer le rend souvent plus long et difficile à enlever, et cet uniforme n’a pas pallié à ce défaut inhérent à ce vêtement.
- Lavage : C
Même remarque que pour le deshabillage, il faut laver chaque pièce séparément et ça peut être quelque peut ennuyant pour le geek bordélique moyen.
- Bonus : B+
Une courte jupe signifie une meilleure vision de jolies gambettes. Toutefois, les chaussettes ici ne permettent pas le zettai ryouiki qui est disponible si le personnage porte des bas. Ce n’est pas un certain bourreur de canard géant qui me dira le contraire. Qu’en pense donc l’hôte de ces lieux ?
J’en pense que le zettai ryouiki est de toute évidence la meilleure façon de montrer des jambes et qu’elle devrait être obligatoire dans toutes les écoles.
Green Green
Green Green représente un anime de poids dans cette compétition, avec encore une fois un uniforme classique parmi les classiques. Nous avons ici droit à deux uniformes classiques :
L’uniforme d’été, un sailor fuku à manches larges et courtes, mettant en valeur le dynamisme de certaines héroines ( et offrant une vue sur les arrrrrrrrrrrrrrrmpits sous le bon angle ), et surtout mettant en valeur la liberté offerte par l’école et l’âge auxquels se trouvent les protagonistes. L’âge auquel les vieilles gens ayant passé le quart de siècle aimeraient revenir prononçant la phrase clichée AA, seishuun desune ~ ( Ah, la jeunesse ). Âge où les adolescents sont les plus insupportables car soumis à leurs hormones et cherchant à l’apparier sans en connaître les conséquences et présentés de manière édulcorée par les animes. Green Green n’en est une exception que par le fait qu’ils les présente ainsi avec une animation particulièrement mauvaise.
Bien que je sois entièrement d’accord avec toi mon cher Seggen, on est pas là pour parler d’uniformes ?
Ah oui, l’uniforme … Nous avons également l’uniforme d’hiver, qui est lui un blazer, choisi pour son confort. Mais également étrangement unisexe, vu que le modèle est grosso modo le même pour les garçons et pour les filles, la jupe verte étant remplacée par un pantalon beige chez les garçons.
- Originalité : D
Des seifuku classiques qui ont le bon goût de rajouter de légères touches d’originalité par ci par là, comme sur le thème blanc et noir du seifuku d’été au lieu du traditionnel bleu et blanc
- Deshabillage : C+
Note moyenne, rien de particlier à signaler
- Lavage : A
Les deux seifuku devront, comme tous les seifuku, les vrais, passer au pressing
- Bonus : A
Un gros bonus pour les manches larges et courtes, permettant de révéler les arrrrrrrrrrrrrmpits des demoiselles, permettant par la même occasion d’apercevoir avec de la chance leur lingerie gràce à un angle favorable.
Poule 4: Minami-ke – Angelic Layer – Shugo Chara – Kanokon
Cette poule également nous présente des concurrents très disparates, aux styles très différents, mais cette fois ci, je ne sens pas un concurrent plus avantagé qu’un autre selon les critères qui transforment un tournoi en concours de popularité, et je sens un match très équilibré.
Minami-ke
Minami-ke nous arrive en vrac avec 3 uniformes, un pour chaque soeur. Nous avons celui d’Haruka, un blazer très classe, avec une cravate seyante et reflétant sa responsabilité en tant que soeur ainée. Typiquement le type de seifuku utilisé dans une école à très bonne réputation et à la discipline assez stricte. Le charme du seifuku vient du contraste entre l’apparence austère de l’uniforme et la longueur de la jupe, tout à fait de rigueur dans un anime. Le seifuku de Kana, la brune, reflète parfaitement son caractère enfantin, avec un design qui est étrangement très proche des seifuku que l’on trouve dans les petites écoles publiques équivalentes du primaire, on note particulièrement les manches courtes et plus resserrées au niveau des extrémités, en général caractéristique des habits pour petits enfants Le Seifuku de Chiaki, la plus jeune des soeurs est un blazer très similaire à celui de sa grande soeur Haruka, tout en présentant une amélioration d’une importance capitale : un zettai ryouiki
Et c’est là que tout se joue!
