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6 ans de Maids !

Oyez oyez brave gens ! Nous voici déjà dans la sixième année du calendrier Maidien !

mahoro

Déjà 6 ans. Ouais, ben ça nous rend pas tout jeunes ça. Je dois être l’un des derniers bastions de l’époque pré-Blogchan avec FFenril à être encore debout. Bien sûr, un peu comme tous les petit vieux de la blogosphère, l’activité s’est trouvée un peu ralentie au cours de l’année. Il n’y a pas eu de tournoi en fin d’année 2010 (j’ai préféré laisser le champ libre à Tabris avec son Grand Tournoi des Imouto) et globalement j’ai l’impression d’avoir produit moins d’articles que par le passé. La PASSION vit toujours, mais souvent le manque de temps et de choses à dire sur tel ou tel sujet (le manque de temps se joue aussi sur la réflexion) m’empêchent de prendre mon clavier à deux mains et d’écrire. Je regarde également beuacoup moins d’anime que par le passé, a raison de deux à trois séries par saison uniquement. Ma consommation de manga, elle, n’a pas bougé d’un iota et reste à un niveau relativement élevé à mon sens (environ 50 à 70€ de manga par mois)

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Par contre, qu’est-ce que j’ai joué ! Playstation 3, Xbox 360, DS, PSP, et bien sûr le PC, je suis presque partout à la fois selon les jeux qui sortent sur telle ou telle plateforme. Côté JV 2010 a été une cuvée sympathique, et 2011 s’annonce tout aussi bien si ce n’est mieux encore. Avoir uns alaire et accès à Steam n’aide pas non plus, et avec ses multiples soldes dans tous les coins j’ai pu profiter de beaucoup de jeux à moindre coût.

D’ailleurs si vous me cherchez sur les réseaux de jeu…

– Steam : [RafaL]AxelTerizaki
– Xbox Live : AxelTerizaki (de temps en temps)
– Playstation Network : AxelTerizaki (présence quasi nulle)

recettear

Difficile de quantifier les visites de Meido-Rando cette année passée. Le passage à WordPress a considérablement changé les statistiques réucpéréezs sur le serveur, résultant en moins de « visites », même si je suppose que cela était dû à Dotclear en lui-même. A noter que Meido-Rando consomme toujours 60Go par mois de traffic, environ.

Du coup je serais bien incapable de vous dire si le traffic a réellement changé, nous aurons cette réponse l’an prochain. Pas de changements majeurs prévus sur Meido-Rando cette année en tous cas, il va juste falloir que je trouve de quoi faire des sondages pour le futur Grand Tournoi des Mamans (et ne me demandez pas de date, j’en ai aucune idée moi-même.)

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Voyons voir l’année passée…

L’année 2010 a surtout été rythmée localement par la venue de Noizi Ito en France. Pour beaucoup d’entre vous, j’imagine que cela n’a été que la venue d’un auteur parmi tant d’autres, mais pour ses fans, et rien que pour tout ce que cette venue orchestrée par des amateurs représente, c’était quelque chose de grand et mémorable. Rendez-vous compte : de simples fans, avec la seule force de leur PASSION et un peu d’argent, ont réussi grâce à une autre association qui fait une convention chaque année (Epitanime bien sûr), ils ont pu faire venir par leurs propres moyens et en organisant presque tout de A à Z la venue et le séjour de leur artiste préférée. Rien de tout cela n’aurait été possible sans Darksoul, sans Epitanime et sans ce bon vieux klaha, mais il faut bien faire le parallèle entre cette venue et comment se font habituellement les visites d’auteurs lros de conventions plus professionelles, et donc plus strictes. Il y a eu un alignement de planètes réussi, et c’est certain que les plus râleurs iront se plaindre que la Brigade SOS faisait peur ce week-end là, à s’agiter comme une ruche autour de Noizi Ito comme s’il s’agissait d’une secte, mais je pense que l’euphorie était difficile à contenir pour tout le monde. Un certain nombre de personnes ici viennent aux conventions en tant que visiteurs mais il ne faut pas oublier que d’autres, comme la Brigade ou de nombreuses autres associations en France, viennent en tant qu’organisateurs et sont là pour travailler en s’amusant. Du coup, pouvoir relâcher toute la pression causée par les préparatifs de la convention à tous les niveaux (organisationnel, fanzine, financier…) a rendu tout le monde un peu beaucoup trop heureux. C’est un sentiment que des gens qui ne staffent pas en convention ne peuvent pas comprendre, je pense. Le plaisir d’avoir réalisé quelque chose, que tout ce qu’on a autour de nous, nous y avons participé, et nous ne sommes pas juste là pour y participer… c’est quelque chose qui me pousse chaque jour à continuer de m’investir dans le petit monde otaku en France.

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A part ça, 2010 n’a pas été spécialement brillant niveau anime. Oh c’est sûr on a eu des trucs comme Angel Beats, Redline, la Disparition de Haruhi Suzumiya ou la saison 2 de K-On qui furent plaisants à regarder, (et émouvants à la fin), mais je serais bien infoutu de vous citer deux autres anime qui m’ont réellement marqués. C’est triste à dire mais ce que je disais déjà l’an dernier au sujet de la qualité globale des séries qui s’effrite se vérifie encore. Ca ne nous empêche pas d’avoir de bonnes surprises ici et là, mais c’est beaucoup moins intense qu’il n’y a quelques années. Je vais pas vous refaire un topo sur les causes possibles, car ça alimenterait la machine à trolls et qu’on a pas besoin de ça.

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L’année 2010, c’est aussi celle de Nanami. L’agrégateur est bien lancé maintenant, et s’est petit à petit transformé en communauté otake. N’hésitez pas à y proposer votre blog si vous pensez qu’il peut y figurer, les critères ne sont pas des plus stricts (tant que vous écrivez correctement et que vous parlez des sujets anime, manga, jeux vidéo ou japon…) Bon d’accord le forum est au point mort, et le gros de l’activité de la communauté se situe sur IRC et les joueurs (ou les otakes souhaitant discuter de vive voix) se retrouvent sur le serveur Mumble. Nana et Mi sont à votre écoute si vous avez des suggestions à faire, en tous cas.

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Meido-Rando part ainsi sur sa septième année. Avec je l’espère, toujours autant de meido (le moe-mode ne risque pas encore de s’éteindre), de bonne humeur, de geekeries, et bien sûr de plaisir otaku et jeu vidéo. Merci à tous les lecteurs, ceux qui lurkent ici comme ceux qui postent des commentaires. Merci aussi à toute la communauté otake, à mes confrères et consoeurs bloggeurs…

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…mais aussi à SHAFT d’avoir pour un fois réalisé un anime que j’arrive à supporter, à Kyoto Animation pour leur travail d’orfèvre sur le film de Haruhi et sur K-On!!, à Epitanime et à la Brigade SOS pour m’avoir permis de vivre un rêve éveillé, au fandom Haruhi pour avoir crée Kyonko <3... idolmaster

…et puis n’oublions pas de remercier toutes les meido du monde, d’élite, militaires, enseignantes, infirmières, et celles que j’oublie. C’est grâce à vous que ce blog est né et qu’il continue d’avancer !

Ceci étant dit, rien ne vous empêche de dire dans les commentaires ce que vous souhaiteriez voir prochainement sur Meido-Rando. C’est pas certain que j’exauce les voeux de tout le monde, mais ça pourrait me donner une idée ou deux et me motiverait un peu plus à écrire. Qu’on se comprenne bien : je pense toujours qu’écrire est un plaisir et que c’est beaucoup plus important de le faire pour soi-même que pour quelqu’un d’autre. Cependant, ça serait quand même un peu extrémiste de penser que les lecteurs de Meido-Rando n’ont pas leur petit mot à dire sur le contenu de ce blog.

