Axel dans un Maid Café, ça donne quoi?
Me voilà donc en possession d’un permis de goshujin-sama, en d’autres termes je suis habilité à diriger des meido grâce à ce permis, mwhahahaha. Mais je ne suis qu’un petit level 1, il va falloir que je progresse en revenant plus souvent au maid café @home. La photo sur la droite a été prise dans le maid café, avec la très jolie Ami-chan :3
Un maid café, déjà il faut faire la queue souvent pour entrer. Coup de bol, nous n’avons pas eu à attendre trop longtemps. Je suis désigné comme le goshujin-sama du groupe par les autres (logique) qui un peu réticents devant tant de moé ont vraiment hésité à me suivre, il a fallu que je paye leur note… 😛
Bref, une fois les présentations faites, on rentre et on est acceuillis par des voix sucrées au possible. On a choisi de se mettre au comptoir pour le goûter (il était 16h30). Il y a aussi un livingroom un peu plus confortable bien sûr. Une fois assis une meido charmante nous explique le menu, il y en a même un tout en anglais pour ceux qui ne lisent pas le runique. Comme dans beaucoup de bars au Japon on paye un droit d’entrée (ici 700 yen) puis on peut prendre des petits plats en salé, sucré, ou des boissons. Pour les plats salés, une meido vient même vous mélanger tout et vous servir comme il faut: c’est hyper moe.
Qu’elle n’a d’ailleurs pas été ma surprise en voyant les meido faire le "moe moe kyun!" de K-On et nous entrainer tous à le faire. C’était moe quoi!
Dommage pour moi sinon, je comptais vous faire un reportage vidéo, mais il aurait fallu que je demande à l’avance aux gérants de ce maid café. Logique en même temps, même si c’est dommage. Si seulement j’avais été avec des compagnons un peu plus enclins au moe et aux meido, j’aurais déjà pu visiter tous les cafés d’Akiba! Mais bon, je me rattraperai bien dans 3 ans, date provisoire de mon prochain voyage.
Bref, après quelques moe moe kyun de plus, je vais voir avec Darksoul les photos des meido avec qui on peut prendre une photo. Celle qui retiendra mon attention est Ami-chan. Du coup je la choisis et on me signale qu’elle viendra me chercher quand elle sera disponible. Soit.
On retourne à nos places et on finit de déguster nos desserts ou petits plats, voire nos cafés pour certains, et une meido (encore une autre!) vient taper la discute avec Darksoul en japonais sur les animes qu’il connait. Evidemment on lui explique qu’on vient de France et tout et qu’on connait les animes depuis très longtemps.
Ami est prête, je vais faire ma photo avec elle. Elle me propose de mettre un nekomimi ce que je refuse cordialement (parce que bon, faut pas déconner quand même) avec l’aide de Darky pour me faire comprendre. Une fois de retour à nos places, on attend la photo, l’addition, et on reçoit nos cartes de goshujin-sama. Bon je sens que je vais hériter de celles de mes compagnons (qui ont tous signé sous un faux nom ces traîtres).
Bref, @home, c’est dans Akiba, c’est pas loin de Tora no Ana et autres, c’est moe à souhait, les filles sont mignonnes tout plein, et le service impeccable.
Le truc qui nous a fait halluciner le plus c’est quand même l’une des meido qui a débarréssé nos plats d’un "C’est fini?" en français, faisant ainsi planter le module japonais de Darksoul qui s’attendait à entendre du runique.
Et moi dans tout ça, ben je suis content! CONTENT!
Encore 10 000 yen de loot
Ce billet aurait aussi pu s’appeler "Ne laissez pas deux otakes occidentaux seuls dans les 6 étages de Tora no Ana"
Les plus connaisseurs auront remarqué quelques jolies pièces dans le lot… il faut savoir qu’à Tora no Ana il y a un étage consacré aux doujins d’occasion, dans un état impeccable (contrairement à nous les japonais prennent très soin de leurs affaires) et on y trouve quelques vieilleries mais qui font toujours autant plaisir. Du coup j’ai un set de doujins un peu plus varié que d’habitude… et non, rien n’est à vendre.
Il y a également deux CG sets de Haruhi (hentai évidemment) et des petits straps ici et là de touhou. Il y avait en effet à un étage cinq machines de type gashapon: vous mettez 200 yen, vous tournez un bouton et un gashapon sort dans une petite boule de plastique, sauf que là c’était plutôt des straps touhou qui en sortaient.
