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Le Grand Tournoi des Maids – 4èmes Round 2

Nous entamons déjà l’avant-avant-dernière semaine du Grand Tournoi des Maids. Hé oui, c’est déjà bientôt fini. La semaine prochaine nous attaquerons les demi-finales, et la semaine d’après la Grande Finale.

Mais voilà, sans Mahoro ce tournoi va perdre beaucoup de son sens. Elle qui était pourtant une meido modèle, juste, et expérimentée, elle s’est laissée battre par une bande de moutons la meido de Hayate no Gotoku. Incroyable mais vrai. Cependant, malgré l’adversité, elle a établi un score de 45% contre 55% des voix, ce qui compte tenu de son départ difficile tient du miracle. Saluons Mahoro pour le chemin parcouru. Je pense que pour arriver en quart de finale, il faut déjà avoir un certain potentiel.

De l’autre côté, nous avons eu un combat serré, mais l’écart s’est finalement creusé en faveur du duo Hisui & Kohaku. Au vu de leurs résultat, les voir en finale semble tout à fait possible, même si elles devront passer une adversaire pour cela, et c’est cette adversaire que nous allons découvrir la semaine prochaine lors des résultats de ce round. Mais n’oublions pas la mention très honorable de Emma qui s’en tire avec 41% des voix contre 59%. Une grande victoire pour une meido qui se démarque totalement de ses concurrentes qui misent soit sur le melonpan, ou sur la moe attitude.

Mais maintenant, découvrons nos candidates qui doivent déjà vous être familières.

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Voici certainement deux meido aux formes généreuses, mais laquelle l’emportera? D’un côté nous avons Izumi qui bien qu’elle n’apprécie guère son maître, porte quand même l’uniforme assez minimaliste qu’il lui a concocté. Remporer le Grand Tournoi lui permettrait certainement de réussir son rêve, mais en face, elle a tout de même la très kawaii Siesta, qui en plus d’être kawaii, ne recule devant rien pour s’affirmer devant la nobilité afin de conquérir Saito, le héros de Zero no Tsukaima. A vos votes!

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De l’autre côté de la pièce, sur le second ring, nous avons Mikuru et Sanada. Le Moe-Blob contre la Neko-Maid. Un beau dilemme en perspective, surtout lorsque l’on sait que Mikuru est sponsorisée par Haruhi, tandis que Sanada possède un pistolet à catgirls pour le moins efficace, ainsi qu’une armée de catgirls dans toute la ville. Le combat va être rude, très rude.

Note : Utilisateurs de Linux, les choix sont Izumi-Siesta et Mikuru-Sanada, dans l’ordre.

Note 2 : Raton-Laveur, je te hais 🙂

Myself, Yourself

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Quel nom étrange pour une série: Myself, Yourself. Et pourtant derrière ce nom étrange se cache une série on ne peut plus classique de harem anime tirée d’un visual novel (comprendre, jeu vidéo bourré d’images et de textes) à sortir sur PS2. Classique? Hep, pas si vite que ça…

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Authentique.

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L’histoire c’est celle de Sana, un ado japonais type. Très type même, qui cumule les poncifs du genre. Relativement beau gosse, entouré de jolies filles, a bon coeur et n’a pas trop l’air con. Enfin ça, c’est ce qu’on pense jusqu’à ce qu’il rencontre Nanaka.

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Mais, petit retour en arrière d’abord, car la série débute sur un flashback dans lequel Sana s’en va de sa petite ville natale avec ses parents à l’âge de 11 ans. C’est toujours un peu difficile à cet âge de partir loin de ses amis, mais bon, heureusement qu’ils ont préparé une petite fête d’adieu.

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Non ce n’est pas Haruhi petite, mais la grande cousine du héros, Aoi.

(ceci dit vous pouvez quand même lever vos brassards au ciel et réciter la prière, ça ne vous fera pas de mal.)