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Slayers

Quand on parle de héros et d’héroïnes d’animation des années 90, on a plutôt tendance à penser à Sailor Moon, Goku, Ranma, les pilotes d’Evangelion, mais on a un peu trop tendance à oublier l’une des grandes sagas de la seconde moitié de cette époque : j’ai nommé Slayers.

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Lina dessinée par son character designer dans un joli artbook

Et par saga, je pèse mes mots : l’univers heroic-fantasy de Hajime Kanzaka est documenté dans plusieurs dizaines de romans, quatre saisons de 26 épisodes (ça fait 104 épisodes, oui, je sais utiliser ma tête aussi), six OVAs, cinq films et plusieurs séries de manga ainsi que des jeux vidéo. Autant dire tout de suite qu’il y a de quoi faire et le monde de Slayers fait partie de ces mondes complets, avec ses royaumes, ses dirigeants, ses factions, et ses légendes. Ca tombe bien, car nous allons étudier aujourd’hui l’une des légendes de ce monde : celle de Lina Inverse.

Lina est sans conteste l’héroïne principale du monde de Slayers. Il s’agit d’une jeune fille, 15-16 ans tout au plus, magicienne hors-pair et aventurière. Lina avec sa fière chevelure rousse est connue de par le monde pour tabasser tout ce qui bouge et qui ressemble à un bandit avec sa magie dévastatrice. Cette sorcière de génie malgré son jeune âge n’est pas là pour sauver la veuve et l’orphelin : elle est là surtout pour empocher les trésors déjà dérobés par les bandits. Or, artefacts magiques et que sais-je, elle empôche tout ce qui l’intéresse. Mais Lina est aussi connue pour son sale caractère, et son appétit proportionellement inverse à son tour de poitrine (beaucoup de gens sont morts en la critiquant à ce sujet.)

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Décrite comme cela, Lina Inverse pourrait être la parfaite méchante, mais c’est le genre à avoir un bon fond et à répondre présent quand il faut agir pour le bien de l’humanité (comme par exemple latter du gros démon béliqueux). Elle n’hésitera pas non plus à aider ses compagnons de route ou à agir quand sa fierté est en jeu. Elle a écopé de certains titres parmi la population locale, notamment celui de « L’ennemie de toute forme de vie. »

Dans Slayers, il y a en fait deux grandes sous-sagas. Chronologiquement parlant, Lina a d’abord voyagé avec Naga Le Serpent Blanc, une magicienne aussi insupportable que bien gaulée et partisante de l’adage « Moins d’armure égal plus de protection ». Son rire moqueur et singulier restera d’ailleurs dans les annales de l’animation japonaise, souvent imité, rarement égalé. Les aventures de Lina et Naga seront le premier contact que le grand public aura avec le monde de Slayers. Les deux magiciennes écumeront le monde à la recherche d’objets ou de sortilèges rares ou tout simplement d’un emploi. Ces aventures sont consignées dans les quatre premiers films et les six OVAs. Au delà de cela, vous n’entendrez que vraiment rarement parler de Naga…

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Lina et Naga, dans un poster fan-service de l’époque.

Car le gros de l’histoire de Slayers, c’est quand Lina rencontre Gourry Gabriev, épéiste à la mémoire de poisson rouge et à l’intellect déficient. Il suivra dés lors la sorcière partout et l’aidera dans ses différentes quêtes pour son profit personnel ou pour sauver le monde, c’est selon. Ce duo gagnant et très contrasté (Gourry a souvent besoin qu’on lui explique comment le monde marche, ce qui permet au téléspectateur de comprendre un peu mieux les forces qui régissent le monde de Slayers ou les enjeux de telle ou telle quête.) sera vite rejoint par Amelia la jeune magicienne blanche un peu obsédée par la justice et le mystérieux et très terre-à-terre Zelgadis.

Tout ce petit monde haut en couleurs sera rejoint par certains personnages le temps de quelques épisodes : Sylpheel la prétresse amie d’enfance de Gourry, Xeloss le mystérieux prêtre à la recherche de la Clare Bible dans la seconde saison, ou encore Filia la dragonesse dans la troisième saison. De quoi varier les plaisirs.

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Zelgadis, à gauche, et Lina Inverse.

Difficile de parler de Lina Inverse sans aborder le système de magie du monde heroic-fantasy de Slayers. Il est divisé en trois principales catégories de sorts : la magie blanche principalement utilisée pour les soins et la protection (mais il y a quelques sorts d’enchantement ou d’attaque comme le Megido Flare) et qui fait principalement appel aux dragons (l’entité bienveillante de Slayers), le shamanisme qui fait appel aux éléments (Fireball, Flare Arrow, Dill Brand…) mais aussi à l’esprit et l’âme (le Ra-Tilt par exemple) et enfin la magie noire qui tire son pouvoir des démons (Mazoku) de la série. Le plus célèbre et l’un des plus dévastateurs de ces sorts est le Drag Slave, que Lina utilise parfois à tort et à travers et qui laisse habituellement un cratère fumant de plusieurs kilomètres de diamètres (ça pique.) L’un des running gag de la série consiste d’ailleurs en Lina qui détruit une ville entière à la fin du premier épisode de chaque saison à l’aide de ce sort dont l’incantation est la suivante (en anglais car elle est plus classe que la traduction un peu pourrie de Déclic Images) :

Darkness from twilight,
crimson from blood that flows;
Buried in the flow of time;
In Thy great name, I pledge myself to darkness!
Those who oppose us shall be destroyed by the power you and I possess!
DRAG SLAVE!

Ca me rappelle le bon vieux temps où on récitait cette formule en japonais comme de bons weaboo avant de kicker les gens sur IRC. Si vous souhaitez voir un aperçu des sortilèges de Slayers, il y a ce site qui pousse même le vice jusqu’à indiquer dans quels épisodes et par quel personnage les sorts ont été utilisés.

films

Lina a quand même plus de classe dans la série TV que dans les films et OVAs…

Mais le monde de Slayers est plus complexe que cela. En fait, il est même lié à une autre série du même auteur qui pourtant n’a absolument RIEN à voir à première vue : Lost Universe. D’une qualité bien moindre que Slayers, Lost Universe est une série de science-fiction. Et pourtant, si on s’intéresse à la mythologie de Slayers et de Lost Universe, on se rend compte qu’ils ont en commun une épée de lumière et le Lord of Nightmares, une entité qui aurait crée ces deux mondes (et quelques autres). Le Lord of Nightmares (enfin, la, puisqu’apparement il s’agirait d’une femme) est même craint de Ruby-Eye Shabranigdo, Zanafar, Hellmaster Phybrizo ou Beastmaster Zellas Metallium, les plus gros Mazoku de la série.

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Malgré tout ce serious business sur l’univers, les démons, les dragons, et tout le reste, Slayers reste à mille lieues des ténors du genre de l’époque, Berserk et Lodoss en tête. Car Slayers ne se prend pas au sérieux. Pas une seule seconde. Il y a des moments où l’univers est sur le point d’être détruit et pourtant, l’histoire regorge d’humour, ne serait-ce qu’avec le personnage de Lina (doublée avec brio et énergie par Megumi Hayashibara qui un peu plus tard fera la très silencieuse Rei Ayanami. Douche froide.) mais aussi de Gourry, Zelgadis ou Amelia. L’alchimie fonctionne pourtant parfaitement entre l’humour omniprésent que cela soit par les situations ou les répliques des personnages. Que cela soit Lina qui invente un sort pour faciliter la pèche aux gros poissons, Gourry et Lina qui se battent pour un pauvre morceau de viande seul dans son assiette, ou qui s’engueuleront avec Zelgadis et Amelia sur quelle est la meilleure spécialité culinaire du coin, ou encore tout ce petit monde qui participe à une pièce de théatre d’une troupe ambulante afin de passer incognito alors qu’ils sont poursuivis par des chasseurs de prime… les moments drôles ne manquent pas, et prendront parfois le téléspectateur par surprise, sans que cela ne devienne lassant ou lourdingue. A cela s’ajoute des aventures rythmées, malgré un départ assez difficile dans la première saison.

