School Days

Attention, histoire psychotique en vue.

School Days est un jeu à la base hentai , qui a ensuite été adapté en une mini-série d’OAVs. En fait, la particularité de ce jeu hentai parmi tous ceux disponibles au japon (et y’en a plus qu’on ne le croit) repose sur le fait que la totalité ou presque de l’histoire est animée. Fini les images fixes et les voix pas toujours présentes, ici, tout est animé. Bon, on paye le prix cher: 8 Go de download et 14 Go à l’install (aie.). Il semble y avoir un certain nombre de routes / fins dans le jeu.

Pendant que vous lisez ceci, téléchargez donc la vidéo promo du jeu. Elle fait une vingtaine de mega-octets. Elle est totalement worksafe (no hentai ou ecchi inside)

En fait, à la vue de cette vidéo, j’ai trouvé ça très mignon au premier abord: On y voit des scènes belles et romantiques, une histoire d’amour comme on aimerait en voir plus souvent quoi.

La situation de base est très classique: Le héros, deux filles. L’une d’elles le pousse à sortir avec l’autre. Mais s’en suit alors une jalousie profonde de la part de celle qui tenait la chandelle, au point que l’on découvre sa nature psychotique. La fille en question, Kotohona, qui a l’air d’une gentille princesse d’école comme on en fait plus, pête un câble comme on en fait plus non plus, et dans certaines routes du jeu il arrivera au héros de mourir égorgé ou poignardé par cette dernière, ou bien l’entendre rire comme une maniaque, entre autres.

Sympa comme School Days, vous ne trouvez pas? Mais ce n’est pas tout, le pire des endings vous est réservé à la fin de la vidéo que j’ai indiqué plus haut. Afin de ne pas vous traumatiser davantage, cliquez sur « lire la suite »…

Lors de la fin de la vidéo donc, on voit nos deux tourteraux marcher tranquillement

« Oh mais je suis sûr qu’elle comprendra… » en parlant de la fille laissée seule.

Et là, un téléphone brisé en morceaux par terre, comme s’il était tombé de super haut. Ils lèvent la tête, voient au ralenti la fille se jeter tête la première, le temps de réaliser l’horreur de la chose, avant que son corps n’éclate sur le sol.

Et le dernier plan où l’on voit le héros se recueillir sur la tombe de la fille en question, on entend sa voix qui dit « Je ne vous laisserai jamais vivre heureux tous les deux »

Blam.

Ca m’avait pas fait cet effet depuis Kimi ga nozomu eien, qui, bien qu’un peu moins gore, était tout aussi choquant émotionellement.