Le truc c’est que Sana revient 5 ans plus tard dans sa ville natale pour y vivre seul. Il sera quand même hébergé dans le bâtiment résidentiel que son oncle et sa tante possèdent, histoire de rassurer sa mère qui l’appelle tous les soirs, et on sent que ça le pèse. Sana y retrouvera en premier sa cousine qui s’est plutôt bien… épanouie.

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Tiens, une Miko? Y’a bon.

A côté de ça, Sana va s’apercevoir que certains trucs ont changé dans sa ville, et d’autres non. Le moment fort survient lorsqu’il se pointe à l’école pour son premier jour et attérit, comme par miracle hein, on est dans un anime harem après tout, dans la classe de son ancien meilleur pote Shusuke et de sa soeur jumelle, Shuri. Loin d’être des faire-valoirs au héros et à l’héroine, ce sont bien des personnages à part entière.

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Tout ce petit monde a bien grandi, mais le drame survient lorsque Sana dit bonjour à une très jolie fille qui se pointe dans la classe, avant qu’elle ne le gifle violemment.

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Bad move, Sana. Car cette fille, c’est bien Nanaka, oui, la gentille Nanaka toute mimi pour laquelle il avait le béguin étant petit. Voilà ce qui arrive quand on laisse trop longtemps une fleur sans attention, elle devient une redoutable tsundere.

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Voilà grosso-modo la trame de Myself, Yourself. Rien d’extraordinaire, si ce n’est que la qualité d’animation est plutôt bonne pour un anime du genre, sans oublier l’humour pas trop lourd, quelques petites doses de ecchi ici et là pour pimenter le tout, juste la touche qu’il faut en fait, et puis des développements assez rapides dés le second épisode, qui viennent donner de l’eau au moulin

Et puis, l’opening est assez bien foutu j’ai trouvé, et laisse augurer du bon pour la suite.

Bref, Myself, Yourself est globalement une bonne surprise. Loin d’être transcendant, ça reste agréable à suivre et malgré un début classique (le héros qui revient dans son coin en ayant oublié plein de choses), ça devient un peu plus intéressant et original par la suite. Pour peu qu’on aime le genre, évidemment, ou bien pour peu qu’on arrive à supporter la voix absolument horrible de Aoi (c’est la doubleuse de Chiyo-chan de Azumanga Daioh) qui ne lui colle pas du tout et qui tape sur le système. Mais bon, mon kawaii-o-meter reste dans le positif la concernant, je suppose que c’est donc bon signe.

P.S.: Nous sommes en pleins quarts de finale du Grand Tournoi des Maids et c’est le drame, Mahoro va peut-être perdre. Pensez donc à voter à gauche. Je n’avais pas fait d’appel à voter jusqu’ici mais là, il le faut, c’est important, chaque voix compte. Et au pire, elle gardera tout son honneur en perdant de justesse!

Le Grand Tournoi des Maids – 4èmes Round 1

Avant d’entamer ces quart de finale qui vont réellement commencer à être intéressants, je vous présente les résultats du dernier round des 8èmes:

Pour les deux derniers rounds, c’est bien sans peu de surprise que Siesta l’emporte sur Fumi qui malgré ses atouts guerriers, s’est fait laminer par la petite meido de Zero no Tsukaima. A tel point d’ailleurs que je l’ai vue sous la barre des 10% pendant un petit moment. Quant à l’autre round, c’est Sanada qui l’emporte. Le chat sur le chien, donc. Sanada rencontrera Mikuru en quart de finales la semaine prochaine, tandis que Siesta rencontrera Izumi.

Mais sans plus attendre, le beau (hum) diagramme des quart de finales:

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Et on enchaine donc avec les deux premiers matchs de chaque côté.

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Voici donc Maria, qui combattra Mahoro. Mais comme j’ai de sérieux doutes sur la victoire de Mahoro, je me suis dit qu’une petite AMV valait mieux qu’une image, plutôt que de garder ça pour les demis ou finales. Certains diront que le joker est sorti un peu vite, mais on ne sait jamais… Les deux maids sont similaires dans de nombreux points et il sera difficile de les départager!