Et avec ça je pense que j’en aurai assez acheté, huhu. Normalement tout doit tenir dans ma valise. Vous noterez aussi le Shonen Ace acheté uniquement pour le tapis de souris Haruhi à l’intérieur, illustré par Noiji-sensei.
La déesse est de retour! La saison 2 de Haruhi Suzumiya est enfin là!!!
La saison 2 vient tout juste d’être diffusée au Japon, enfin son premier épisode tout du moins (pardonnez c’est l’émotion) et c’est avec toute une collection de fans (plus de 4500) que nous avons pu découvrir le premier épisode inédit de cette "rediffusion" de Haruhi: La Rapsodie de la Feuille de Bambou.
A part l’ending plutôt décevant tandis qu’on s’attendait à un Hare Hare Yukai bis, on a néanmoins pas encore pu voir l’opening.
Kadokawa a donc choisi de rediffuser la première saison, dans l’ordre chronologique afin de caser entre les épisodes de la première saison de nouveaux épisodes qui constituent ce qu’on appellera "la saison 2"
Gloire à la déesse, elle est enfin de retour parmi nous!
(screen courtesy of Touhou Megacorp aka Nyoronyolo)
43 000 yen de jeux vidéos (et si y’avait que ça…)
Petite excursion aujourd’hui à Akiba encore, mais cette fois ci chez Traders, une double-boutique de jeux vidéos neufs et d’occasion. Petit jeu: devinez qui à acheté quoi. (43 000 yen à nous trois)
Allez, je vous donne un indice, voici mon loot à moi (j’ai juste oublié de mettre un article dessus, saurez-vous trouver lequel?)
Le truc en haut à gauche est une taie d’oreiller Lucky Star, vu que ça se voit pas trop sur la photo, et au centre un t-shirt.
Ah et j’ai aussi investi encore 55 000 yen dans DarkBSD Corp.
15 000 yen de doujinshi et goodies (NSFW)
Voilà ce qui arrive quand on va tout seul avec Shikaze au Mandarake de Nakano (le plus grand sur plusieurs étages)
Attention l’image qui suit n’est pas "safe for work"
Apologie de l’Epic Win – Le retour de la vengeance
Vous excuserez ce texte desstiné avant tout au public de Haruhi.fr
Je pensais honnêtement que de rencontrer Ditama Bow faisait de moi un fan accompli.
Mais en fait, je n’avais encore rien fait. Rien.
Aujourd’hui, mes amis, j’ai pu faire l’impensable, ce que même peu de fans Japonais peuvent se targuer d’avoir fait:
Rencontrer Noiji Ito.
Alors oui, on dit Noiji ou Noizi, c’est du tout comme.
La journée s’annonçait mal avec un orage et un Shinkansen (train équivalent du TGV au Japon) loupé de quelques minutes. Il faut dire que notre périple (à moi, Darksoul, Corsaire, et Shikaze) devait nous mener vers Osaka. Noiji n’est pas encore une illustratrice suffisament connue pour se permettre de travailler en solo, et elle est encore employée par une boîte là-bas.
Tout a commencé il y a un an, où nous avions lancé une idée folle entre moi et Darksoul: Inviter Noiji Ito en France. Comme nous avions déjà pu rencontrer et faire venir d’autres auteurs par le passé, on s’était dit que cela serait un tour de force que de faire venir l’illustratrice d’Haruhi en France.
Au départ on voulait garder ça secret, mais je n’avais pas d’autre choix que de réveler tout à cause de la pétition (démarrée à la dernière minute sur une idée de nos contacts Japonais.) En l’absence de certitudes quant à la possibilité de cette rencontre, je ne pouvais décemment rien vous promettre trop en avance.
J’avais prévu un nouveau voyage au Japon pour 2009 et c’est donc tout logiquement qu’on s’était dit que la rencontrer à ce moment était le choix le plus judicieux, ne serait-ce que parce que je pouvais alors représenter la communauté des Haruhiistes en France face à elle.
Et c’est ce que j’ai fait.