- Originalité : D
Trois seifuku classiques assortis aux caractères de chacune des soeurs
- (Dés)habillage : D
Rien de spécial à signaler, le blazer est plus dur à enlever, mais rien de bien différent des autres seifuku
- Lavage : D
Encore une fois un paramètre classique pour un seifuku, qui finira probablement au pressing
Finalement des notes assez moyennes pour des uniformes assez moyens, non? L’accent est mis sur l’uniforme d’Haruka, comme stipulé lors du tournoi. On ne vote pas pour la série, après tout.
Angelic Layer
Nous arrivons ici à un de mes favoris de la compétition, avec ici, selon moi, le type d’uniforme qui va se démarquer pour répondre aux critères qui vont toucher le coeur des otaques qui vont devoir voter. Nous avons ici un petit anime sans prétention issu d’un manga de CLAMP qui utilise à la perfection leur talent pour le design et parvenir ici à un sailor fuku au design à la fois original et mignon, qui convient parfaitement à la personnalité de l’héroine.
- Originalité : A
Nous retrouvons ici les principales caractéristiques du sailor fuku : le noeud, le col marin, les couleurs blanches et bleues, mais nous avons droit en prime à une illusion d’un véritable uniforme marin, avec une légère impression futuriste et l’image d’un dauphin qui vient lorsque l’on regarde plus en détail cet uniforme. Pour une fois les chaussures sont une partie intégrante de l’uniforme et participent à cette impression si particulière.
- (Dés)habillage : E
Le fait que l’uniforme soit en deux pièces, avec de longs bas à enfiler participent à faire penser que le déshabillage sera long
- Lavage : E
De même que les précédents, mais encore plus, du fait de l’apparence classe et de la présence d’une sorte de décoration pendant à la poitrine des écolières font penser que les frais de pressing seront plus qu’importants.
- Bonus : A+
Enfin, dans cette poule, un uniforme permettant de voir une bardée d’écolières munies d’un zettai ryouiki de grade S. Rajoutez l’originalité du costume et nous avons ici un concurrent de choix pour ce tournoi.
Je ne peux qu’approuver! A noter en bonus qu’une des élèves de cette école porte un très joli béret en plus de son uniforme.
Shugo Chara
Cependant, elle aura fort à faire face à cet adversaire, qui n’en a pas moins retenu mon attention. Cet uniforme se distingue ici clairement des autres par un design dont le mot d’ordre est : la classe. Avec un blazer aux couleurs noires sur une chemise blanche, et un brassard rouge qui ne sera pas sans évoquer des sentiments mitigés à certains membres d’une certaine secte ( ou pas ). Prenez correctement votre temps pour voter sans vous précipiter en lisant ce qui suit :
- Originalité : A
Un design spécial, qui se démarque complètement des autres, avec pour seul mot d’ordre : la classe.
- (Dés)habillage : C
Etonnament simple, apparemment, à enlever, malgré la parenté à un blazer
- Lavage : E
Probablement aussi coûteux à laver que le design est original, du fait sûrement du coût des matériaux
- Bonus : A
Un look étonnamment adulte et froid pour un seifuku, et en même temps des éléments tout à fait enfantins, tels que ces fausses manches de pantalon qui se mêlent étonnamment bien avec le reste de l’uniforme. Ce seifuku à lui seul résume l’intrigue de la série.
Kanokon

Que dire de Kanokon, cette série aurait pu marque le monde otaku, il n’aura marqué que les seiyuu whores, présentant leurs seiyuu préférées dans des rôles honteux, les laissant perplexes face à la situation à adopter. Comme disent les corses de russie, il y a des moments où l’on est confrontés à un choix simple : le manche ou le lance flamme.