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Et de l’autre côté, on a un duel important de ce tournoi, Emma contre Hisui & Kohaku. En voici deux (trois?) très différentes, mais le résultat nous en apprendra beaucoup sur les goûts des lecteurs de Meido-Rando en terme de Meido.

Pensez à parler à vos amis de vos meido favorites, chaque voix peut compter!

P.S.: Utilisateurs de Linux, l’ordre du tiercé est le suivant: Maria-Mahoro et Emma-Hisui&Kohaku.

P.P.S: La vidéo youtube est de moi, mais ce n’est pas moi qui l’ai uploadée. Je précise 🙂

Final Fantasy Tactics PSP

Les mots me manquent pour qualifier Final Fantasy Tactics tellement ce jeu évoque des souvenirs inéffaçables chez moi. C’est là qu’on se rend compte que les choses ont changé en 10 ans. Le nombre de RPGs qui foulent le sol Européen sont de plus en plus nombreux, et égalent bien souvent les sorties Américaines.

Petit rappel historique quand même.

Il y a dix ans, c’était l’époque de la Playstation 1, oui, la toute grise qu’il fallait mette en biais pour que le lecteur optique, à l’époque tout pourri (enfin Sony ne change pas trop ses habitudes d’une console à l’autre au moins). Dix ans déjà! C’était la grande époque de Suikoden, Soul Edge, Wipeout, Final Fantasy VII, Tekken et Metal Gear Solid. Au milieu de tout ça, et parce que j’avais une console pucée, je tombais souvent sur des jeux américains voir japonais même des fois. C’est ainsi que j’ai joué à Bio Hazard (alias Resident Evil) en japonais au début, avec son intro kitsch pas censurée, avant de demander la version européenne histoire d’y comprendre quelque chose, mais aussi à Soul Edge, qui fit le bonheur de moi et mes copains de l’époque (et dans la version jap’ on pouvait voir la raie des fesses de Sophitia dans l’intro, au moins.)

Bref, je m’égare, mais c’est pour en venir au plus important.

Parmi tous ces jeux qui ont fait le succès incontestable de la PSOne, il y eut quelques perles méconnues du grand public, surtout parce qu’au final, elles ne sont jamais arrivées jusqu’en Europe. C’est déjà un miracle que Final Fantasy Tactics fut traduit, cela l’est encore plus aujourd’hui qu’il sorte en Europe, dix ans après, dans un remake fait par Square Enix. (et n’oublions pas Valkyrie Profile, un autre miraculé)…

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Enfin portage, je suis méchant, on va dire portage amélioré. Mais avant de parler de ça, parlons un peu du jeu en lui-même.

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Vous jouez le rôle de Ramza Beoulve dans ce jeu. Demi-frère cadet d’une famille servant l’un des rois locaux qui vont s’opposer au fur et à mesure du jeu, vous devez faire honneur à votre famille. Final Fantasy Tactics, contrairement à sa version GBA un peu trop enfantine, est ici sombre, doté d’une intrigue tortueuse et où les rebondissements ne manquent pas. L’histoire commence alors que vous escortez une princesse qui, comme toute princesse qui se respecte, va se faire enlever sous vos yeux par une vieille connaissance. Un long flashback suit alors et sert de prologue au jeu avant de vous mettre dans le bain.

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Comme son nom l’indique, Final Fantasy est tactique. Expliquer tous les rouages du gameplay serait fastidieux tellement le jeu regorge de possibilités. Il y en a tellement que la lecture entière du tutorial animé vous sera nécessaire afin de bien tout comprendre. Tutorial auquel vous pouvez aussi accéder en cours de jeu.

Basiquement, les terrains de jeu sont découpés en case et vous pouvez avant le combat configurer et placer vos troupes. Vous pourrez en prendre 6 ou 7 avec vous selon les maps, parfois en comptant les "invités", ces crétins de personnages contrôlés par l’ordi et qui vous donneront plus de fil à retordre que vos ennemis tellement ils sont bêtes. En gros, ne comptez pas dessus.