Comme tout fonctionne par contacts au Japon, nous avons dû d’abord faire un saut à la branche d’Osaka de Digicraft, qui a ensuite pu nous mener à la boîte de Noiji Ito, Softpal. Sur place, nous avons pu rencontrer cette femme charmante (et je pèse mes mots) ainsi que son manager. Les discussions ont commencé sur les présentations, et avec l’aide de DarkSoul et d’une jolie carte de visite, je me suis fait connaître comme le "dancho" de la Brigade SOS Francophone (avec toutes les formes qu’il faut pour donner du poids "légal" à la chose). Pour faire passer ça encore mieux, on a déclaré Shikaze comme mon assistant (rôle qu’il a très bien tenu.)
S’en suivit des discussions sur ce qu’il y a en France comme events, comme fandom… Elle a bien sûr pu voir le portail de Haruhi.fr (qu’elle et son manager ont bookmarké sur l’ordinateur de projection de la salle de réunion où nous étions) et bien sûr la fameuse pétition que vous avez été un peu moins de 250 à signer au moment où nous l’avons imprimée avant de partir (environ 1h du matin ce vendredi en France.) Elle a parcouru la pétition avec des yeux gros comme ça et en poussant des petits "sugoi…" fort plaisants.
Nous lui avons également montré la bâche Haruhi qui était à Epitanime 2008. Elle a alors déclaré que ça lui plairaît bien de venir en France, voir la Tour Eiffel et tout ça, et on a bien senti qu’elle était un peu dépassée par sa popularité, elle ne s’imaginait pas être connue et aimée jusque par chez nous. Et puis voir tant d’efforts déployés (des français qui se déplacent spécialement pour elle) l’a émue.
Tout semblait pour le mieux engagé: elle a sourit et pointé du doigt les stickers SOS-Dan de Kaze sur mon Macbook Pro quand j’avais voulu lui montrer le site (qu’on a finalement parcouru sur l’écran géant pour plus de facilité car connexion internet…) et elle nous a même offert un petit doujinshi de quelques pages (son dernier en date) en remerciement et elle nous a aussi montré l’artwork du dernier jeu sur lequel elle a travaillé (dont le nom m’échappe)
Enfin, on a terminé par la photo que vous avez vue plus haut, et sur la signature de quelques dédicaces (une pour moi sur le roman japonais de la Déesse, et une autre pour Kohaku sur son dernier artbook sorti quelques jours auparavant: il va sans dire que Kohaku me voue désormais une reconnaissance éternelle et sans limites, j’ai réfléchi à l’idée d’en faire mon butler d’élite N°1 d’ailleurs :D)
Histoire de terminer une rencontre pleine de promesses et de pure win, comme on dit, elle m’a serré la main chaleureusement en me remerciant, ce que je lui ai rendu bien sûr.
Je ne me laverai plus jamais cette main 😀
Noiji Ito est vraiment une personne charmante, et j’espère que lors de son arrivée prochaine (ça prend du temps à préparer tout ça, n’espérez rien avant l’année 2010) vous lui réserverez le plus chaleureux accueil possible. C’est grâce à elle et Tanigawa que Haruhi est la Haruhi que nous aimons tous. C’est aussi grâce à elle que Shana est Shana, bref, c’est une personne très importante et gentille, et d’une modestie tout simplement adorable.
J’ai envie de dire que j’ai eu beaucoup de chance de faire cette rencontre, c’est vrai, mais il ne faut pas oublier que ce n’est pas tous les jours qu’un fandom étranger peut se faire représenter et remarquer auprès des auteurs de la série qu’ils aiment. C’est ce qui nous différencie des autres fandoms, et qui fait que je suis fier de vous tous quand je vous vois oeuvrer pour le fanzine, pour les conventions, pour la vie du site et la propagation du Haruhiisme.
Avoir des auteurs aussi gentils est une bénédiction pour notre communauté et j’espère que vous la lui rendrez comme il se doit.
Noiji Ito, nous vous attendons à la prochaine Epitanime ou Japan Expo!
Pour fêter ça je vous propose après votre réaction à ce message, de lui laisser un petit mot pour la remercier d’avoir l’enthousiasme de venir en France et de nous avoir acceuillis de la sorte. Restez concis et n’écrivez pas tout un paragraphe, car j’en connais un ou deux qui vont se coltiner la traduction de vos messages en Japonais pour qu’elle en prenne connaissance! Séparez donc bien votre réaction du message dans vos réponses, merci.