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Guild Wars 2

Si vous voulez savoir ce qui a mangé mon âme après Diablo 3, hé bien il s’agit de Guild Wars 2.

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Un gros boss de zone

J’attendais le jeu avec impatience, ayant été un des premiers joueurs du premier opus. Je n’étais pas resté si longtemps que ça, mais j’étais revenu chaque fois pour chaque extension. Guild Wars avait cette aura qui le rendait unique. Un monde certes assez lambda, mais un style bien à lui, magnifique et varié, des mécaniques de jeu novatrice, et surtout, sans abonnement. On achète le jeu et hop c’est parti.

ArenaNet, les développeurs, ont su partir d’un pied nouveau pour Guild Wars 2 et ont fourni un jeu qui se rapproche un peu plus d’un MMO que son ancêtre. En bien ou en mal? Voyons voir ça.

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On sait aussi s’amuser dans le monde de GW2

La première chose à laquelle on est confrontés, c’est la création de personnage. GW2 se démarque déjà avec un petit questionnaire à choix multiples que l’on doit remplir pour déterminer la quête personnelle de son personnage. C’est la seule chose de vraiment novatrice, puisqu’on aura comme d’habitude à choisir race, classe, sexe, et look. Le choix de la race est purement esthétique et ne procure aucun bonus/malus selon la classe choisie après. Un peu dommage en soi, cela aurait néanmoins empêché des classes d’être viables avec telle ou telle race, et aurait donc potentiellement déséquilibré le tout. Le choix de la classe est déjà un peu plus surprenant car on y trouvera pas de moine. ArenaNet a fait le choix de se passer de la sainte trinité tank/healer/DPS et c’est plutôt rafraichissant. Chaque classe a en effet des capacités permettant de soigner, de tanker ou de faire des dégâts. Enfin, pour en revenir à la quête personnelle, sachez que ces choix n’auront que très peu d‘impact au final sur votre personnage : les choix modifient les quêtes de départs et a peu près jusqu’au niveau 30. passé ce niveau, vous aurez le choix entre 3 ordres à rejoindre, qui définiront les quêtes suivantes de votre histoire personelle, pour finir sur des quêtes communes peu importe vos choix. Bien sûr il sera parfois possible de choisir un angle d’attaque, comme par exemple détruire un convoi ennemi ou s’infiltrer dans leur base, ce qui ajoute un peu de variété, mais par exemple, ayant pris le choix d’avoir une soeur perdue dans mon hsitoire au début, une fois que je l’ai retrouvée, je n’ai plus jamais entendu parler d’elle. Le concept d’histoire personnelle est chouette, mais l’exécution est trop timide. De la même façon, selon comment on répond à certains NPCs, on fait monter sa jauge de charme, dignité ou brutalité, et ce au détriment des deux autres. Or, ces choix n’ont que peu d’influence, voir pas du tout (ou alors elle n’est pas évidente du tout.)

Mais un MMO n’est pas un jeu à histoire personnelle, ou bien je jouerais à Star Wars The Old Republic.

On sent que les développeurs ont tenté de tout faire pour vous simplifier tout ce qui était autrefois pénible. Les hubs de quêtes vous énervent ? C’est fini ça ! Vous trouviez la fabrication d’items pénible ? Fini tout ça aussi !

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Oui, on peut avoir un raton laveur en pet. Voilà pourquoi il ne blogue plus.