- Originalité : D
Un blazer aux couleurs classiques se mariant parfaitement à la jupe au motif écossais. Un désign apparemment innocent.
- (Dés)habillage : A
D’une manière ou une autre ce seifuku a l’air étonnamment facile et prompt à s’enlever
- Lavage : D
Rien de spécial à signaler, se référer à la note précédente pour expliquer la nécessité de le laver souvent
Voilà pour cette manche, et encore désolé du retard pris sur le post, on va essayer de faire mieux la prochaine fois! Il faut bien qu’on se remette dans le bain…
Dream C Club – Le test dont vous êtes le héros
Axel Joue à Dream C Club – Part 1
Donc c’est simple, en plus du tournoi des Seifuku, un sondage est en place pour que vous, lecteurs de Meido-Rando, décidiez quelles filles subiront les tests. Je prendrai les 3 meilleures cu lassement (vu qu’on peut demander différentes filles à l’accueil du jeu)
Et pour vous aider à vous rappeler qui est qui, je reposte le trailer du jeu:
Dream C Club Trailer
(Quatre-Quart-)Beta: Aion
Ma relation avec les MMORPG est très ambigue. Je suis très sensible à leurs univers, leur gameplay, l’attrait de la nouveauté, et aussi le style, mais je m’en lasse relativement vite. Le seul qui ai réussi à me scotcher suffisament longtemps (plus d’un an et demi) fut Eve Online. Je ne suis pas là pour tester Eve Online, mais sachez juste que Eve est le jeu le plus chronophage de tout l’univers, et que les joueurs de WoW qui répètent inlassablement les mêmes raids et instances ne sont que des moutons primitifs comparés aux joueurs de Eve qui font évoluer leur monde par eux-même.
J’aimerais bien vous faire un test de Eve Online, mais vous montrer Ayako Suzumiya en action demanderait un peu trop d’efforts de ma part: réinstaller le client, réactiver le compte, et surtout me demander comment me dépètrer de la mouise dans lequel mon personnage doit être à l’heure actuelle: sans corporation ni alliance et au milieu de nulle part (Immensea, si ça vous dit quelque chose). Joie.
C’est pour ça que je vais donc vous parler d’Aion et de sa beta ouverte…
A la base je ne voulais pas me remettre ni toucher à un MMORPG. Plus jamais. Mon MMO idéal s’appelle Eve Online et il consomme trop de temps pour moi. Mais bon, ayant encore 2 jours de vacances et ayant terminé Tales of Vesperia récemment, vous vous doutez bien qu’il fallait que je trouve de quoi m’occuper. C’est à ce moment qu’un compagnon RafaL ayant précommandé Aion m’offre ses login et pass pour la beta ouverte. Lui, il s’en fout, car il est déjà convaincu et les persos seront effacés avant le vrai début du jeu. Pourquoi pas me dis-je, et ce n’est qu’après un long téléchargement de 9 Go que je me suis enfin mis à créer mon personnage. Ouais, 9 Go à télécharger, 11 une fois installé. On ne peut pas dire qu’ils y vont avec le dos de la cuillère.
En avant donc pour la création de personnage: ça a l’air super simple vu comme ça, mais j’y ai passé un sacré bout de temps: la forme du corps et du visage est entièrement customisable (façon City of Heroes) permettant de ne pas se ballader en voyant son clone partout: une quarantaine de coiffures différentes par sexe sont ainsi disponibles, et on peut donc se lâcher à tous les petits délires possibles. Par contre, début du jeu oblige, on est cantonnés aux mêmes vêtements que les autres.
Notez bien que ce petit test du jeu se base sur une bonne douzaine d’heures de jeu. Pas de quoi se fixer sur tout ce que propose un MMORPG, mais on peut s’en faire déjà une bonne idée. Le problème, c’est que douze heures de jeu, c’est ce qu’il faudra au joueur moyen pour terminer le (long) prologue, faisant penser quelque peu à l’Eden de Guild Wars. En fait, ce n’est pas la seule chose qui vous fera penser à Guild Wars en commençant Aion: beaucoup d’aspects du jeu, à commencer par les animations, le design des personnages et les décors, vous aurez comme l’impression somme toute légitime d’être en face d’une suite fantastique de Guild Wars. Sauf que là, c’est un vrai MMO avec des vrais bouts de jeu en ligne dedans.