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Même les eyecatch de Slayers Next se permettront de faire des parodies de ce style.

Alors, l’univers coloré et fantasy plein d’humour de Slayers vous intéresse, mais vous ne savez pas par où commencer ? Très honnêtement j’aurais tendance à vous dire de commencer par la série TV, qui reste le support le plus amusant à découvrir. Les films avec Naga sont eux, très sympathiques, mais pas inoubliables non plus.

Déclic vend les trois premières saisons (Slayers, Slayers Next et Slayers Try, dans cet ordre) + les trois premiers films (Slayers Perfect, Slayers Return, et Slayers Great) pour un quarantaine d’euros. Pour Slayers Gorgeous (pourtant très bon) et Slayers Prenium (le seul film où on peut y voir Gourry, Amelia et Zelgadis) il faudra vous brosser ou taper dans le vieux fansub. A noter que la quatrième saison, divisée en deux (Slayers Revolution et Slayers Evolution-R sortis en 2008) n’a que la première partie de disponible chez nous via Black Bones (a un prix exhorbitant, soyons honnêtes.)
Le Pack réalisé par Déclic Images semble être le plus à même de vous satisfaire vu son prix et vous aurez vu la plus grande partie de la série. Même si la première saison accuse un peu son âge et reste assez inégale dans son rythme, Slayers Next est une perle d’humour et d’aventure, tandis que Try pourra sembler légèrement moins bon que son aîné, mais bien quand même. La quatrième saison quant à elle, respire la modernité de 2008 (pratiquement TOUTE l’équipe des précédents opus a été rappelée pour cette saison, je sais pas si vous vous rendez compte de ce que ça représente) mais pèche par une histoire convenue et quelques nouveaux personnages qui auraient mérité un meilleur traîtement (sans parler des feintes scénaristiques capilotractées au sujet de l’Epée de Lumière, entre autres…) Bref, cette quatrième saison n’est pas indispensable. Plaisante, mais pas indispensable.

Ah ouais et j’espère que vous aimez la police Comic Sans MS, car vous allez en bouffer dans les coffrets Déclic Image. J’ai pour ma part les anciens coffrets, ceux avec les sous-titres incrustés à même l’image car rippés des VHS de IDP de l’époque (une VHS, pour les p’tits jeunes du fond, ce sont des cassettes, car avant les DVD, on utiliser des bandes magnétiques dans des grosses cassettes, ouais !) et la traduction était plus que pitoyable (Lina qui sort un « Eclair Magique » au lieu de « Drag Slave » rapidement changé en « Dragon Slayers » quelques épisodes plus tard… et je vous en passe.) Je ne sais pas si ça s’est amélioré dans la version qu’ils ont refaite…

anime

Lina et toute sa clique ainsi que Pokota, un nouveau personnage de Slayers Revolution / Evolution-R)

Si vous en voulez encore après les trois saisons, passez à la quatrième si vous le pouvez, puis aux OVAs et aux films (dans l’ordre que j’indique plus haut). Ca fait un peu désordre et pas du tout chronologique mais ce n’est pas tellement grave étant donné les contextes différents (l’un avec Naga, l’autre avec Gourry et compagnie.)

Et si vous avez déjà tout vu de tout cela, vous pouvez encore prolonger l’aventure avec ce que j’estime être la meilleure fanfiction de tous les temps : Slayers Trilogy par Stefan Gagne, pour peu que vous sachiez lire l’anglais. C’est simple, j’ai vraiment l’impression de lire une histoire originale qui colle parfaitement au monde de Slayers : Lina participe à la MagiCon 5 à Sailune où un miroir magique unique va y être présenté pour que les magiciens venus du monde entier puisse l’étudier et en découvrir ses secrets. Mais Lina est impatiente et va s’infiltrer la nuit dans la convention pour jouer avec le miroir. A ses dépends.

L’autre fanfiction qui vaut le détour du même auteur est Slayers Demiurge, que je vous conseille également.

lina-fanart

Un fanart sympa de Lina parmi tant d’autres.

Voilà pour le tour d’horizon de cette saga, en espérant que ça vous aura donné envie de la découvrir. Je suis plutôt SF que fantasy à vrai dire, mais Slayers est frais, et malgré son âge, son humour et ses personnages font mouche même auprès des personnes à qui j’ai pu le montrer. C’est probablement l’une des rares séries que j’ai regardées plusieurs fois en entier tellement elle est plaisante.

Les 52 meilleurs moments de mes visionnages d’anime

p>Wah la liste de tags.

D’abord, on va commencer par attirer le Kyouray ici. Pas de raison particulière, juste pour le fun en fait. Il faut bien connaître le kyouray, cette bête légendaire parmi les scientifiques chercheurs en procastination. Le Kyouray est principalement attiré par deux choses: les dakimakura avec lesquels il effectue souvent un rituel de séduction dans le but de se reproduire, et Tamaki de To Heart 2 qu’il collectionne. Le monde scientifique est néanmoins divisé sur le fait que ça puisse être l’inverse, en fait…

L'alpha et l'omega des filles en parfaite santé

Maintenant que ça c’est fait, sachez que cet article sera intégralement composé d’images de filles en qipao. Parce que j’aime les qipao. Très fort même. Bon, pas aussi fort que les costumes de meido ou de miko, mais fort quand même.

Avant de continuer avec le contenu même de l’article, il y a deux choses que vous devez savoir absolument. En fait non, trois:

  • Meido-Rando encourage la radio Tsumugi, une radio orientée jeux vidéos, anime et rock. La programmation est facile à retenir et très sympa, et en plus de ça en passant par le forum des Thalie vous pouvez proposer vos chansons si vous en avez qui peuvent coller à la thématique. Je l’écoute la plupart du temps au boulot mais aussi sur le chemin de ce dernier le matin et le soir. C’est aussi à ça que ça sert la 3G.
  • Le Grand Tournoi des Seifuku (GTS) est toujours à l’ordre du jour pour début septembre. Sauf que là Raton est barré en vacances et je ne sais pas quand il referra surface. (la preuve, il n’a toujours pas fermé le Quartier Libre de l’Editotaku alors que normalement ça dure une semaine.)

  • Je préfère prévenir tout de suite que cet article va spoiler violemment. D’une violence rare et si extrème que j’en ai encore des frissons en relisant l’article (fake, je relis rarement ce que j’écris.) Non sérieusement, j’ai fait un effort en utilisant la balise spoiler pour dotclear développée par Keul pour l’Editotaku.

Quel est donc le but final de cet article? Hé bien, de trouver une utilité à MyAnimeList : J’ai pu ainsi me remémorer tous les animes que j’ai vu, et en parcourant cette liste, j’ai eu, sur certains titres, des visions. Oui, je vois des choses, ou plutôt je m’en rappelle. Qui n’a pas un souvenir particulier en rapport avec un anime, un épisode ou un personnage? J’ai commencé par les noter en parocurant la liste sur MAL et je suis tombé pile sur un chiffre presque tout rond, 52. Ca ferait presqu’un par semaine, tiens. Bien sûr tout dépend de votre degré d’otakisme et de visionnage d’anime, et vous en aurez peut-être beaucoup moins que moi, mais je tenais à partager cette liste avec vous. Qui sait, peut-être que nous avons ressenti les mêmes choses au même moment, ou bien peut-être qu’un de ces merveilleux (ou pas, ça dépend des cas) souvenirs ravivra en vous une flamme éteinte.