La killer feature de GW2, c’est son absence de quêtes comme on les connaissait avant : vous passez près d’une ferme, et une quête arrive dans un coin de l’écran sans que vous ne demandiez rien à personne. Vous voyez un bref texte qui vous explique que le fermier a besoin qu’on lui arrose ses plantes, qu’on le débarrasse de vers envahissants et qu’on promène ses vaches. Des actions très différentes qui augmenteront toutes une jauge une fois réalisée. Il n’y a donc pas qu’une seule façon de faire une quête, ce qui offre une grande variété à l’expérience PVE. De plus, plus il y a de joueurs qui participent, plus cela avance vite. Dés que la jauge est pleine, vous gagnez l’XP et l’or tant mérité. Vous pouvez alors aller revoir le fermier pour lui acheter des objets avec du « karma » (le karma est une monnaie permettant d’acheter des items spéciaux de certains NPCs). Ces « cœurs » tels que symbolisés sur la carte sont légion dans le monde de Guild Wars 2. Vous trouverez également des sites à explorer, ainsi que des « panoramas », endroits qui déclenchent une brève cinématique faisant le tour d’un paysage. Les développeurs se font chier à faire de jolis décors alors pourquoi pas vous récompenser si vous les regardez ? Chouette initiative qui favorise l’exploration, en tous cas.

Ces simili quêtes sont entrecoupées d’évènements dynamiques qui apparaissent de temps en temps : protéger un convoi, repousser une attaque de bandits, vaincre un mini boss… Les évènements ne manquent pas, et s’enchaînent même. Après avoir repoussé une attaque, vous voudrez peut-être attaquer à votre tour un camp de bandits, ce qui énervera leur chef, qui viendra tenter de vous botter les fesses. Ce ne sont que des exemples et les évènements dynamiques offrent une réelle bouffée d’air frais dans un monde autrement très statique. Le problème étant que plus on monte dans les niveaux, plus on rencontre d’évènements buggués qui ne commencent ou se terminent pas… Un peu frustré, on passe à autre chose, en espérant qu’il sera débloqué plus tard…

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Echec épique…

Ces quêtes posent un autre problème qu’on n’aperçoit pas au début : on s’allie avec les autres joueurs naturellement, mais il n’y a aucune communication nécessaire. Les gens se regroupent, tapent du monstre et font leur quête, mais les joueurs ne se parlent pas ou très peu. Cela ne favorise pas vraiment l’immersion et pour peu que l’on soit vraiment timide, on ne va pas tenter d’aller vers les autres… mais pour quoi faire au juste ? A part pour les zones de très haut niveau, je n’ai jamais eu besoin de l’aide d’autres joueurs pour faire les quêtes normales. Seuls les évènements demandent d’être à plusieurs, mais le fait que n’importe qui puisse rejoindre à tout moment la bataille sans autre forme de communication est grisant, mais finalement pas très social. J’ai souvenir de quelques rencontres sympathiques sur World of Warcraft ou Eve Online, parce que les joueurs étaient obligés de se parler pour avancer, pour faire certains endroits chauds ou des quêtes spéciales. Ici, les seuls moments où on est forcés de « grouper » sont les donjons, sortes d’instances. C’est assez regrettable et ne favorise pas vraiment le RP. Il y a soit-disant des serveurs centrés sur le roleplay, mais je me demande bien comment ils font… J’ai, comme je le disais, presque réussi à progresser seul jusqu’au niveau 75 : Avec un personnage à distance, le jeu m’a paru pour le moins assez facile. Pas assez difficile en tous cas pour nécessiter qu’un autre joueur vienne m’aider, sauf sur une quête personnelle récemment. C’est un peu comme participer à un DDOS avec des types de 4chan. Ce sont vos potes, vous êtes ensemble pour une même quête mais personne ne se connaît. Et j’ai du mal à voir comment on pourrait tout simplement « rencontrer » des gens dans ce jeu. A part dans les donjons.

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Peu importe le MMO il y aura toujours des joueurs plein d’humour.

Le seul moyen de jouer en groupe efficacement, c’est via le système de guildes. Ici, chaque action qu’un membre fait ajoute des points d’influence qui permettent d’améliorer la guilde :a voir un coffre de guilde plus grand, des marchands d’arme et d’armure qui pourront vous mettre le blason de votre guilde dessus, ainsi que des bannières offrant des buffs temporaires et variés à vos membres de guilde. C’est plutôt sympa, et on sent que ça va pouvoir donner des choses intéressantes, quand on pourra acheter un hall de guilde par exemple pour se retrouver.