Pour tester, j’ai donc pris Scout, l’une des quatre classes de départ disponibles parmi Guerrier, Mage et Prètre. Ca ne vole pas bien haut à priori, mais arrivé au niveau 10, c’est là que l’on choisit se spécialise. Dans mon cas, j’ai eu le choix entre Assassin et Ranger. Ca m’a rassuré, car le Scout ne manie pas d’arcs, alors que c’est ce qu eje cherchais en prenant cette classe. A voir ensuite comment les autres classes primaires se divisent une fois arrivés au niveau 10. J’ai d’ailleurs eu l’impression que ça montait bien moins vite qu’à World of Warcraft par exemple, malgré les 50 niveaux permis.
Pour les habitués du MMO, vous naviguerez en terrain connu: Aion ne révolutionne pas et ne tente pas de perdre les joueurs dans une interface voulant se démarquer. A part le placement, on retrouve grosso merdo le même genre d’outils que chez la concurrence. Pire encore, cette ressemblance se retrouve même dans le gameplay, avec des quêtes à loot somme toute basiques. Elles ont néanmoins le mérite d’être un tant soit peu intéressantes car elles mettent en scène les NPCs qui vous les confient, un peu à la façon de Guild Wars encore une fois. L’histoire se construit avec le joueur en son centre, et comme dans Guild Wars, toujours, on pourra entrevoir de courtes cinématiques avec notre héros dans la peau de l’acteur principal. Quoi qu’on en dise et malgré tous les défauts scénaristiques que ça comporte, ça motive un petit peu le ou les joueurs impliqués dans un grosse quête.
Sans révolutionner le genre du tout, Aion reste quand même plaisant à jouer avec des quêtes ici et là permettant de savoir exactement où aller chercher tel item nécessaire à une quête, ou où trouver tel NPC qui nous donnera une potion. A la manière des meilleurs add-ons de World of Warcraft ou de Guild Wars, on retrouve donc un système qui affiche sur la minimap là où l’on doit se rendre pour espérer trouver notre bonheur. A ce sujet, les monstres repop assez vite et surtout, droppent relativement souvent les items dont on a besoin. Chouette.
Outre l’aide pour les quêtes, l’aide pour le jeu prend par la main grâce à des petites vidéos montrant les mouvements à effectuer pour grouper, équiper un objet, incruster une manastone dans une arme, et d’autres éléments d’interface. Ces aides arrivent néanmoins un peu tard: j’avais en général besoin d’elles avant leur apparition et j’ai su trouver comment faire sans trop me casser la tête: c’est une bonne chose, ça prouve que l’interface est suffisament intuitive et claire pour se passer d’un manuel de 200 pages.
N’allez pas croire que le jeu est simplifié avec tout ça: je suis mort plus d’une fois et les régles standard d’un bon MMO s’appliquent toujours ici. En gros, on ne pull pas plusieurs monstres à la fois, on utilise tous les skills à sa disposition et on se fait de l’expérience comme un taré pour pouvoir se prendre une armure comme il faut. A noter que les skills augmentent avec votre niveau, il est donc impératif d’obtenir les skills dés que possible pour son propre niveau afin qu’ils n’aient pas de retard sur vous. Les skills s’achètent tout simplement chez votre entraîneur préféré. A noter que vous avez un entrepôt de compte qui vous permet d’échanger des items simplement entre personnages d’un même compte.