Certains moments sont forts, d’autres comiques, d’autres encore m’ont tout simplement touché ou titillé pour une raison que j’ignore encore. En fait, parmi ces moments il y a aussi beaucoup de fins d’anime et de moments clés à ne pas révèler aux malheureux qui n’auraient pas encore vu les séries. D’où la balise spoiler spécialement aménagée pour cet article.

Je n’ai pas mis d’image de chaque moment parce que ça spoilerait encore plus, et des vidéos auraient été un peu difficiles à faire et vous gâcheraient le moment encore plus (si jamais vous osez vous spoiler de vous même en dépliant les différents souvenirs.)

Alors voyons cette liste, la liste de mes meilleurs souvenirs. Voyez ça comme un test de compatibilité avec moi. Si vous avez une majorité de souvenirs en commun et qu’ils vous ont fait réagir pareil, c’est qu’on va bien s’entendre. Et si en plus vous êtes une fille qui habite la région nantaise, il y a des postes ouverts chez Meidolicious Inc. dont un très convoité…

1. Ah My Goddess The Movie – La chanson 1. Ah My Goddess The Movie – La chanson

C’est un moment qui m’a bien fait vibrer, associé aux images de l’oeuf, l’oiseau, le moment, la chanson en elle-même, et les déesses, tout cela m’avait fait frissonner à l’époque, et me fait toujours autant frissoner chaque fois que je revois cette scène, peu avant la fin du film. Un très bon film d’ailleurs, même pour ceux qui n’ont jamais réellement regardé ou lu Ah My Goddess.

2. Clannad Tomoyo Chapter 2. Clannad Tomoyo Chapter

Là je triche un peu parce que c’est avant tout un spoiler du jeu avant d’avoir été adapté en anime, mais la version animée rend tout aussi bien. C’est finalement les deux amoureux qui se retrouvent après s’être plus ou moins perdus pendant de longs mois qui m’avait le plus ému, et surtout la façon dont Tomoyo avait réagit. Finalement, Tomoyo j’ai l’impression qu’elle a un léger petit côté Tsundere, mais vraiment très très léger et pas caricatural pour un sou. Et puis la neige, ça a toujours été symbole de pureté, ça m’a toujours plu même si je déteste ça parce que c’est tout blanc et que j’y vois rien dehors.

3. Clannad – L’arc de Fuuko 3. Clannad – L’arc de Fuuko

Malgré tout le mal que certains pensent de Fuuko, moi compris, son histoire m’a pas mal ému, ne serait-ce que j’ai un faible pour les histoires de fantômes et de surnaturel. C’est finalement le dernier épisode de son arc qui m’a le plus touché, avec surtout Nagisa et Tomoya qui se rendent compte au fur et à mesure de ce qu’il se passe. C’est cette dimension surnaturelle que j’avais apprécié dans Clannad au début, je suis peut-être un peu déçu que, contrairement à Kanon, il n’y ait pas plus de place accordé à cela par la suite. Et oui, j’ai pleuré durant le dénouement de cet arc.

4. Full Metal Panic – Fin du premier arc 4. Full Metal Panic – Fin du premier arc

On dira ce qu’on voudra mais je trouve que Gonzo s’est pas mal débrouillé du tout sur cette première saison. Le passage où les AS décollent du sous-marin pour rejoindre le champ de bataille, et la musique qui va avec. J’aime bien les musiques héroiques qui donnent de l’espoir en fait, et puis les gentils qui vont au combat pour une mission de sauvetage comme ça, c’était grand. C’est pour moi la meilleure partie de FMP premier du nom, d’ailleurs.

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5. Gundam SEED – Meteor 5. Gundam SEED – Meteor

Je pense ne pas être le seul que cette scène ait marqué. Bon, c’était un peu surfait dans l’ensemble mais ça collait bien avec l’univers et on ne pouvait que sentir le soulagement du personnel de l’Archangel quand Kira ‘Jesus’ Yamato est arrivé. Un peu comme Zorro en fait.

6. H2O Footprints in the Sand – La révélation 6. H2O Footprints in the Sand – La révélation

Une série arrive à marquer encore plus lorsqu’elle nous surprend: ce fut le cas de H2O. Partant sur des bases saines (un héros aveugle) mais dégringolant rapidement en lui redonnant la vue au deuxième épisode, la suite n’a été que d’un niveau très moyen pour l’amateur de slice of life et d’adaptation d’eroge que je suis. Néanmoins, la révélation près de la fin, où l’on se rend compte que depuis le début il n’a jamais vu, fu très forte. Je ne sais pas si c’était juste parce que c’était moi et ma déficience visuelle, mais c’était rûdement bien écrit et amené. La fin elle l’était un peu moins, mais c’est un autre débat, ça.

7. Hack Sign – Les retrouvailles 7. Hack Sign – Les retrouvailles

Hack Sign avait été relativement moyen aussi. Joli, envouteur presque, mais il y avait ce petit quelque chose qui poussait à continuer. La scèene de fin où Tsukasa reconnaît son amie en chaise roulante alors qu’ils ne s’étaient jamais vus hors du jeu m’avait laissé un excellent souvenir.

8. Hand Maid May – Souvenirs 8. Hand Maid May – Souvenirs

Une série relativement moyenne mais bien foutue pour l’époque techniquement. Hand Maid May c’était surtout un des premiers animes de meido en 2000-2001, l’âge d’or des animes de meido. La fin était déjà assez touchante avec May qui perd la mémoire et a oublié tout de son maître, mais on a l’impression fugace qu’à la toute fin, May se souvient quand même de tous ses bons moments passés avec son maître. Quand je vous dis que les meido c’est le bien!

9. Happy Lesson – Réveil 9. Happy Lesson – Réveil

Relativement moyen aussi, la première OAV d’Happy Lesson m’avait laissé une grande impression de what the fuck, où le héros sort de chez lui et qu’il a 5 "mamans-profs" qui lui souhaitent une bonne journée. Hé, elles sont prof, elles devraient pas être prêtes avant lui pour aller à l’école?

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10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama 10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama

Si je devais nommer un des passages qui m’avait le plus marqué, ça serait difficile, mais je me souviens de tas de moments terribles. Higurashi aura atteint son but: marquer les esprits, que ce soit le moment où Rika place le manche du couteau contre le mur et se frappe la tête contre pour se tuer, ou bien quand Satoko arrive a s’échapper avant que Hinamizawa ne soit complètement décimé, pour ensuite mourir d’une crise cardiaque, un epu façon film d’horreur en fait: il fallait qu’elle meure.

11. Hitohira – La voix de Nono 11. Hitohira – La voix de Nono

Hitohira m’a laissé un excellent souvenir pour une petite série sur un sujet pourtant pas tant exploité que ça: le théatre. En l’occurence, dés le début de la série, on apprend que Nono, la sempai qui veut faire vivre le petit club de théatre secondaire de l’école a un problème à la gorge et ne peut pas parler fort au risque de perde définitivement la voix. Cela lui arrivera par moments durant la série (c’est dommage en plus, elle est doublée par Ayako Kawasumi-sama). Le moment où l’héroine s’en rend compte était vraiment fort, puisque le téléspectateur s’en rend compte en même temps qu’elle, et pour quelqu’un comme moi qui ait aussi des tas de choses qu’il aimerait faire mais ne peut pas physiquement le faire, ça marque.

12. I my me strawberry eggs – La rédemption 12. I my me strawberry eggs – La rédemption

C’était marrant comme fin pour IMMSE. J’avais beaucoup aimé le non happy end en quelque sorte qui sortait de l’ordinaire, et le discours de Hibiki à la fin, malgré l’outrage public qu’on lui avait fait subir, était pas mal touchant, surtout quand les élèves se sont rendus compte qu’en fait Hibiki les avait toujours bien traîtés. Ca fait du bien de se sentir soutenu, hein?