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Akimbo!

La progression des niveaux justement est très rapide. Trop diront certains mais il ne faut pas oublier que GW1 n’avait que 20 niveaux, et que l’aventure ne commençait réellement qu’au niveau maximum. Dans GW2 malheureusement, l’aventure PVE en est déjà aux trois quarts quand vous atteindrez le niveau 80 : mais cela n’est pas très important, puisque revenir dans une ancienne zone vous rabaisser au niveau de la dite zone. Cela permet de grouper aisément avec ses amis moins avancés et est une alternative au système de maître/disciple qu’on trouvait dans City of Heroes par exemple. Chaque niveau vous donnera un point d’aptitude à dépenser dans une catégorie qui augmente deux stats. Tous les 5 points dans une catégorie, une amélioration passive se débloque et ce jusqu’à 30 points (on a 70 points d’aptitude, ça commence au niveau 11). Plutôt efficace, ça permet de varier les builds, on regrettera juste un peu qu’il faille dépenser des pièces pour réinitialiser le tout, ce qui peut coûter bonbon. On gagne également des points de compétences qui permettent d’avoir justement de nouvelles compétences…

Et les compétences parlons-en ! C’était le fer de lance de GW1 et ça a été un peu complètement jeté par la fenêtre dans le 2 : vos compétences sont déterminées par le type d’arme que vous portez : une épée plus bouclier ou deux épées, ce n’est pas les mêmes compétences qui vont être disponibles. Vous pourrez en général passer d’un équipement à l’autre en plein combat. A cela s’ajoute une compétence utilitaire, et trois compétences de classe, ainsi qu’une élite. Cela fait peu quand on compare ça aux trouzaines de compétences de chaque classe de GW1 qui donnaient vraiment la possibilité de créer des personnages uniques. Seulement voilà, même en prenant en compte le dynamisme des combats, le fait qu’il faille énormément jouer sur le positionnement, sur le fait qu’on puisse créer des combos avec ses alliés (créez un mur de feu devant vous, votre pote archer décochera des flèches de feu, par exemple !), faire des esquives et tout ça, on a quand même ce petit arrière goût de simplicité alors qu’on aurait aimé personnaliser un peu plus notre façon de jouer.

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Un groupe prêt pour l’aventure!

Heureusement il y a plein de choses à faire dans Guild Wars 2, et aussi du craft, autrement dit de la fabrication d’items. Ce procédé rendu très chiant dans les autres MMORPG auxquels j’ai eu à faire est rendu plus amusant par la découverte de recettes : il suffit de sélectionner un ingrédient, et on voit immédiatement avec quels ingrédients on peut le mélanger, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de possibilités, et on peut alors tenter de faire une recette. Les ingrédients incompatibles sont grisés, ce qui permet de voir très rapidement quand on peut faire une nouvelle recette. Le craft offre pas mal d’XP, et on peut aussi acheter assez facilement ce qu’il vous manque. Plutôt qu’un hôtel des ventes classique avec système d’enchères, le jeu laisse la possibilité de vendre aux plus offrant, ou de vendre à un prix que l’on fixe. De la même façon, quand on achète, on poste une annonce au prix que l’on souhaite, ou bien on achète au prix le plus bas. L’économie est très active, mais encore jeune, il y a donc pas mal d’erreurs et de disparités qui se combleront avec le temps.

A noter que le jeu a aussi un store qui utilise du réel argent, et vend principalement des boosts ou des objets cosmétiques, ainsi que des emplacements de personnages, de sac d’inventaire ou de banque supplémentaires. L’euro s’échange contre des gemmes, mais on peut aussi convertir ses pièces d’or en gemmes, et inversement (mais pas gemmes en euros !). C’est plutôt une bonne chose. Quelqu’un qui joue bien peut économiser pour se payer ce genre de choses.

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Ce que l’on voit parfois comme « panorama » quand on les active.

craftLa malbouffe est partout.