Chaque unité peut executer un mouvement et une action lors de son tour, sachant que s’il ne se déplace pas ou n’agit pas, voire les deux, son prochain tour viendra plus vite dans la liste, ce qui offre une perspective tactique de savoir si on choisit de se défendre ou pas afin de pouvoir rejouer plus rapidement, par exemple.

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En reprenant le sysètme de jobs de Final Fantasy V, on a ainsi droit à de nombreux jobs (mage blanc, noir, time, ninja, archer, knight, geomancer, summoner, et d’autres que j’oublie présentement) pour chacun de nos soldats, afin de les customiser comme il se doit. Bien sûr, l’intêret principal de FFT est que votre équipe est totalement personnalisable et que vous pouvez jusqu’à choisir leur nom, ou leur sexe, en les recrutant (mis à part les personnages uniques bien sûr.) Cela a une importance tout de même, car dans le cas du sort "Charm" par exemple, ce dernier ne fonctionne que sur un ennemi du sexe opposé. De même, la date de naissance joue étant donné que le système zodiacal définit des affinités entre différents signes, ce qui vous occasionera quelques prises de tête.

Après, il y a les équipements, les compétences à choisir d’équiper… On peut bien évidemment si on a bien maitrisé deux jobs, bénéficier des avantages de l’un et de l’autre en même temps, ce qui fait qu’un personnage peut être bien "uber" si on le souhaite.

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L’un des aspects intéressants de FFT réside dans sa difficulté, assez corsée pour le débutant. C’est un jeu qui ne pardonne pas beaucoup, mais qui est extrémement jouissif lorsque vous complètez votre bataille avec succès. Il y a surtout une bataille, une seule, qui m’a pris pas loin d’une semaine pour en venir à bout à l’époque, a coups de tests en changeant telle ou telle stat, tel ou tel équipement, bref, en tweakant sans cesse jusqu’à trouver l’enchainement parfait. Cette bataille, je ne vous en dit pas plus, promet de vous bloquer un moment dans le jeu. Il y a en plus de la trame principale, quelques sous-quêtes fort sympathiques, des bouts du scénario à découvrir, des choses à débloquer, et bien sûr, son lot de niveaux supplémentaires extrèmement difficiles réservés aux meilleurs.

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FFT mériterait la note maximale s’il n’accusait malheureusement pas un peu son âge. Le terrai, très anguleux fera pâle figure face à un Disgaea. Même certains mécanismes de jeu font que l’interface se revèle parfois très peu pratique (et ne parlons même pas des maps mal conçues qui forcent à bouger la camera sans arrêt).

Autre point noir peu élégant, le portage. Sur PSOne à l’époque, cela se comprenait, mais ici, en 2007, sur une PSP quand même plus puissante, voir le jeu ramer à chaque sort (fort heureusement on s’habitue) est un peu pénible. On regrettera également qu’il n’y ait aucun moyen de revenir à l’écran titre. Une bataille ainsi mal engagée vous forcera à faire un Reset de votre console pour reprendre une sauvegarde. Quand on connaît les temps de chargement de la PSP (surtout au début du jeu), ça fait un peu mal.

Et puis, faut pas déconner, mais la police utilisée est très difficilement lisible sur l’écran de la PSP, rendant la lecture des parfois longues séquences non-interactives vachement pénibles pour les yeux.

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Enfin, tout n’est pas mauvais non plus. Outre le mode 16/9ème offrant une vue dégagée, Squar enous a gratifié d’un habillage des cinématiques collant un peu plus à l’esthétique du jeu. Ainsi, en lieu et place de l’intro en CG de l’époque, nous avons du cell shading crayonné du plus bel effet renforçant cette atmosphère moyen-ageuse. A noter que d’autres cinématiques du jeu, tournant anciennement avec le moteur, ont été refaites en cinématiques en cell-shading justement. Visuellement ça claque bien.

Autre ajout de la part de Saure, un mode multi permettant de débloquer certains items: un coop mais aussi un versus où deux équipes peuvent s’affronter. Pas testé, mais je suppose que ça doit être sympa (malheureusement les joueurs de PSP qui ont du goût sont très rares.)