13. Initial D – Pleins phares! 13. Initial D – Pleins phares!

Initial D a beau être doté d’un character design douteux, il filait néanmoins bien la pèche avec sa musique eurobeat, et les courses étaient assez palpitantes malgré la 3D pas toujours du meilleur goût. Du coup après l’astuce de la roue dans le vide pour doubler l’adversaire, je ne m’attendais plus à rien, jusqu’au 4th Stage où Takumi éteint ses phares en pleine nuit pour éviter de se faire voir de son adversaire et le doubler alors que celui-ci ne s’y attend pas du tout. J’étais là en train de manger (je mange souvent en regardant ce genre d’animes où on peut débrancher son cerveau 20 minutes) et je me souviens avoir arrêté de manger quelques minutes le temps de voir ce qui allait se passer après. C’était couillu quand même.

14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous 14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous

Vers la fin de la série, la flotte humaine et les aliens s’affrontent face à face, mais plutôt que de se tirer dessus, ils ne font que se regarder droit dans les yeux par vaisseaux interposés. Ils ont même été jusqu’à matérialiser la tension pendant un tel moment par des éclairs un peu partout, c’était assez inattendu et c’est un de mes meilleurs souvenirs de cette série de space opera. Quel dommage qu’il n’y en ait plus tellement de nos jours.

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15. Kaleido Star – What about my star? 15. Kaleido Star – What about my star?

Une série assez familiale que j’avais beaucoup apprécié (encore un rare Gonzo réussi d’ailleurs) pour ses personnages attachants et ses histoires et son monde originaux. Ca m’a tellement plu que j’ai pleuré à la fin de la première saison quand Layla, sachant pertinamment que le numéro légendaire lui grillerait l’épaule définitivement, elle l’a fait quand même pour Sora… Ca avait bien entendu bouleversé Sora autant que moi, je vous avoue. J’ai remis le couvert à la fin de la Saison 2 quand Layla après avoir permis à Sora en l’entraînant de faire le numéro angélique avec Leon, sort à Sora (haha) : "Sora, tu n’es plus seulement mon espoir, tu es aussi ma fierté." Ah, rien que de m’en rappeler, j’en tremble encore.

16. Kamichu – chuuuuuu! 16. Kamichu – chuuuuuu!

Bon c’était que le début mais ça m’avait bien marqué cette ambiance kawaii-tout-plein(tm) avec cette dose d’humour sur le toit de l’école. Kami…chu!

17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement. 17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement.

Pour ceux qui auront vu l’anime vous allez bien entendu voir de quoi je parle: le viol d’Himeko. Alors ouais, c’est peut-être bien malsain mais c’est tellement rare et inattendu dans un anime, et en plus de ça entre deux filles (Mai Hime a remis le couvert quelques années plus tard). Et puis Chikane était doublée par Ayako Kawasumi. Ayako Kawasumi + miko + soujou ai = $$$. Ca manquait de maids quand même.

18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite 18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite

Je triche un peu y’a deux souvenirs pour Kare Kano.

Le premier épisode de Kare Kano m’avait laissé bouche bée. Il plaçait vraiment bien les personnages et était à mourrir de rire. On ne peut pas en dire autant du reste de la série mais même si globalement j’avais pas aimé Kare Kano plus que ça, rien que le premier épisode est un délice à revoir. Pour ce qui est de la scène de poursuite, c’est simple: quand Yukino voit sa photo déchirée et jetée dans l’incinérateur par la petite peste de service, la poursuite dans l’école en résultant était tout simplement épique.

19. Kimi ga nozomu eien – L’accident 19. Kimi ga nozomu eien – L’accident

Dois-je vraiment développer? En fait j’avais fait un article à ce sujet il y a longtemps. Oui, je suis toujours autant marqué par l’accident d’Haruka, et je trouve que c’est une des scènes qui m’a le plus marqué dans ma vie d’otaku.

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Source: ????

20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer! 20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer!

Cette série si douce et gentille profiati d’une bande son excellente. La petite Kokoro vit avec ses deux soeurs dans une bibliothèque à la montagne près d’une petite ville. Le truc c’est que vers la fin de la série, Kokoro apprend que la bibliothèque familiale où elle vit et travaille va fermer faute de subventions par la ville. Tous les personnages secondaires rencontrés jusqu’ici l’aideront à se rendre à la mairie, en moto, en mongolfière… et en faisant sa requête au maire, Kokoro s’aperçoit que la populace de la ville s’est amassée devant la mairie pour plaider en sa faveur et ne pas fermer la bibliothèque. C’était réllement magique de voir une petite fille comme ça être soutenue par tous les citadins pour qu’elle garde sa bibliothèque avec ses deux grandes soeurs. Bouh, c’était émouvant.

21. La Blue Girl – Mon premier hentai 21. La Blue Girl – Mon premier hentai

Bah quoi? C’est un souvenir émouvant comme un autre, merde.

22. Love Hina Christmas Special – Déclaration 22. Love Hina Christmas Special – Déclaration

Le Christmas Special, une OAV de Love Hina, est la seule partie animée de la série a ne pas avoir d’équivalent en manga. Keitaro qu’on croyait jusque là invincible, se casse finalement une jambe après que Naru (que j’aimais déjà fort fort) le fasse voler de nouveau. Un peu abattu, il ira quand même lui acheter un cadeau de noel, et elle tentera de le suivre dans Tokyo pour le retrouver sur fond de Winter Wish de Yonekura Chihiro. Elle le loupera, mais trouvera quand même son cadeau, et alors qu’elle est interviewée par une journaliste le soir de Noël et où sa tête est retransmise sur sur les télés de la ville et les grands écrans sur les immeubles, où Keitaro pouvait la voir. Et là elle lui annonce qu’elle veut aller à Toudai avec lui, et enfile le manteau qu’il lui a offert devant les cameras. Waaaah! Et dire que j’ai matté ça pour la première fois en plein cours en BTS, j’avais l’air fin à me cacher derrière mon écran pour cacher mon émotion.

23. Lucky Star – La mère de Konata 23. Lucky Star – La mère de Konata

Comme j’ai un petit faible pour le surnaturel, comme je l’ai écrit dans mon souvenir de Clannad, il est naturel que j’aie fondu comme neige au soleil devant la scène vers la fin de la série, où la mère de Konata apparaît en fantôme. C’était simple et émouvant, je n’ai rien d’autre à dire dessus.

24. Maburaho – Noooooooooooooon 24. Maburaho – Noooooooooooooon

Anime moyen en soi, Maburaho avait tout de même un concept rigolo pour lui. Dans un monde bourré de magie seul le héros a un potentiel magique ultra limité mais ultra puissant aussi, surtout que si on utilise tous les sorts de notre potentiel de magie, on meurt. Et le héros n’a que 3 sorts en réserve depuis qu’il est né alors que la majorité des gens en ont des centaines de milliers. Du coup les trois héroines se battent pour pouvoir faire des enfants avec lui, mais ça n’arrivera pas: il utilisera son dernier sort pour sauver Yuna, sa promise, et passera plus de la moitié de la série sous forme de fantôme. Fait marquant s’il en est, la scène où cela se produit était tout aussi terrible.

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Source : ????

25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain! 25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain!

Mon article sur le sujet

Je pourrais parler des fins de la série, mais ça serait trop classique. Si je ne dois citer qu’un moment, c’est dans la saison 1 lors du festival de la ville, où Suguru, ignorant tout de Mahoro, lui annonce un jovial "Revenons ici l’an prochain!" faisant immédiatement perdre à Mahoro tout sourire: car elle sait qu’elle sera morte avant. Ca m’avait traumatisé à l’époque, surtout le changement de visage de Mahoro au moment où Suguru dit ça…

26. Nadesico – Le film 26. Nadesico – Le film

Une série et un film qu’il faudrait que je rematte un jour, définitivement. Néanmoins, s’il y a bien un truc qui m’a marqué dans la série, ça reste bel et bien le film, qui prenait à contre pied tous les fans de l’époque. Là où la série originale était plutôt légère avec un peu d’action, le film était sombre, voire dur, même. Mais incroyablement jouissif quand même, surtout pour les fans de Ruri.