Pour le PVP, il y a deux possibilités pour ceux qui aiment se mettre sur la gueule : le PVP structuré et le World vs World vs World. Le PVP structuré prend place dans des arênes, où vous rejoignez une équipe au pif ou bien pré-faite. De 5 ou 8 joueurs, il s’agit de s’affronter pour prendre possession de points de contrôle, un peu comme dans un Dominion à League of Legends, ou un jeu de King of the Hill. La première équipe arrivée à 500 gagne la partie. On y gagne de l’honneur qui permet de changer d’armure et d’armes, amis seulement de façon cosmétique ! Les armes et les armures ont les mêmes caractéristiques, et tout le monde à accès à des runes qui modifient tout ça. Runes gratuites bien entendu pour mettre tout le monde sur le même pied d’égalité. La différence entre deux personnages se fera donc au niveau de comment vous jouez et de votre choix de compétences, car tout le monde est monté au niveau 80 dés le début ! C’est très agréable et nerveux, et on se surprend à marquer quelques points même si on est pas très doué pour ça d’habitude.

L’autre aspect PVP du jeu, c’est le WvWvW. On dit World car en fait on s’affronte par serveurs interposés. Le serveur que vous avez choisi en créant votre premier personnage, pour être plus précis. Ce serveur jouera contre deux autres serveurs pendant une ou deux semaines pour le contrôle d’un vaste territoire avec beaucoup de forts, de campements et autres objectifs à capturer. Ce savoureux mélange de PVE et de PVP à grande échelle reprend un peu le concept du jeu solo, dans le sens où il y a de multiples façons de participer : que ça soit prendre des forts, faire des défenses héroïques, escorter des cargaisons de ravitaillement (qui permettent de fortifier les forts, construire des défenses…), prendre d’assaut des petits campements, aider des NPCs pour qu’ils se joignent à vous… Il y a énormément de possibilités que vous soyez en petit groupe ou faisant partie d’un « bus » (un gros groupe de joueurs en mouvement). Il faut suivre ce qu’il se passe, communiquer, frapper là où l’ennemi ne s’y attend pas, et ce sur quatre cartes différentes qui forment un grand territoire à conquérir. Il y a 3 serveurs qui se battent, ce qui assure un certain équilibre, car si un serveur devient trop fort, les deux autres peuvent s’allier pour le faire plier. Si les parties en WvWvW sont jouissives et rapportent moult récompenses : XP et karma tombent comme la neige à Noël et ile st tout à fait possible de faire l’impasse sur le PVE pour se concentrer sur le WvWvW afin de monter son personnage. Tout ça est bien idyllique, on aurait presque le mode de jeu en ligne ultime, si seulement on pouvait s’y connecter ! Le temps d’attente moyen pour se connecter à un champ de bataille est de 3 à 4 heures. Ouais, vous ne rêvez pas. En plus le système est terriblement mal foutu car on ne peut s’inscrire qu’à un seul des quatre champs de bataille à la fois, et on ne voit pas sa position dans la file d’attente. Il y a donc encore de sérieuses lacunes à combler, et il faut être très courageux pour oser faire du WvWvW.

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On contemple un bus qui passe. Surtout ne pas se faire repérer.