Non, le vrai problème d’Aion c’est qu’il ne surprend pas. Il n’y a qu’au moment où on voit pour la première fois son personnage voler avec les ailes que l’on se dit "woah". Mais à part ça, la mise en scène des cinématiques est trop rapide pour marquer, et les textes des quêtes pas asez captivants (en plus d’être difficiles à lire avec leurs polices minuscules). Ca ne devrait pas arrêter le fan de MMO accro au PVP et au grind en règle, mais pour quelqu’un qui cherche à se faire du bon PVE, à vivre une histoire avec ses amis et à s’intéresser à l’univers, la pente va être un peu rude.
Hélas, cette absence de surprise se retrouve aussi dans le gameplay avec des skills qui pour le moment manquent d’originalité, des quêtes aux objectifs de fond variés mais à l’execution et à la forme classique (va voir machin, va porter ça à truc, va tuer 6 abeilles carnivores, etc). Nul doute que le jeu doit se rattraper sur la suite des évènements: une fois niveau 10 on accède à la capitale du coin et on a droit à une belle brochette de quêtes et de possibilités qui redonnent espoir dans le jeu: car avant de passer ce cap du niveau 10, il faut quelque peu lutter pour s’intéresser à l’histoire qui ne concerne pas vraiment le joueur ni sa patrie.
On est pas lâchés dans la nature comme dans un bon Eve Online passé ce cap, mais on a enfin l’impression de respirer, d’avoir des possibilités, des choses à faire, des routes à explorer. C’est assez grisant de voir la grandeur de la ville et de ses hauteurs, car le jeu dispose d’une technique qui fait son travail. Difficile de faire plus moche que World of Warcraft de nos jours, et Aion s’en tire bien et avec une fluidité bien comme il faut sur ma Naru à moi (Intel Quad Core Q6600 4 Go de RAM avec Geforce 8800 GTS).
La question c’est, est-ce qu’Aion a une chance de percer? Très honnêtement j’y crois pas du tout. Les gens qui ont tous soit disant migré depuis d’autres MMORPG déjà établis comme FInal Fantasy XI, World of Warcraft ou d’autres, reviendront vers leurs terres d’origine à la prochaine mise à jour. Quant à savoir s’ils se lasseront d’Aion avant, je ne pense pas. Ils trouveront dans Aion ce qu’ils avaient dans leurs autres MMO puisque ce dernier emprunte un peu partout tout ce qui marche. Le problème, c’est que ça ne fait pas un MMO parfait, mais un MMO tout juste dans la bonne moyenne. Impossible de juger le contenu avec si peu d’heures de jeu et impossible de juger le reste du gameplay a un si bas niveau (j’ai encore à tester le gameplay avec les ailes après tout) mais pour le moment, je ne suis pas tellement emballé par ce que j’ai vu…
Quoi que en fait…
Y’a pas à dire, le design des personnages, des armures et des décors se débrouille bien par rapport à la concurrence, surtout par rapport à un Warhammer qui à mon humble avis ne ressemble à rien. Aion est joli, bien fignolé (pour une open beta) et exempt de bugs majeurs et chiants (a vrai dire je serais même incapble de vous citer le moindre bug mineur si on excepte le texte du jeu parfois mal cadré et l’absence de VF) et est poussé par NCSoft, habitué à sortir des MMO en série et à les soutenir (si on excepte Taboulet Rasé). Ceci étant dit, Age of Conan bénéficiait aussi d’un univers original, d’une grande beauté et d’un gameplay innovant… Aion connaîtra-t-il le même sort? Difficile à dire, en général les développeurs n’arrivent pas à créer du contenu High Level aussi rapidement que les joueurs mettent à y accéder, ce qui fera sûrement des déçus; Le RvR, le PvPvE et d’autres modes de jeu arriveront-ils à hisser Aion en haut de l’affiche?
Ce qui est sûr c’est que pour l’instant je ne vais pas m’y abonner. Peut-être m’y mettrai-je plus tard: en tous cas il est sur la liste des candidats potentiels, puisqu’il a réussi à me séduire, là où Age of Conan n’y était pas arrivé cette année.
Allez, pour terminer en beauté, quelques derniers screens:




