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Au final, je suis loin de regretter mon achat. FFT je l’ai fini au moins deux fois par le passé, mais c’est toujours un plaisir à dévorer même après toutes ces années, et ceux qui sont passés à côté à l’époque peuvent se rattraper aujourd’hui sur un Tactical qui est à mes yeux la référence absolue du genre. Le genre n’a pas commencé avec FFT, mais a gagné ses lettres de noblesses avec. Pour moi, le premier vrai bonheur du tactical restera Shining Force II sur Megadrive, qu’on se le dise.

Les Utopiales de Nantes

Rosalys nous annonce sur son blog la soirée Manga-tan aux Utopiales. Les Utopiales étant un festival international de SF sur Nantes, et ayant quelques amis qui y vont et s’occupent même de la soirée en question via leur association Univers Partagés j’ai décidé de leur filer un petit coup de main en régie lors du cosplay organisé.

Tous les détails de la soirée pour les intéressés sont disponibles sur le blog de Rosalys.

Donc, si vous voulez venir me faire coucou et que vous habitez dans les parages, n’hésitez pas à passer à la Cité Internationale des Congrès de Nantes-Métropole.

P.S.: L’hébergement est à 200 Maid Points la nuit, chez moi. Réduction spéciale pour les habitués du channel de l’Editotaku à 100 Maid Points (il n’y a pas de petit profit :P)

Blind Spot – Chapitre 5

Déjà disponible depuis une semaine (à la louche, la notion du temps qui s’écoule m’échappe en ce moment.), le chapitre 5 de Blind Spot, l’histoire que j’écris depuis un peu plus d’un an déjà.

Retrouvez donc Ayako et ses copines dans de nouvelles aventures pleine de rebondissements… Non en fait je plaisante, il n’y a pas tant de rebondissements que ça.

En attendant, le chapitre 6 suit son cours sur mon disque dur…

Le Grand Tournoi des Maids – 8èmes Round 4

  • tousse*
  • eternue*

Pardon mais là, ça va pas fort, donc on va faire un peu court…

On sent bien que ce round a été moins passionnant que le dernieer, la faute au rugby sans doute, mais quand même, je me demandais laquelle des deux allait passer entre les meido de He is my Master, et c’est Izumi qui l’emporte sur Anna (les perdants diront que Anna l’a laissée gagner pour obtenir sa faveur) et de l’autre côté, le rouleau-compresseur Mikuru l’a emporté sur Konoe qui selon les analystes n’avait pas l’ombre d’une chance. C’est donc la fin du clan Hanaukyo pour ce tournoi des meido. De toutes évidence, la qualité l’emporte donc sur la quantité.

Et pour ce dernier round des quart de finale, nous avons à ma gauche Fumi et Siesta!

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L’une est une sorte de guerrière avec peu de fans (qu’on se le dise) d’un anime qui en a déjà peu (Mai Hime) et l’autre une chaudasse qui voudrait bien jouer au docteur avec le familier d’une certaine Louise dans l’anime rigolo qu’est Zero no Tsukaima.

Ah, je suis comme ça quand je suis fatigué.

Et de l’autre bord, nous avons peut-être une prétendante au titre, ainsi qu’une meido sortie d’on ne sait où, mais qui ne manque pas de charme. J’ai nommé Sanada et Nadeshiko!

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Sanada, du délirant UFO Princess Wakyure, n’est autre qu’une neko meido, la seule parmi les participantes, ce qui lui confère un avantage certain. Sachant manier lees armes a feu avec dextérité et possédant sa propre armée de nekogirls, elle va devoir lutter contre Nadeshiko, de l’anime Inukami, qui n’a que pour elle l’ecchi de son costume (à gauche sur l’image) et ses deux comparses.

Prepare to fight!

Utilisateurs de Linux : je vous aime, mais là je peux pas faire autrement, encore une fois donc les étiquettes sont invisible sur le vote à gauche, mais c’est dans l’ordre annoncé ci-dessus.