Qu’on se comprenne bien : j’attendais Guild Wars 2 avec une impatience non dissimulée. Je ne regrette pas et j’ai même passé des journées de mes vacances dessus. C’est un excellent jeu plein de bonnes idées qui nous rappelle que ArenaNet est un développeur avec un grand D (qui s’associe malheureusement au support calamiteux de NCSoft, allez comprendre), mais voilà, il a souffert d’erreurs de jeunesse qui ont été rapidement corrigées : le Comptoir (l’hôtel des ventes) inopérant, le système d’authentification des comptes qui se vautre, les zones pleines qui t’obligent à aller sur des serveurs de dépassement (quand une zone est trop pleine de joueurs, vous êtes déplacés sur un serveur de dépassement quand vous arrivez) sans qu’on puisse se rejoindre entre personnages d’un même groupe… D’autres problèmes plus généraux restent irrésolus à l’heure actuelle : le WvWvW inatteignable et les évènements et quêtes encore buggués ici et là. On pourrait penser à de simples erreurs de jeunesse, si seulement il n’y avait pas eu des tonnes de stress tests avant la sortie, où ArenaNet demandait aux joueurs de la bêta et à ceux qui ont préacheté le jeu de se connecter en masse et de jouer… mais on a honnêtement du mal à voir ce que ces stress test ont apporté étant donné les multiples problèmes de connexion la semaine de la sortie du jeu (à tel point que les développeurs ont cessé de vendre leur jeu sur leur site le temps de trouver des solutions), et l’indisponibilité du Comptoir… Les ennuis les plus importants sont maintenant corrigés, certes, mais ça fait toujours tâche d’huile, surtout quand le lancement de Guild Wars 1 à l’époque, n’avait suscité aucun problème majeur. Les fans du jeu vous rétorqueront que c’est normal, qu’on peut pas tout prévoir, qu’il faut être patient, etc etc, mais ils ont bien souvent du mal à retirer la poutre qu’ils ont dans l’œil alors que le jeu souffre de quelques problèmes. Rien d’insurmontable, mais il ne faut pas fermer les yeux dessus.

Guild Wars 2 est un excellent jeu incroyablement fun et plaisant à parcourir, mais qui n’est pas exempt de défauts. De là à l’encenser à 100%, il en faut pas exagérer. Il y a des problèmes purement techniques et des petits soucis qui seront vite corrigés, ça je ne me fais pas de souci : Guild Wars 1 avait à l’image de Team Fortress 2 avec Valve, bénéficié d’un suivi exemplaire de la part d’ArenaNet, chaque extension payante ou mise à jour gratuite apportant son lot de bienfaits, il n’y a pas de raison que Guild Wars 2 n’en bénéficie pas non plus. Surtout que les développeurs ont admis que le contenu gratuit en plus faisait partie du service qu’ils devaient aux joueurs dans une récente interview. Non, là où j’ai un peu plus peur, c’est sur les problèmes de fond qui vont être difficilement corrigeables car le jeu a été pensé ainsi : l’absence de nécessité de communiquer et grouper pour avancer (hormis le WvWvW, vers la fin du PVE et les donjons), l’anonymisation de vos compagnons lors des évènements et des quêtes, et la file d’attente interminable du WvWvW.

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J’ai pris un tir dans le genou

Bref, vous êtes fauché, vous ne voulez pas payer d’abonnement, vous aimez les MMO et vous avez un creux dans votre emploi du temps : foncez et achetez-le, vous ne le regretterez pas. Et si vous avez un Mac, sachez que le jeu sera très prochainement compatible avec MacOS X.

Acquisitions de Noël part 2

Comme je le disais tout à l’heure je me suis bel et bien ruiné pour ce Noël

Donc voilà, j’ai flashé sur ce magnifique stylet qu’on voit sur la console de merde là sur ce MacBook Pro tout daubesque. Vraiment magnfique avec sa forme en stylo et son p’tit bout coloré, ce stylet révolutionnaire m’a couté les yeux de la tête.

Erm…

Enfin voilà, après le noël otaku, voici le noël geek en puissance: un très joli MacBook Pro 15" avec 2 Go de RAM (le modèle à 2,3 Ghz donc) et une très jolie DS (équipée d’une supercard que les plus observateurs ont peut-être remarqué.)

Le MacBook Pro s’appelle Mizuho. Oui, celui-là même. Pourquoi? Bah parce que ce MacBook Pro, avec Boot Camp, on ne sait pas très bien si c’est un Mac ou un PC, vu qu’on peut utiliser MacOS X et Windows. Enfin, pour quelqu’un qui veut une machine pour le boulot, le net, et qui marche tout simplement, c’est du bonheur en boîte. Vista est à des années lumières en arrière.