27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino 27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino

Un peu de la même façon qu’avec Nadesico, Myself Yourself commençait somme toute sur des tons légers et de comédie romantique, pour progressivement dériver vers du drame en règle. Un peu trop peut-être, mais la surprise la plus totale, c’était quand même Hoshino qui passe en mode yandere pour… la jumelle du groupe! C’est dangereux les amours lesbiens, Kannazuki no Miko l’a déjà prouvé.

28. Nadia – L’île 28. Nadia – L’île

Passage décrié à juste titre dans la série, c’est néanmoins un passage qui m’a marqué dans la série à cause de son changement assez radical de ton avec le reste. Pas déplaisant en soi, c’est juste qu’on se demandait "mais qu’est-ce que ça vient faire ça?" sans compter que ça ne faisait pas avancer grand chose dans l’histoire. Enfin, c’était Nadia quoi, on en mange sans fin.

29. Evangelion – Dance like you want to win 29. Evangelion – Dance like you want to win

Si Eva m’a marqué au point de m’en faire écrire des fanfics , une scène dont je me souviendrais toujours, c’est bien l’épisode 9 où Shinji et Asuka doivent bouger en synchro totale. Une scène mémorable et bourrée d’action comme seul Gainax sait en faire.

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30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques 30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques

Drôle à souhait (avec les doublages fr qui vont bien, pour une fois), Dominion Tank Police fourmille de scènes excellentes, mais celle qui m’avait le plus fait rire, c’est bien les "mines" plates qui une fois gonflées ressemblent à des penis et font se renverser les tanks de la police. Du grand n’importe quoi comme je les aime.

31. Noir – Premier contact 31. Noir – Premier contact

Le premier contact avec Noir se fut à Epitanime 2001, l’âge d’or de la convention où celle-ci passait encore du fansub pendant les nocturnes. Du coup on a eu droit à Noir, Mahou Senshi Riui, Angelic Layer et d’autres, et c’était énorme. Mais Noir, c’était envoutant. La musique qui tue, l’ambiance qui déchire, et la chorégraphie des combats qui surprend et qui a la classe. Difficile de ne pas aimer, et puis c’était le premier anime uqe je voyais qui se passait en France.

32. Onegai Teacher – Marrions-nous! 32. Onegai Teacher – Marrions-nous!

Mizuho. Robe de mariée. Les robes de mariée ça m’a toujours fait un petit effet, et si on combine ça au concept de la série… Bon et je vous parle même pas de l’OAV complètement abusée pour l’époque. Mais qu’est-ce que c’était fun!

33. Green Green – L’ours 33. Green Green – L’ours

Un grand moment de n’importe quoi dans cet anime tiré d’eroge qui ne se prend pas au sérieux, où le katamari pervers du groupe se retrouve nez à truffe avec un ours, et hum… je vous laisse deviner ce qui lui arrive, du coup. Encore plus fun si vous connaissez la chanson de l’ours pédé. L’opening vaut également le coup d’oeil.

34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère 34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère

Une scène tout simplement hilarante où Miina apporte du thé à Maiku dans sa chambre alors qu’il laisse Karen pleurer la tête sur ses genoux. Imaginez la scène, vous entrez et vous voyez votre frère qui est assis sur son lit avec une fille la tête entre ses jambes en train de pleurer. Ouais, vous vous faites l’idée que Miina s’est faite en voyant ça. Et le pire, c’est qu’une scène de ce style, on en trouve dans des tas de films pour adolescents américains, mais ça passe tellement mieux en anime, avec les gros blancs , le plateau qui tombe, bref…

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35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette 35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette

La pièce jouée par Takako et Mizuho était sympa. Ce qui l’était plus, c’était Mizuho sauvant Takako de l’humiliation que lui aurait procuré le fait d’être a moitié nue sur scène en la couvrant avant que le public ne puisse bien voir et l’embrassant pour la faire taire. Comment conquérir une tsundere en dix leçons, quoi.

36. Read or Die – Vol au dessus de New York 36. Read or Die – Vol au dessus de New York

Le passage où Yomiko construit un avion en papier géant avait quelque chose de magique. On se doutait qu’elle avait de grands pouvoirs avec le papier, mais à ce point c’était simplement extravagant. Et Yomiko avait sacrément la classe.

37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler 37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler

REC fait partie des animes dans mon panthéon, mais l’épisode où Aka doit doubler un anime hentai la gène horriblement, et elle va même jusqu’à en matter pour voir comment les doubleuses comédiennes de doublage ont fait avant elle. Le plus fun est que son petit copain, Matsumaru, est au courant et propose de "l’aider", la gênant encore plus. Ah, je craque…

38. Sailor Moon – Sacrifices 38. Sailor Moon – Sacrifices

Ca remonte à loin, j’avais 14-15 ans à l’époque, j’étais jeune et con. Maintenant je suis juste un peu moins con, mais qu’importe. J’avais beaucoup aimé le dernier épisode de la première saison où les senshi meurent une à une pour ensuite réapparaître pour aider Sailor Moon à vaincre le mal. Ouais j’étais aussi vachement fleur bleue à l’époque. Je le suis toujours un peu aussi, en fait.

39. School Days – Chou 39. School Days – Chou

Chou de Amano Tsukiko m’avait fait trembler, avec les images qui vont bien. Je triche un peu en fait car du coup là je parle du jeu School Days plutôt que l’anime, mais comme les deux se rejoignent niveau contenu… Pour voir l’AMV en question, c’est . Il va sans dire que, comme pour Higurahsi, n’importe qui ne connaissant pas School Days est royalement pris au dépourvu. C’est p’têt pour ça que ça m’a marqué.

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40. Shakugan no Shana – Deredere 40. Shakugan no Shana – Deredere

Si y’a bien unt ruc de satisfaisant dans un anime avec une tsundere, c’est bien quand la tsundere en question passe en mode deredere, et pour ça dans Shakugan no Shana, il faudra attendre presque toute la série pour la voir s’accrocher au héros. C’était super mignon en soi, et c’est le bon souvenir que je garde de cette série avant les melonpan.

41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux! 41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux!

L’aspirateur! J’ai oublié de l’éteindre!

Ahem…

Kaede fut pour moi l’une des premières yandere que j’ai connues, et ça fait un choc la première fois. Du coup on s’en souvient et on ne regarde plus jamais les amies d’enfance comme avant. Plus jamais.

42. Sister Princess – La chanson de Noel 42. Sister Princess – La chanson de Noel

Anime tranche de vie sans grand intêret finalement (à part d’avoir 13 soeurs plus moe les unes que les autres) mais dont certaines scènes m’avaient bien fait plaisir. Parmi elles, celle où les soeurs ont préparé une chanson pour le héros pour Noël. Elle était cool cette chanson et le pire c’est que je l’ai jamais retrouvée dans aucune OST.

43. Slayers – Prochain essai 43. Slayers – Prochain essai

(oh je sais c’est nul.)

La fin de Slayers Next reste pour moi le meilleur souvenir de la série, où Lina térasse Phibrizo et où elle est subitement habitée par Lord of Nightmares. Et puis y’a eu le baiser avec Gourry aussi, juste après…

44. Star Ocean EX – Les lapins! 44. Star Ocean EX – Les lapins!

Un truc qui m’a toujours marqué dans cette série très moyenne qu’était Star Ocean EX: A la fin de l’épisode 1 il y a des lapins. Et au second épisode, on voit les mêmes lapins sauf qu’ils se sont multipliés entre temps. On a longtemps blagué là-dessus avec quelques amis.

