MaOTD #220
Kyonko en meido ? Ce modèle, reservé aux fans les plus hardcore de La mélancolie de Haruhi Suzumiya est à 9 500 Maid Points. La production vient tout juste de débuter de façon massive et il est encore difficile de satisfaire la demande.
Nogizaka Haruka no Himitsu
A vrai dire chaque fois qu’une nouvelle saison d’anime se profile, je survole la liste des nouveaux animes qui vont être diffusés, et rien de spécial n’attire mon attention, sauf peut-être les licences très connues, ou bien des animes à l’intrigue particulièrement rigolote. Dans la pratique, il est rare que je me cantonne à une seule série lors d’une saison, mais j’en regarde parfois deux ou trois à la fois, pas plus. Suis-je devenu élitiste? Vieux con? Otaku de seconde génération ? Les trois à la fois ? Blasé peut-être ? Non, pas blasé… car je sais reconnaître une bonne série quand on me dit "va essayer ça c’est vraiment trop cool." Ceci étant dit on m’a déjà piégé comme ça avec des animes de Sunrise tels que Mai Otome et Gundam 00. Peut-être que je devrais mieux choisir mes amis à l’avenir…
Nogizaka Haruka no Himitsu (Le secret de Haruka Nogizaka) est donc l’une de ces séries que j’attendais; Un peu trop peut-être, car au final, NHNH ne se révèle pas complètement à la hauteur de mes espérances. Pas complètement?
Je suis trop faible.
Allez, je vous explique, tant que j’y suis. Notre héros typique de harem, Yuto, est un gars un peu blasé mais sympa dans le fond. Par contre il a un pote qui adore les animes. Bref, c’est un otaku. Yuto lui, suit ça de loin. Ca l’intéresse mais pas plus que ça. Dans sa classe, Yuto connait une fille, Haruka Nogizaka, qui est la coqueluche du lycée. Belle, intelligente, douée, issue d’une famille riche. Cette fille a tout pour elle, la noblesse, la démarche gracieuse, et la voix horripilante de Noto Mamiko. Vous voyez le personnage plus haut? Imaginez donc la voix de la binoclarde de Mai Hime, de Aya de Ichigo 100% ou bien encore plus récemment de Kotomi dans CLANNAD. Voilà. C’est là que ça va pas. Pour moi, ce personnage aurait dû être une tsundere, pour que ça soit limite drôle. Mais non, elle fait la timide, et en plus de ça rien qu’à l’entendre j’ai d’affreux flashbacks de Kanokon (où elle doublait le héros shota.)
Pour continuer sur l’histoire, en gros le héros va s’apercevoir que notre héroine a des lectures étranges. Enfin, étranges pour elle: elle lit des magazines pour otake quand personne ne la regarde. Voilà le secret que l’anime aura mis la moitié d’un épisode à nous réveler: Nogizaka Haruka est une otake qui ne s’assume pas.
Suppliant alors le héros de ne rien dire à personne, (surtout après qu’ils aient renversé plusieurs étagères de la bibliothèque scolaire, ce qui va être compliqué à cacher) celui-ci accepte et ne pense même pas l’ombre d’un instant la faire chanter pour obtenir de l’argent ou quelques menus services de la part de la très mignonne Haruka. Quel gâchis.
Ce dernier devient plutôt le gardien de son secret, et en lui, Haruka trouve quelqu’un à qui parler de sa passion, et traîne même notre héros jusqu’à Akihabara, où elle visitera des enseignes de prestige tel que Tora no Ana, où on peut trouver tous les meilleurs dojinshis du monde.
Après un premier épisode bien moyen, la série se rattrape pour le moment avec un second où le personnage de Haruka est bien plus équilibré. Dans le premier, on voit surtout qu’elle est timide, maladroite et un peu cruche. Mais en fait, dans le second, une fois dans son élément (Akihabara), elle prend les devants, dirige le héros, sait où elle va, et finira même par essayer bien volontiers un costume de meido dans un maid café. Ces réalisateurs savent me prendre par les sentiments.
N’empêche que malgré sa réalisation dans la moyenne, son opening otake et son ending du même acabit avec des meido qui dansent sur une musique quelconque, NHNH se dresse comme un petit anime sympatoche pour les fans que nous sommes, à l’image d’un Genshiken, Comic Party, ou d’un Lucky Star, sans toutefois en atteindre leur brillance. Car ce qu’il manque pour le moment à NHNH, c’est bien ça, du peps’.
L’ending m’amène d’ailleurs à me poser la question suivante: comment KyoAni va-t-il faire pour faire MIEUX que le Hare Hare Yukai pour la seconde saison de la déesse?
CLANNAD – Episode 24 – Tomoyo’s Chapter
Il est arrivé.
Tous les fans de Tomoyo attendaient cet épisode spécial sur le tout dernier DVD de CLANNAD sorti au Japon. Et Kyoto ANimation n’aurait jamais pu faire un aussi beau cadeau aux fans.
Avec une Tomoyo comme ça, je craque. Je craque complètement.
Pour ne pas trop spoiler cette review sera courte et ne contiendra qu’une seule image. Parce que cet épisode, ces 24 minutes de votre vie, vous ne voudrez pas les passer en sachant ce qu’il va se passer à l’avance. Même moi qui ait fait le visual novel j’ai senti l’émotion la plus pure parcourir mon corps en voyant cette version animée de l’arc qui est sans doute le plus sentimental du jeu.
