Suzuka

Je n’attendais pas grand chose de cet anime.

Oh, c’est pas qu’un anime harem de plus ne me fasse plus aucun effet, c’est juste que au fur et à mesure du visionnage, j’ai été happé par des spectres de Love Hina: le héros qui habite une pension pour filles, le fait qu’il flashe sur l’une d’elles mais que celle-ci le repousse aussi sec, mais aussi…

londe alcoolo empruntée à Tina de Ai Yori aoshi, et la fille à lunettes aux gros seins et un peu timide… Bon faut vraiment que je vous fasse un dessin? ça sent le réchauffé!

Seulement voilà, y’a quand même une idée fort intéressante dans tout ça. Notre héros va faire donc la connaissance de l’héroine, Suzuka, qui est une athlète ma foi d’un fort beau gabarit, qui s’amuse au saut en hauteur. Elle est vachement bonne (en athlétisme hein, bande de pervers…) et a fait un petit record dans son école en sautant au dessus de 1m69. Elle forme donc tous les espoirs de ses camarades de classe, professeurs, et connaissances.

Voilà en gros pour l’intrigue de base. Tout ce que je peux vous dire, c’est que pendant 19 minutes, l’anime m’a laissé totalement de marbre. Générique bof, designs bof, histoire bof, humour bof, clichés bof, et puis lors de la dernière minute, il se passe un truc dont je ne vais évidemment pas vous parler… Mais vous verrez bien 🙂 Une excellente surprise en tous cas, et ça m’a donné envie d’en savoir plus. A suivre, donc, mais pas trop quand même.