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45. Stratos 4 – La station 45. Stratos 4 – La station

Finalement c’était le truc dont les filles de Stratos 4 avaient toujours rêvé sans jamais pouvoir l’atteindre parce que leurs sempai étaient déjà sur place: pouvoir aller sur la station orbitale même si c’était pour une mission. Du coup ça a donné un final super sympa pour une bonne pétite série qui me restera longtemps en tête pour son opening et ending cools à souhait.

46. Gurren Lagann – Kamina 46. Gurren Lagann – Kamina

Beaucoup garderont en souvenir de Gurren Lagann Libera me’ from hell, la chanson du combat de fin et son côté épique, mais finalement moi c’est plutôt la mort de Kamina qui me revient à l’esprit quand je pense à Gurren Lagann. C’était couillu, bien amené, et ça n’a pas servi à rien. Du grand Gainax quoi.

47. Haruhi Suzumiya – Live Alive 47. Haruhi Suzumiya – Live Alive

Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais abandonner celle qui m’a donné la foi? Le premier souvenir qui me vient de la saison 1 de Haruhi, c’est sans conteste Live Alive et le concert de ENOZ, God Knows. Ca m’avait tellement secoué que j’ai coupé la raw que je regardais à cet endroit pour la montrer à Darksoul en lui disant "Ca, ça ira dans le Toyunda!" (le Toyunda étant le logiciel de Karaoke d’Epitanime). Il va sans dire que l’interessé n’y vit aucune objection.

48. Stellvia – Welcome! 48. Stellvia – Welcome!

Stellvia, c’était sympa aussi, et je me souviens avoir adoré l’ambiance rien qu’au premier épisode, avec Shippon qui voit tous les peitts vaisseaux s’envoler de Stellvia à leur arrivée pour dessiner un "Welcome to Stellvia" dans l’espace. Ca faisait bien chaud au coeur et ça avait une putain de gueule.

49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra 49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra

Autre grand anime des années 2000 et 2001, Vandread avait mis les héros de la série devant un accouchement pendant un combat, et ça avait donné un épisode remarquable et très touchant, avec les héros qui se débattaient dans l’ascenseur bloqué pour donner naissance au bébé et les autres dans l’espace en train de se fighter qui ont regagné leur moral une fois les cris du bébé passés sur la radio de tout le monde.

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50. Yakitate Japan – Croissant? 50. Yakitate Japan – Croissant?

Une blague d’anthologie, tellement énorme que c’est ce qui me restera à jamais dans Yakitate Japan, où Azuma se voit annoncer qu’il devrait faire des croissants, mais ne connaissant pas le mot, demande qui est Kurowa-san. Si vous n’avez pas compris, dites lentement "croissant."

51. Crescent Love – Le concours de cuisine 51. Crescent Love – Le concours de cuisine

Tellement bourré de QUALITY ce passage qu’il restera à jamais gravé dans ma mémoire. La preuve? Cette image. Vous allez comprendre ce que je voulais dire par QUALITY. A gauche, la série télé originale, à droite, la version DVD.

52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls 52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls

Ou plutôt ce qui les a popularisées. Il faut dire que voir une armée de nekogirls obéir au doigt et à l’oeil de la nekomeido de service, ça marque, ça m’avait même poussé à regarder la série. Il m’en faut peu hein,mais ça vous le saviez déjà.

Voilà donc toutes les choses qui m’ont plus ou moins marqués: concepts, moments, personnages… Je suis sûr que vous en avez des tas que vous avez partagé avec moi, ou d’autres auxquels je n’aurais paspensé ou que je n’ai pas vus. Libre à vous de reprendre le concept de ce billet ou de poster vos impressions dans les commentaires.

Anime Catch Up – Octobre 2008

Nous revoici à une période charnière avec une rentrée bourrée d’animes à visionner. C’est un bon moment pour faire le point sur les séries que je regardais et qui ont avancé ces derniers mois. C’est là qu’on se rend compte que des séries qui ont bien démarré ne se retrouvent pas forcément au mieux de leur forme sur la fin.

  • ef  : Une série pleine de potentiel dramatique qui m’aurait bien plu si seulement elle n’avait pas été réalisée par SHAFT. Si même KyoAni arrive à se foutre de leur gueule dans l’OAV de Lucky Star, c’est qu’ils devraient vraiment se remettre en question. Je n’ai pas pu supporter plus de 3 épisodes.
  • Yakushiji Ryouko no kaiki jikenbo : Une série d’enquête et d’action assez originale même si parfois un peu inégale. Heureusement c’est court et ça se laisse regarder, surtout avec les deux meido qui parlent français et Ryouko qui est l’incarnation du fanservice de femme adulte.
  • They are my noble masters : Une fin trop rapidement bouclée, comme sur la majorité des animes tirés d’eroge. Etre butler, ça semble bien plus difficile que meido quand même.
  • Slayers Revolution : Pour une suite, on peut dire que ça fait dans la continuité. En réunissant toute l’équipe des saisons précédentes pour celle-ci, JC Staff a voulu jouer la carte de la prudence. Le truc c’est qu’a part quelques moments sympa, Slayers Revolution est juste regardable sans atteindre le génie de Slayers Next. Il est même inférieur à Slayers Try pour moi, c’est dire. Par contre entendre Lina Inverse faire son Dragon Slave, ça poutre toujours autant.
  • Seto no hanayome : Je m’étais promis de faire une review de cette anime plus en détail, et au final je me suis demandé ce que je pourrais bien en dire. Plutôt d’ôle et déjanté, ilf aut néanmoins pouvoir suivre le débit parfois affolant de certains personnages. San, l’héroine, est tout de même un modèle de waifu (c’est comme meido mais pour les épouses) et son obsession de l’honneur fera sourire à bien des moments.
  • Nogizaka Haruka no Himitsu : Un départ diffricile pour une série qui aurait gagné a avoir un personnage féminin moins cruche et niais. NHNH s’est néanmoins laissé regarder… Rien d’inoubliable, même si la fin m’aura fait furieusement penser à ma Meido N°2 d’élite.
  • Macross Frontier : MF a été en fait la première série de Macross que j’ai réellement suivie de bout en bout, grâce à une réalisation presqu’impeccable (je dis presque parce que certains épisodes méritent de disparaître brûlés) et à des personnages fort attachants (sauf Ranka). L’accouchement de la fin fut assez difficile, mais elle valait le coup. Le seul problème c’est qu’on a une sorte de retour à la case départ pour Alto, Sheryl et Ranka à la fin de la série.
  • Lucky Star OAV : Hé oui, on l’attendait tous, et c’est une OAV de 45 minutes qu’on nous sert. Plutôt rigolote ici et là, cette OAV reste néanmoins à l’image de la série originale: si vous n’aimez pas la tranche de vie, passez votre chemin, vous serez fort déçus.
  • Kanokon : Kanokon sera devenu tristement célèbre pour le choc de ses images. Un peu comme School Days en somme, mais admettons quand même que c’était rigolo à regarder, ne serait-ce que pour savoir jusqu’où le réalisateur allait pousser le bouchon.
  • Itazura na Kiss : Du shoujo old school et plaisant. J’ai plutôt apprécié, mais bizarrement j’ai décroché après l’étape du mariage. Reconnaissons tout de même qu’il est rare qu’une histoire amoureuse dans un anime se déroule sur autant d’années. Kotoko a cependant toujours l’air d’une lycéenne même en étant mariée et en bossant comme infirmière. Ils auraient dû la vieillir un peu.
  • Kamen no Maid Guy : Débile et pas super intéressant au final. C’est dommage, car l’idée du maid guy, viril et baraqué dans son uniforme de meido, ça avait quand même un effet comique très séduisant.
  • Candy Boy : Du shoujo-ai à l’état pur, et entre deux soeurs. Quel dommage que ça dûre si peu de temps et que les épisodes soient aussi espacés.
  • Chii’s sweet home : Irrésistible. Il faut juste que je prenne le temps de mater la centaine d’épisodes de 3 minutes d’affilée, parce que un par un ça va vite être lourd.