L’épisode se déroule donc dans une version alternative de CLANNAD où Tomoya s’est rapproché de Tomoyo et non de Nagisa. D’ailleurs vous ne verrez absolument aucun autre personnage de la série si ce n’est Sunohara. C’est toujours aussi bien animé, toujours aussi fort, et KyoAni a réussi le pari insensé de condenser plusieurs heures de jeux en 24 minutes. Bien qu’on aurait pu souhaiter 2 épisodes au lieu d’un histoire d’étaler un peu plus le tout, on ne peut déjà qu’être heureux du travail réalisé pour cet épisode. Au chapitre des regrets également, il manque la scène de pelotage dans la salle de classe (où Tomoya glisse sa main sous l’uniforme de Tomoyo qui se laisse faire bien volontiers) ainsi que celle du baiser au moment de l’annonce du résultat des elections. Mais bon, KyoAni sait se faire pardonner.
Tomoyo aurait dû être l’élue de CLANNAD, pas Nagisa. La vie est injuste parfois.
La Brigade SOS à la Japan Expo – La vidéo!
Ouais bon ça fait pas loin d’une semaine que certains d’entre vous ont découvert cette vidéo, notamment sur le forum de Haruhi.fr mais il fallait bien que je la poste par ici.
Cette vidéo, faite avec Sony Vegas (merci au Raton du conseil) m’a pris en tout et pour tout une journée complète (un samedi) jusqu’à tard dans la soirée. Et encore, j’aurais pu aller plus vite si mon système n’avait pas fait une allergie au logiciel.
Et pour ceux qui souhaiteraient avoir une version de bonne qualité, c’est par là
Comme vous le voyez, l’ambiance était bonne, et rien que pour ça, il fallait être à la JE 2008. Ouais, rien que pour ça, parce que le reste…
Mes figurines 2008
C’est décidé, je vais esayer de faire un post sur mes figurines une fois par an. Mine de rien le dernier date de Mars 2007 ce qui est vraiment surprenant car je pensais l’avoir fait en début de cette année.
Les photos ont été prises avec un peu trop d’éclairage et la vitrine ouverte.
Ce post est dédié à ma meido personelle d’élite N°2.
Alors faisons donc le tour des différentes étagères.
De gauche à droite nous avons Feena, la princesse qui sauve a elle seule cet anime daubesque qu’était Crescent Love. Puis à côté nous avons une petite figurine d’un personnage de Eve Burst Error (l’assistante de Kohiroh) dans sa version Adam. Vous aurez également reconnu une Nanoha et enfin une Mikuru en bunny, offerte par ma meido N°2 lors de la dernière Japan Expo. Elle a le visage et les bras interchangeables et on peut lui mettre un micro dans les mains ou bien une AK47.
Mahoro sur sa moto (un peu petite mais de très bonne qualité) protégée par son armée de personnages de Lucky Star que j’ai acquis à Epita 2008.
Il me fallait bien une ou deux Haruhi aussi et malgré une autre Mikuru en bunny, voici Haruhi avec sa guitare. Il y a devant elles une plus petite Haruhi et une sorte de reconstitution de son environnement naturel (avec une Mikuru adulte) achetées à Epita 2008
Outre les petites figurines de Love Hina achetées 3 fois rien en pack à une Epita, la Mahoro sur la gauche a une très belle histoire. C’est d’ailleurs ma toute première figurine: elle a été trouvée par Corsaire à la FNAC des Champs Elysées et j’ai fait tout le trajet avec lui depuis Epita pour aller la chercher. C’était en 2002.
A côté de ça la fameuse Rin en maid achetée à Epita 2008, une petite Mahoro dans le fond en plastoc tout pourri que j’ai eu eun bonus avec les DVD Japonais de la série.
C’est là que je me rends compte que le temps passe vite: ces deux figurines furent achetées à Epita 2007 vers la fin de la convention quand je pensais repartir les mains vides.
(je referai une photo ce soir pour celle-ci)
Là on a dans le fond à gauche un petit robot de Red Dwarf, offert avec les derniers DVDs anglais de la série. Une Stella offerte par Morgan (qui n’en voulait pas à la base mais bon, je pouvais pas laisser une figurine d’un anime qui n’existe pas errer dans une poubelle, ça se fait pas.) et dans le fond une Mahoro sous cloche, parce qu’elle n’avait pas de socle et a été painte à la main par mon frangin pour Noel 2004, merci à lui.
La Saber que vous voyez ici vient directement du Japon et a traversé le monde avec moi dans l’avion. A côté d’elle, une Aka de l’anime REC que j’affectionne tout particulièrement, commandée sur HLJ y’a de ça un petit moment déjà.
Et pour terminer, une Kyou, Tomoyo (qui étaient livrées avec des magnets que j’ai collés à mon frigo) et une Ryouko Asakura. La Ryouko est également un cadeau de ma meido N°2, pour me prouver sa loyauté. Devrais-je avoir peur sachant qu’on peut interchanger le cartable de la figurine par un couteau?