Allez, cette semaine si je suis chaud, il y aura Clannad After Story et Kannagi sur Meido-Rando. Si je suis chaud.

Grand Tournoi de Tsundere – Poules 3 et 4

Bonsoir à tous !

Je me présente, mega69, celle qui va vous accompagner (embêter ?) cette semaine ! J’annonce donc ouvert le second tour du concours avec l’ouverture des hostilités pour les poules 3 et 4. Le premier tour fut fort mouvementé : si Rin et Kagami se sont rapidement imposées comme les deux gagnantes, le match fut serré pour Urumi, Kallen et Nagi. La bataille qui s’est terminé sur la toute fin à permis à Nagi et Urumi d’accéder au huitième de final.

Ici Axel. Je tiens à apporter quelques précisions, notamment sur les résultats des poules. Les voici en détail:

Poule 1:

  • Kagami : 302 voix – 31.96%
  • Motoko : 214 voix – 22.65%
  • Rin : 308 voix – 32.59%
  • Mai : 121 voix – 12.8%

Poule 2:

  • Lum : 161 voix – 17.27%
  • Karen : 253 voix – 27.15%
  • Nagi : 259 voix – 27.79%
  • Urumi : 259 voix – 27.79%

Comme vous le voyez, il s’en est fallu de peu dans la poule 2, et ce fut un combat acharné toute la semaine. Il était difficile de savoir qui allait réellement dégager dans la poule 2 à part Lum qui malheureusement accuse son grand âge… Au final, Nagi et Urumi ont triomphé mais aucune des deux ne peux prétendre être la première de cette poule… Du jamais vu pour un grand tournoi jusqu’à alors, en match de poule! Mais place de nouveau à mega, qui va nous présenter les poules 3 et 4 du tournoi!


Ce second tour promet d’être tout aussi (plus ?) intéressant avec la participation de grands noms (qui à dit Haruhi ?). Alors tenez-vous prêt, votez, faites voter amis, parents, amis de vos amis … !

Poule 3

Haruhi (Suzumiya Haruhi no Yûutsu) :

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Ai-je vraiment besoin de présenter la gagnante du concours ? Ah, on me signale que si en coulisse. Excentrique, autoritaire et pleine de vie : c’est tout Haruhi. Elle (mal)mène le héros par le bout de son nez mais faites attention, malgré ses idées farfelues, Haruhi est toujours sérieuse, toujours.

Haruhi est l’une de celles à surveiller au cours de ce tournoi. Bien que même parmi ses fans, certains ne soient pas certains qu’on puisse la qualifier de Tsundere, elle en montre néanmoins tous les symptômes. Un requin dans cette poule, mais elle n’est pas la seule.

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 90/10
  • Violence Level : B
  • Bonus : Déesse, Seiyuu (Hirano Aya), Déesse

Kyou (CLANNAD) :

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Amoureuse du héros de la série, elle a la bonté (c’est rare pour une tsundere) de laisser le champ libre à sa soeur jumelle. Un conseil, pensez a éloigner les dictionnaires de cette jeune fille, surtout si vous vous appelez Tomoya. Réunissant les fan de Kyoto animation de du studio Key, elle a tout d’une grande. La seconde favorite de la poule ?

Kyou est surtout réputée pour avoir des cuisses formidables, et n’oublions pas la fameuse scène du local de sport…

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 70 / 30
  • Violence Level : B+
  • Bonus : Zettai ryouiki, delicious thigh meat

Naru (Love Hina) :

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Étudiante surdouée et résidente dans un pensionnaire pour filles, elle tombe amoureuse du petit fils, également résidant (le seul homme), de la propriétaire de la pension. Imposante avec son « punch » qui envoie valser le héros, c’est une très bonne tsundere qui a son lot de fans, mais fera-t-elle le poids face aux autres grandes de la poule ?

Naru a tout pour réussir, si elle ne s’était pas retrouvée dans la poule de Haruhi, Kyou et Kaori! Va-t-elle pouvoir s’imposer? C’est tout de même l’une des plus véritables tsundere de cette poule…

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 80/20
  • Violence Level : A+
  • Bonus : meganekko, seiyuu (Horie Yui)

Kaori (City Hunter) :

kaori

Kaori ou Laura (de Nicky larson) est certainement l’une des premières tsundere que bon nombre de personnes du public ont connu. Armée d’un marteau de plusieurs tonnes, j’éviterais de draguer devant elle dans les parages si je m’appellerais Ryô.

Ah Kaori, l’une des tsundere originelles avec Lum. Subira-t-elle le même destin? Nous le saurons très bientôt…

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 80/20
  • Violence Level : A
  • Bonus : Marteau

Poule 4 :

Yamada (Honey & Clover) :

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Belle jeune fille de 21 ans, douée en poterie, Ayumi s’avère etre profondement amoureuse de l’un de ses amis, Mayama Takumi. Mais hélas les choses ne semblent pas être réciproques. Malgré cela, tous deux restent de très bons amis, et Ayumi ne perd pas espoir. Par conséquent, le succès de Takumi auprès de la gente feminine à tendance à agacer Ayumi, qui ne se prive pas de calmer les ardeurs de Mayama par de spectaculaires coup de pied.

Je m’abstiens de tout commentaire, ne connaissant pas le personnage, ni la série.

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 10 / 90
  • Violence Level : B
  • Bonus : Douée avec ses mains (poterie)

Shana (Shakugan no Shana) :

shana

A la fois tsundere, loli et combattante, Shana est certainement la grande favorite de la poule et même l’une des concurrentes ayant la capacité d’arriver en finale. Rendue célèbre pas son « URUSAI » dont le héros fait les frais, l’un des points forts de Shana, c’est son coté tsuntsun alors qu’elle découvre l’amour.

Pour avoir mangé de vrais melonpan au japon, je peux vous dire que j’approuve tout à fait son amour de cet aliment fort délicieux. Gouts culinaires mis à part, Shana est bien entendu l’une des grandes favorites de ce tournoi.

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 80 / 20
  • Violence : B
  • Bonus : Seiyuu tsundere, URUSAI, zettai ryouiki, maniement des armes blanches, pouvoirs surnaturels, melonpan-vore

Lina (Slayers) :

lina

Contrairement a la plupart de nos concurrentes, Lina ne vient pas d’un anime/manga tranche de vie, mais d’une série d’héroic fantasy. Ce n’est pas une raison pour ne pas en avoir peur, ses talents de sorcière ne sont plus à prouver, un certain Gourry pourra d’ailleurs vous le confirmer.

Malgré son âge, elle a toutes ses chances face à ses concurrentes. Il faut dire qu’elle n’hésite pas à utiliser de ses pouvoirs magiques la plupart du temps pour corriger quelqu’un, que ça soit Gourry ou tout autre membre de sa troupe.

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 95/5
  • Violence : S
  • Bonus : Sorcière surpuissante, Delicious Flat Chest

Eri (School rumble) :

eri

Jeune fille de bonne famille mi japonaise mi anglaise, Eri est très courtisée dans son lycée. Pourtant elle tombera amoureuse du gars le plus improbable, un ancien voyou. Son ascension vers l’amour ne se fera pas sans quelques coups de pied ou gifles, cependant.

Eri reste l’un de mes personnages préférés de School Rumble (si ce n’est mon perso préféré tout court). Sa relation avec Harima est excellente et elle a sans conteste des atouts de tsundere. Une candidate à surveiller.

  • Rapport Tsuntsun / deredere : 70/30
  • Violence : B
  • Bonus : twin tails, blonde, seiyuu (Horie Yui)

PS : cet article est garanti sans message subliminal.